Top 50Ministre des affaires étrangères (hommes)
18 célébrités
Découvrez notre liste de 18 ministre des affaires étrangères (hommes) (toutes nationalités confondues) morts et connus comme par exemple : Vladimir Makeï, Roland Dumas, Walid al-Mouallem, Abdelaziz Bouteflika, José Eduardo Dos Santos, Javier Perez de Cuellar, Sabah al-Ahmad al-Jabir al-Sabah, Henri Lopes, Béji Caïd Essebsi, Abolhassan Bani Sadr... Ces personnalités (de sexe masculin) peuvent avoir des liens variés dans les domaines de la politique, du parti socialiste, de la politique de gauche, de l'enseignement, de l'art ou de la littérature. Ces célébrités peuvent également avoir été diplomate, homme d'état, ministre, avocat, député, homme de loi, homme politique, membre du conseil constitutionnel, résistant, socialiste, ambassadeur, vice-premier ministre, ministre de la défense, président, enseignant, premier ministre, professeur de droit, émir, artiste, écrivain, ministre de l'éducation, romancier, ministre de l'intérieur, président d'un parti politique ou ministre des finances. En ce qui concerne leurs nationalités au moment de leurs morts, ils peuvent avoir été biélorusse, francais, syrien, algérien, angolais, péruvien, koweïtien, congolais, tunisien ou iranien par exemple.
18 ministre des affaires étrangères (hommes) populaires
1958 - 2022
Biélorusse, 64 ans
Politicien biélorusse, ministre des Affaires étrangères de 2012 à 2022, il était un proche allié du président biélorusse, Alexandre Loukachenko. 
Politicien et avocat français, proche de François Mitterrand, il est ministre des Relations extérieures de 1984 à 1986 et des Affaires étrangères de 1988 à 1993 puis président du Conseil constitutionnel de 1995 à 2000. 
Politicien syrien, vice-premier ministre de 2012 à 2020 et ministre des Affaires étrangères de la Syrie de 2006 à 2020. Fidèle au clan des Assad, il conserve sa place au service de Hafez el-Assad et de son fils Bachar, malgré les nombreux remaniements ministériels. 
Politicien algérien, président algérien de 1999 à 2019. Considéré comme l’artisan de la réconciliation nationale, il avait été chassé du pouvoir en 2019. 
Politicien angolais, président de la République d'Angola de 1979 à 2017 et président du Mouvement populaire de libération de l'Angola (MPLA) de 1979 à 2018. 
Politicien péruvien, 5ème secrétaire général de l'ONU (Organisation des Nations Unies) de 1982 à 1991, président du Conseil des ministres et ministre des Affaires étrangères du Pérou de 2000 à 2001. 
Émir du Koweït de 2006 à sa mort, premier ministre de 2003 à 2006, a été ministre des Affaires étrangères pendant 40 ans, de 1963 à 2003, période marquée par un autoritarisme grandissant. 
Écrivain et politicien congolais, premier ministre de la république du Congo de 1973 à 1975, ambassadeur en France de 1998 à 2015 et ex-directeur Afrique de l'Unesco, il est l'auteur congolais qui a écrit l'histoire contemporaine de son continent. 
Politicien tunisien, président de la République de 2014 à sa mort en 2019. 
Politicien iranien, 1er président de la République islamique, élu au suffrage universel avec 76 % des voix en 1980, mais est destitué par le Parlement en 1981 et vivait depuis en exil en France. 
Politicien algérien, ministre des Finances à 2 reprises entre 2001 et 2007, ministre des Affaires étrangères de 2007 à 2013, il préside le Conseil constitutionnel de 2013 à 2019, poste clé pour la présidentielle. Proche du chef de l’Etat, Mourad Medelci avait validé, en 2014, la candidature d’Abdelaziz Bouteflika à un quatrième mandat. 
Politicien malien, président du Mali de 2013 jusqu'en 2020 suite à un coup d'État. 
Politicien et milliardaire italien, président du Conseil des ministres à 3 reprises (entre 1994 et 2011), connu pour avoir dédiabolisé l'extrême-droite italienne et pour avoir perdu son siège de sénateur à la suite d'une condamnation pour fraude fiscale. 
Politicien syrien, président de Syrie par intérim du 10 juin au 17 juillet 2000 et vice-président du 17 juillet 2000 au 30 décembre 2005. Serviteur du pouvoir baassiste pendant plus de 35 ans sous Hafez Al-Assad puis sous son fils Bachar, l’ancien vice-président syrien s’était ensuite exilé en France et avait rallié l’opposition à Damas. 
Politicien algérien, surtout connu pour avoir été l'un des négociateur des accords d'Evian et donc le dernier Algérien encore en vie ayant négocié ce texte historique qui mit fin à la guerre d'Algérie. 
Politicien libyen, considéré comme « l'âme de la révolution libyenne de 2011 », il est, du 23 mars au 23 octobre 2011, président du Conseil exécutif du Conseil national de transition (CNT), l'autorité politique de transition mise en place par la rébellion libyenne contre le régime de Mouammar Kadhafi. 
Politicien indien, 13ème président de l'Inde de 2012 à 2017, intime de la famille Gandhi, a déçu ses partisans à la fin de sa vie en échangeant des amabilités avec le nationaliste Narendra Modi. 
Politicien marocain, cofondateurs du parti de l'Istiqlal et son secrétaire général de 1974 à 1998, ancien ministre de la Justice et des Affaires Étrangères. 18 ministre des affaires étrangères (hommes) au total
- Abdel Halim Khaddam
- Abdelaziz Bouteflika
- Abolhassan Bani Sadr
- Béji Caïd Essebsi
- Henri Lopes
- Ibrahim Boubacar Keïta
- Javier Perez de Cuellar
- José Eduardo Dos Santos
- M'hamed Boucetta
- Mahmoud Jibril
- Mourad Medelci
- Pranab Mukherjee
- Redha Malek
- Roland Dumas
- Sabah al-Ahmad al-Jabir al-Sabah
- Silvio Berlusconi
- Vladimir Makeï
- Walid al-Mouallem
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