0Hommes célèbres morts un 5 juillet
Découvrez notre liste de 24 hommes (toutes nationalités confondues) morts un 5 juillet connus comme par exemple : Jean-Louis Tauran, Barthélemy Thimonnier, Georges Bernanos, Pierre Henry, Albert Simon, Jean-Pierre Darras, Tiloun, Nicéphore Niepce, Nick Cordero, Richard Donner... Ces personnalités (de sexe masculin) peuvent avoir des liens variés dans les domaines de la religion, de l'invention, de l'art, de la littérature, de la musique, de la radio, du cinéma, du théâtre, de variétés, de la chimie, de la photographie, de la physique ou de la science. Ces célébrités peuvent également avoir été cardinal, évêque, prêtre, religieux, inventeur, artiste, écrivain, compositeur, animateur, acteur, cinéaste, metteur en scène, chanteur, chanteur de variétés, musicien, chimiste, ingénieur, photographe, physicien, scientifique, homme d'affaire, producteur ou producteur de cinéma. En ce qui concerne leurs nationalités au moment de leurs morts, ils peuvent avoir été francais, canadien ou américain par exemple.
Cardinal français de la Curie romaine, considéré comme le « ministre des affaires étrangères » de Jean Paul II, il était l’un des Français les plus haut placés au sein de la curie romaine. Très impliqué dans le dialogue avec l’islam, il était responsable, sous Benoît XVI et le pape François, des relations de l’Eglise avec les autres religions. 
Compositeur français de musique électroacoustique, l'un des pères de la musique électroacoustique et père de la musique concrète (mais pas dans le sens biologique), inventeur de bruits et de sons éclectiques. Il est connu du grand public pour le morceau Psyché Rock de la suite de danses « Messe pour le temps présent » et pour ses multiples collaborations avec Maurice Béjart. 
Ingénieur français, célèbre pour être l'inventeur de la photographie appelée alors « procédé héliographique ». Il est aussi l'auteur de la plus ancienne prise de vue et du pyréolophore (le premier moteur à combustion interne du monde). 
Acteur canadien, connu pour son rôle dans la série « New York unité spéciale ». 
Cinéaste américain, connu pour son film « Superman » (1978, avec Christopher Reeve), l'un des plus grands succès de l'histoire du cinéma et ayant contribué à imposer le genre de films de super-héros, ouvrant la voie aux futures sagas de Batman et de Spider-Man. Connu aussi pour sa trilogie d'horreur « La Malédiction » (1976, 1978, 1981), il a aussi relancé le goût pour les films d'action buddy movies, avec la série de films « L'Arme fatale » (1987, comédie policière, avec Mel Gibson et Danny Glover) et les films d'aventure pour enfants avec « Les Goonies » (1985, aventure, avec Sean Astin). 
Coureur cycliste français, remporte 7 étapes du Tour de France, il se classe 2e en 1951 et 3e en 1958, Champion de France en 1953, il figure parmi les coureurs ayant porté le maillot de leader sur les 3 grands tours avant de diriger l’équipe du quintuple vainqueur du Tour de France, Jacques Anquetil. 
Cinéaste et journaliste français, ancien résistant, il est connu pour être le réalisateur de « Shoah » (1985, documentaire) consacré à l’extermination des Juifs d'Europe par les nazis. Collaborateur de la revue « Les Temps modernes » depuis 1952, il en est le directeur de 1986 à sa mort en 2018. 
Journaliste et écrivain français, l'un des cofondateurs du « Point », catholique humaniste, il aura été tour à tour grand reporter, rédacteur en chef et PDG. 
Producteur américain de cinéma, connu pour avoir produit « Avatar » (2009) et « Titanic » (1997), mais aussi « Chérie, j’ai rétréci les gosses » (1989), « Dick Tracy » (1990). 
Politicien français, sénateur LR des Bouches-du-Rhône d'août 2020 à sa mort et maire de La Ciotat aux élections municipales françaises de 2001 ; il est réélu en 2008, 2014 et 2020. 
Haut fonctionnaire français spécialiste des affaires de police, de terrorisme et du renseignement, connu pour avoir été un proche du président français François Mitterrand dont il fut l'ancien directeur de cabinet (de 1988 à 1992) et condamné en 2005 dans l'affaire des écoutes de l'Elysée (puni d'une peine de prison avec sursis et d'une amende de 5 000 euros pour « atteinte à l'intimité de la vie privée », confirmées par la Cour de cassation en 2008). 
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