0Algérien
Découvrez notre liste de 63 algérien (toutes catégories confondues) morts et connus comme par exemple : Ben Badis, Larbi Ben M'hidi, Djamel Menad, Houari Boumédiène, Slimane Azem, Mouloud Mammeri, Matoub Lounès, Mouloud Feraoun, Amirouche Aït Hamouda, Ferhat Abbas... Ces personnalités (de sexe masculin) peuvent avoir des liens variés dans les domaines de la religion, de la guerre, de l'histoire, de la politique, du football, du sport, du sport collectif, de l'art, de la musique, de la littérature ou de la science. Ces célébrités peuvent également avoir été cheikh, religieux, homme politique, nationaliste, entraineur, entraineur de football, footballeur, sportif, colonel, militaire, artiste, chanteur, musicien, anthropologue, écrivain, linguiste, scientifique ou poète.
Politicien algérien, militant nationaliste, combattant et responsable du FLN durant la guerre d'Algérie (1954-1962), il est arrêté, torturé, puis exécuté sans jugement par l'armée française durant la bataille d'Alger en 1957. Considéré comme un « héros » de la « Révolution algérienne » en Algérie, plusieurs lieux et édifices institutionnels se sont vus attribuer son nom. 
Footballeur algérien, attaquant, il compte 79 sélections pour 25 buts en équipe nationale entre 1980 et 1995. 
Chanteur et musicien algérien connu pour ses chansons « Algérie, mon beau pays », « Ur mazal » ou « Baba ghayou ». La jeune garde artistique kabyle perpétue sa mémoire à travers des reprises de ses chants les plus bouleversant et la ville de Moissac a décidé d'honorer l'ancien chanteur berbère en donnant une place qui porte son nom. 
Chanteur, musicien, auteur-compositeur-interprète et poète algérien d'expression kabyle, militant de la cause identitaire amazighe en Algérie, a apporté sa contribution dans la revendication et la popularisation de la culture amazighe et du combat pour la démocratie ainsi que pour la laïcité en Algérie. Il fait partie, avec Slimane Azem, Cheikh El Hasnaoui ou encore Lounis Aït Menguellet et Idir, des plus grandes figures de la chanson kabyle. 
Colonel de l'Armée de libération nationale (ALN) et chef de la wilaya III pendant la guerre d'indépendance de l'Algérie. Il devient la bête noire de la France qui mobilise vainement, pour en venir à bout, près de 11 000 hommes, auxquels s’ajoutent les unités locales, 8 généraux et 27 colonels lors de l’opération Brumaire en 1958. L'image du colonel Amirouche est cependant loin de faire l'unanimité en Algérie. Il est notamment fortement critiqué pour les purges sanglantes qui se déroulent dans la Wilaya III durant l'opération bleuite et qui affaibliront durablement celle-ci. Il est trahi par certains de ses camarades et tombe dans une embuscade tendue par l'armée française le 28 mars 1959. 
Politicien algérien, joua un rôle essentiel dans l'histoire de la révolution algérienne, considéré comme le dirigeant « le plus politique » du FLN, surnommé « l'architecte de la révolution ». Principal organisateur avec Larbi Ben M'hidi du congrès de la Soummam, il trace les grandes lignes du mouvement révolutionnaire consistant à créer un État dans lequel l'élément politique l'emporte sur l'élément militaire, et a opté pour le pluralisme politique et linguistique en Algérie. Victime des luttes internes entres les colonels, partisans du pouvoir militaire, et les défenseurs du primat accordé au politique, il est assassiné sur l'ordre des « colonels » du CCE en 1957. 
Chanteur algérien de Raï assassiné à 26 ans par des intégristes islamistes. Sa mémoire reste un symbole pour la jeunesse algérienne. Il laisse derrière lui l'image d'un homme martyr et reste l'idole d'une génération toute entière. Ses chansons les plus connues sont « Baida mon amour », « Libini ou binha » ou « Had Zine ». 
Humoriste franco-algérien, une des figures du « Jamel Comedy Club », a joué dans les film « Mohamed Dubois » (2013, comédie, avec Éric Judor) et « Alad'2 » (2018, comédie, avec Kev Adams). 
Politicien algérien, cofondateur et le président du FSI (Front Islamique du Salut) en Algérie, dissout en mars 1992 par le tribunal administratif d'Alger. 
