0Suisse (hommes) nés au 20ème siècle et morts au 21ème siècle
Découvrez notre liste de 66 suisse (hommes) (toutes catégories confondues) nés au 20ème siècle et morts au 21ème siècle connus comme par exemple : Nicolas Hayek, Yves Rénier, Hans Küng, Alain Delon, Ellis Zbinden, Hazy Osterwald, Ferdi Kubler, Bruno Ganz, Jean-Luc Godard, Chaïm Nissim... Ces personnalités (de sexe masculin) peuvent avoir des liens variés dans les domaines du business, de l'art, du cinéma, du doublage, de la télévision, du théâtre, de la religion, de la peinture, de la musique, du cyclisme, du cyclisme sur route, du sport, people ou de la politique. Ces célébrités peuvent également avoir été artisan, artiste, entrepreneur, homme d'affaire, horloger, acteur, animateur, animateur de télévision, cinéaste, doubleur, scénariste, catholique, chrétien, croyant, prêtre, religieux, scientifique, théologien, producteur, producteur de cinéma, peintre, chanteur, musicien, coureur cycliste, sportif, critique, critique de cinéma, dialoguiste, journaliste, monteur, écologiste, homme politique, militant ou militant anti-nucléaire. En ce qui concerne leurs nationalités au moment de leurs morts, ils peuvent avoir été francais par exemple.
Entrepreneur suisse, président du groupe horloger Swatch Group, il a beaucoup oeuvré pour sauvegarder le savoir-faire horloger et sauver l'horlogerie mécanique Suisse de haut de gamme. Il est également l'inventeur du concept de la minivoiture Smart. 
Acteur franco-suisse, connu pour son rôle du commissaire Moulin dans la série éponyme sur la chaine de télé française TF1. 
Prêtre catholique et théologien suisse, dérangeant et moderniste, ce penseur a consacré l’essentiel de sa réflexion à l’évolution de l’Eglise dans l’esprit du concile Vatican II, auquel il était resté attaché toute sa vie (il était en opposition permanente avec les autorités ecclésiales). 
Acteur français, figure emblématique du cinéma français, avec + de 136 millions de spectateurs au moment de sa mort, il est l'un des acteurs ayant enregistré le plus d'entrées en France. Un grand nombre de films dans lesquels il a joué sont devenus des classiques du cinéma, parmi lesquels Plein Soleil (1960, thriller), Rocco et ses frères (1960, policier), Mélodie en sous-sol (1960, drame, avec Jean Gabin), Le Guépard (1963, drame, avec Burt Lancaster), L'Insoumis (1964), Le Samouraï (1967, film noir), La Piscine (1969, drame, avec Romy Schneider), Le Clan des Siciliens (1969, drame, avec Jean Gabin et Lino Ventura), Le Cercle rouge (1970, film noir, avec Bourvil), Borsalino (1970, policier, avec Jean-Paul Belmondo), Un flic (1970, policier, avec Catherine Deneuve), Monsieur Klein (1976, drame) ou Notre histoire (1984, comédie dramatique). César du meilleur acteur en 1985 pour Notre histoire et une Palme d'honneur lors du festival de Cannes 2019 pour l'ensemble de sa carrière. 
Peintre suisse, aquarelliste connu pour ses tableaux et sa soif d'aventures, il a d'ailleurs passé une grande partie de sa vie à voyager de par le monde. 
Chanteur suisse, connu principalement grâce à son groupe de jazz, le « Hazy Osterwald Sextett », fondé en 1949 et qui exista pendant plus de 25 ans. 
1er cycliste suisse à remporter le Tour de France (1950) et le plus ancien vainqueur du Tour encore vivant juste avant sa mort en 2016. 
Acteur suisse, connu pour ses rôles de Damiel dans « Les Ailes du désir » (1987, de Wim Wenders) et celui de Hitler dans « La Chute » (2004, d’Oliver Hirschbiegel) qui relate les derniers jours du dictateur, terré dans son Führerbunker à Berlin. De 1996 à 2019, il est le dépositaire de l'anneau de Iffland, désignant l'acteur de théâtre de langue allemande le plus renommé. 
Cinéaste franco-suisse, chef de file de la Nouvelle Vague, il est l'un des cinéastes les plus influents par son approche radicale, entière et provocatrice. Ses films les plus connus sont « À bout de souffle » (1960, drame, avec Jean-Paul Belmondo), « Le Mépris » (1963, drame, avec Brigitte Bardot), « Pierrot le Fou » (1965, road movie, avec Jean-Paul Belmondo), « Sauve qui peut (la vie) » (1980, drame, avec Jacques Dutronc) ou « Histoire(s) du cinéma » (1980). 
