0Musicologue (hommes)
Découvrez notre liste de 16 musicologue (hommes) (toutes nationalités confondues) morts et connus comme par exemple : Vladimir Jankélévitch, Jean-Philippe Rameau, Béla Bartok, André Hodeir, Gilbert Rouget, Mohamed Saada, Roger Bacon, Yann-Fañch Kemener, Philippe Beaussant, Harry Halbreich... Ces personnalités (de sexe masculin) peuvent avoir des liens variés dans les domaines de l'art, de la musique, de la philosophie, de l'enseignement, de la ethnomusicologie, de la musicologie, de la musique classique, de la science, de l'ethnologie, de la musique bretonne ou de la littérature. Ces célébrités peuvent également avoir été artiste, écrivain, philosophe, scientifique, compositeur, compositeur de musique classique, enseignant, ethnomusicologue, musicien, pianiste, professeur de musique, violoniste, ethnologue, chef d'orchestre, théologien, chanteur, chanteur de musique bretonne ou académicien. En ce qui concerne leurs nationalités au moment de leurs morts, ils peuvent avoir été francais, hongrois, tunisien, anglais ou belge par exemple.
Philosophe français majeur du XXème siècle dont la virtuosité de la pensée et de la langue fait de son œuvre comme une cantate au service de la vie, dont la richesse et le sens apparaissent dans l'imprévu, le fugace, l'inattendu, dans lesquels se révèlent les grandeurs et misères des hommes : « Le Je-ne-sais-quoi et le Presque-rien » (1957), « Traité des Vertus » (1949) ou « La musique et l'ineffable » (1961). 
Compositeur et pianiste hongrois, pionnier de l’ethnomusicologie, il enregistra sur le vif nombre de morceaux de musique folklorique d’Europe de l'Est. Il est influencé à ses débuts par Richard Strauss, Liszt et Brahms dans le style tzigano-hongrois du verbunkos ; puis sa découverte de Claude Debussy et des chants paysans slaves l'oriente vers un nouveau style très personnel où sont intégrées les découvertes de Stravinsky et Schönberg. 
Éthnomusicologue français et ancien directeur du Département d’ethnomusicologie du Musée de l’Homme. 
Chanteur traditionnel français, il était à la fois l’une des plus belles voix bretonne, un homme de transmission, un artiste qui n’a jamais oublié sa langue et son pays. Acteur du renouveau du kan ha diskan (chant et contre-chant) dans les années 1970 et 1980, notamment avec Erik Marchand, il a contribué à la pérennisation de la transmission de chants traditionnels par son activité de chanteur traditionnel mais aussi dans ses activités de collectage de la tradition orale locale et de transmission de la langue bretonne. Ses collaborations diverses (au sein du groupe Barzaz mais aussi avec Dan Ar Braz, Didier Squiban, Alain Genty, Aldo Ripoche, Anne Auffret, Marcel Guilloux…) et son timbre de voix singulier ont fait de lui une figure emblématique du chant breton. Il a réalisé de nombreux disques et a chanté dans de nombreux festoù-noz. Il est décoré de l'Ordre de l'Hermine et de l'ordre des Arts et des Lettres. 
Musicologue, ethnologue et linguiste français, grand spécialiste de la littérature orale en breton, directeur de recherche au CNRS, il avait été à l'origine du département d'ethnologie de la Faculté des Lettres de l'UBO à Brest. Il dirige ainsi pendant 12 ans le Centre de recherche bretonne et celtique de 1987 à 1999 et fut l'un des premiers ethnologues à analyser la culture orale et la tradition chantée en Bretagne. 
Musicologue et éditeur français, médiéviste et spécialiste dans l'art roman, fondateur des Éditions Zodiaque en 1951. 
Critique musical et homme de radio français, inlassable défenseur de la musique contemporaine, il était à la tête des festivals de Royan et de la Rochelle. Proche de Pierre Boulez, il fut aussi directeur de la musique à Radio France entre 1989 et 1996. 
Hautboïste et chef d'orchestre français, pionnier de la musique ancienne. 
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