Chanteur algérien de raï, grandes figures du raï des années 2000, avec des titres très connus comme « wech djabek liya kheira », ou encore « ach dani lel ghorba », il était connu pour dénoncer la « hogra » des autorités dans ses chansons, et cela lui avait d’ailleurs valu une période d’emprisonnement. 
Politicien algérien, président algérien de 1999 à 2019. Considéré comme l’artisan de la réconciliation nationale, il avait été chassé du pouvoir en 2019. 
Réalisateur algérien connu pour ses films « Prends 10000 balles et casse toi » (1982, comédie), « De Hollywood à Tamanrasset » (1991) ou encore « 100% Arabica » (1997, comédie). 
Chanteur algérien, chanteur de raï très populaire et icône gay de la scène algérienne. 
Footballeur algérien, ancien joueur du Red Star qui avait ébloui le Stade de France lors d'un 32e de finale de Coupe de France face à l'OM en 2012. 
Chanteur algérien, inspirée par différents styles, tels que le raï, le chaâbi, la techno, le rock 'n' roll et le punk, il fut leader du mythique groupe Carte de Séjour dans les années 1980, et l'une des figures du rock de cette décennie de la France Black-Blanc-Beur. Il est connu pour avoir repris la chanson Charles Trenet « Douce France ». 
Chanteur algérien, l’un des principaux ambassadeurs de la chanson kabyle, connu pour sa chanson « A Vava Inouva » qui devient rapidement dans les années 1970 un tube planétaire, le 1er grand tube venu directement d'Afrique du Nord. Son oeuvre a contribué au renouvellement de la chanson berbère, et a apporté à la culture berbère une audience internationale. 
Chanteur et musicien algérien, l'un des principaux chanteurs Kabyles (avec Idir et Lounis Ait Menguellet), il avait représenté la chanson algérienne en France mais aussi sur des scènes européennes et en Amérique. 
Chanteur algérien, icône de la chanson oranaise, il a marqué la chanson algérienne en modernisant des styles traditionnels comme le Bédoui ou le Raï. Il est également l'un des fondateurs avec Ahmed Wahby du genre musical nommé El Asri (un genre nouveau né à Oran dans les années 1940 et influencé par la musique arabe traditionnelle du Moyen-Orient avec un langage poétique typiquement oranais). 
Politicien algérien, officier de l'armée de libération nationale (ALN) de l'intérieur de 1956 à l'indépendance. Il s'oppose au clan d'Oujda depuis la crise de l'été 1962 : il est l'un des membres fondateurs du Front des forces socialistes (FFS) en 1963 et une figure du Hirak en 2019-2020. Pour les algériens, il est « l’homme qui ne s’est jamais rendu », un opposant irréductible, le héros de l’indépendance qui avait pris parti pour le Hirak dès le début en 2019, engagement qui lui valut d’être emprisonné 6 mois à l’âge de 86 ans. 
Militaire algérien, chef d'État-Major au sein de l'Armée nationale populaire et vice-ministre de la Défense nationale, devenu la bête noire des manifestants en 2019 à la suite de manifestations de masse contre le régime, il pousse à la démission le président Abdelaziz Bouteflika, dont il était un proche et est à son tour appelé à quitter le pouvoir quelques jours après l'investiture du nouveau président Abdelmadjid Tebboune. Il était le dernier haut responsable à avoir participé à la guerre d’indépendance de l’Algérie. 
Chanteur algérien de musique kabyle, virtuose du mandole. 
Politicien algérien, surtout connu pour avoir été l'un des négociateur des accords d'Evian et donc le dernier Algérien encore en vie ayant négocié ce texte historique qui mit fin à la guerre d'Algérie. 
Acteur franco-algérien, grande figure du théâtre et du cinéma algérien, 50 ans de carrière, + de 120 films, connu pour les rôles dans les films acclamés par la critique « Étoile aux dents », « Poulou le magnifique », « Gates of the Sun », « Close Enemies », « Papicha », « Le sang des loups », « De Hollywood à Tamanrasset » ou « Hors la loi ». 
Footballeur algérien, ancien défenseur de Montpellier et international algérien, 13 sélections en équipe nationale entre 1981 et 1986. 
Acteur franco-algérien, connu pour son rôle dans la série policière « Candice Renoir ». 
Romancier algérien francophone, poète et dramaturge natif de Kabylie, il était exilé en France depuis 1991. 
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