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Célébrités mortes en 1940

13 célébrités

Découvrez notre liste de 13 célébrités mortes en 1940 connues comme par exemple : Emma Goldman, Marcus Garvey, Henri Guillaumet, Léon Trotsky, Arthur Neville Chamberlain, Ben Badis, Robert Wadlow, Francis Scott Fitzgerald, Paul Klee, Mikhaïl Boulgakov... Ces personnalités peuvent avoir des liens variés dans les domaines de l'art, de l'assassinat, de l'homicide, de l'homicide volontaire, de la justice, de la littérature, du meurtre, de la politique, de l'histoire, de la politique de gauche, de la religion, des record, de la peinture ou du théâtre. Ces célébrités peuvent également avoir été anarchiste, artiste, écrivain, homme politique, hors-la-loi, militant, militant des droits des femmes, militant libertarien, aviateur, communiste, révolutionnaire, homme d'état, premier ministre, cheikh, religieux, homme le plus grand, recordman, peintre, médecin ou scientifique. En ce qui concerne leurs nationalités au moment de leurs morts, ils peuvent avoir été russe, jamaïcain, francais, anglais, algérien, américain ou suisse par exemple.

13 célébrités populaires

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Emma Goldman

1869 - 1940
Russe, 70 ans

Anarchiste russe connue pour son activisme politique, ses écrits et ses discours radicaux libertaires et féministes. Elle a joué un rôle majeur dans le développement de la philosophie anarchiste en Amérique du Nord et en Europe dans la première moitié du XXe siècle. Elle fut une écrivaine et conférencière renommée, captivant des milliers de personnes sur la philosophie anarchiste, les droits des femmes ou les luttes sociales. Avec son amant, Alexander Berkman, elle organise, en 1892, une tentative d'assassinat de l'industriel Henry Frick, conçu comme un acte de propagande par le fait et sera condamné à 22 ans de réclusion. Pour certains, Emma Goldman est une « femme rebelle », libertaire et libre penseuse. Pour ses détracteurs, c'est une avocate de l'assassinat politique et de la révolution violente. Ses écrits et ses conférences touchent des domaines aussi divers que la prison, l'athéisme, la liberté d'expression, le militantisme, le mariage ou l’homosexualité. Bien qu'elle ne partage pas la revendication de la première vague du féminisme en faveur du droit de vote des femmes, elle développe une nouvelle réflexion intégrant davantage les femmes et la sexualité dans la philosophie anarchiste.