Militant écologiste et pacifiste suisse, auteur en 1982 du 1er attentat non-violent sur le chantier du surgénérateur nucléaire français Superphénix. 
Photographe suisse, connu pour ses photographies de flamenco. 
Journaliste suisse, figure de la cinéphilie suisse, a créé la Cinémathèque suisse en 1948 avant de la diriger de 1951 à 1996. 
Poète suisse, récompensé par le Goncourt de la poésie en 2003 et entré dans « La Pléiade » en 2014. 
Historien des idées suisse grand intellectuel et critique littéraire, spécialiste du XVIIIe siècle, surtout connu pour son essai « Jean-Jacques Rousseau, la transparence et l'obstacle » (1957). 
Chimie franco-suisse, spécialiste en simulations moléculaires, grand promoteur de l’autonomie des universités, il est président du CNRS de 2010 à 2017. Il préside l'Université PSL (Paris Sciences et Lettres) de 2017 à 2024. 
Chanteur et compositeur suisse, connu pour ses chansons « Où sont les femmes ? » (1977) et « I Love America » (1978). Il a également composé « Le Lundi au soleil » (1972), succès chanté par Claude François. 
Plasticien, sculpteur et illustrateur suisse, considéré comme un monument du monde fantastique futuriste, il est le créateur du style biomécanique. Symbole d’une certaine vision futuriste et apocalyptique du monde, il participe à des films comme la saga Alien, dont « Alien, le huitième passager » (1979, horreur, de Ridley Scott), pour laquelle il crée et supervise le design du xénomorphe, une créature désormais entrée dans la légende du septième art, et obtiendra l'Oscar des meilleurs effets spéciaux en 1980. 
Journaliste suisse d'investigation, grand connaisseur de l’Ordre du Temple Solaire (secte ayant mené à des suicides collectifs), il a aussi écrit plusieurs livres sur les papes, se rapproche surtout du pape François et sera le 1er journaliste suisse à avoir pu monter à bord de l’avion pontifical. 
Dessinateur franco-suisse, connu pour ses « écritures », déclinées sous diverses formes comme « Il faut se méfier des mots ». 
DJ suisse considéré comme le « père » de la dream trance avec son single « Children », sorti en 1995. 
Politicien suisse, président de la Suisse à 2 reprises en 1991 et 1998 et ancien membre du Parti démocrate-chrétien. 
Dirigeant sportif suisse, membre du CIO (Comité international olympique) de 2007 à 2018 et secrétaire général de la Fédération internationale de basketball (FIBA). 
Acteur français, producteur de la série télévisée « Bonne nuit les petits » (1962-1973), il avait acquis la notoriété en tenant le rôle principal dans le film de Robert Bresson « Le Journal d'un curé de campagne » (1951) tiré de l'oeuvre de Georges Bernanos. 
Cinéaste suisse, connu pour avoir réalisé le film « La Dentellière », avec Isabelle Huppert, en 1977, et « L’Invitation », qui avait reçu le prix du jury au Festival de Cannes, en 1973. 
Footballeur suisse, gardien de but très populaire surnommé Gégène. 
Skieur et alpiniste suisse, surnommé « le Skieur de l'impossible », il est l'un des pionniers du ski extrême : il est le 1er à maîtriser la face ouest de l'Eiger (1970, en Suisse), la face Denali du Mont McKinley (le plus haut sommet d’Amérique du Nord) et le 1er à réussir la descente d’un 8000 m. 
Coureur cycliste suisse, jeune cycliste prometteur, notamment en raison de ses qualités de grimpeur, il intègre l'équipe Bahrain Victorious en 2021 et y obtient des résultats excellents jusqu'à son accident lors d'une descente de la 5e étape du Tour de Suisse 2023, qui lui coûte la vie. 
Sculpteur suisse, ses créations de métal ou de bois, simples ou complexes, délivraient une vision poétique et personnelle du monde jouant avec la perception du spectateur. 
Alpiniste suisse surnommé la « Machine suisse », connu pour ses ascensions en solitaire et ses records de vitesse, un des ambassadeurs des « speed climbers » qui a pulvérisé pendant près de 30 ans les mythes de l'alpinisme en réalisant des ascensions à un rythme extraordinaire. 
Homme d'affaires suisse et fraudeur condamné, ancien directeur général du groupe familial zurichois Erb, mis en faillite en 2003, laissant un trou de plus de 2 milliards de francs auprès de 82 banques (2e plus grande faillite de l'histoire économique de la Suisse, après celle du groupe Swissair). 
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