0Militant et militante francais
Découvrez notre liste de 19 militant et militante francais morts et connus comme par exemple : Jacqueline Jencquel, Marie Humbert, Gérard Boulanger, Maximilien Luce, Michel Klein, Graeme Allwright, Catherine Ribeiro, Gisèle Halimi, Robert Badinter, Henri Leclerc... Ces personnalités peuvent avoir des liens variés dans les domaines de la politique, de la justice, de l'art, du crime, de la littérature, de la peinture, de la guerre, de la médecine, de la science, de la télévision, de folk, de la musique, du cinéma, du rock, de variétés, de l'enseignement, du parti socialiste ou de la politique de gauche. Ces célébrités peuvent également avoir été homme politique, militant pour l'euthanasie, parent de célébrité, artiste, avocat, écrivain, essayiste, homme de loi, militant des droits de l'homme, affichiste, graveur, militant libertaire, peintre, peintre pointilliste, peintre portraitiste, animateur, animateur de télévision, médecin, militant de la cause animale, résistant, scientifique, vétérinaire, chanteur, chanteur de folk, compositeur, guitariste, militant de la non-violence, musicien, acteur, chanteur de rock, chanteur de variétés, humaniste, député, féministe, homme d'état, militant des droits des femmes, auteur d'ouvrages politiques, enseignant, militant LGBT, ministre, ministre de la justice, professeur de droit, sénateur, socialiste ou avocat pénaliste. En ce qui concerne leurs nationalités au moment de leurs morts, ils peuvent avoir été tunisien par exemple.
Militante française pour le droit à mourir dans la dignité, connue pour son annonce à Konbini de sa décision d'avoir recours au suicide assisté à l'échéance de janvier 2020. Le 29 mars 2022, elle annonce son suicide sur son blog. Elle s’est longtemps engagée à l’Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD) avant de publier un livre intitulé « Terminer en beauté » (2020). 
Militante française pour l'euthanasie, mère de Vincent Humbert qui avait relancé le débat sur la fin de vie en 2003 où son fils, tétraplégique, muet et quasiment aveugle, demandait le droit de mourir à Jacques Chirac. Elle et un médecin avaient accédé à sa demande, donnant lieu à la loi Léonetti sur la fin de vie. 
Avocat français ayant déposé les premières plaintes contre Maurice Papon. 
Peintre français, militant libertaire, il produit de nombreuses illustrations engagées politiquement. S'inscrivant dans le mouvement néo-impressionniste, il use de la technique du divisionnisme (ou pointillisme), développée par Georges Seurat et revient par la suite à une facture plus classique, mais qui garde l'harmonie et la luminosité de sa première période. Parmi ses principales oeuvres : « La Toilette », « La Fonderie », « Notre-Dame de Paris » ou « Une rue de Paris en mai 1871 ». 
Vétérinaire français, militant pour la cause animale connu pour son activité vétérinaire sur les animaux de zoo, de cirque, ainsi que pour ses émissions télévisées comme « Les Animaux du monde », « 30 millions d'amis », « Le Club Dorothée » ou sa chronique intitulée « Terre, attention danger ». 
Chanteur français de folk, a adapté et introduit en français les oeuvres de protest song américains (chanteurs contestataires comme Woody Guthrie et Pete Seeger), ainsi que de nombreuses chansons de Leonard Cohen, mais aussi composé des chansons entrées dans la mémoire collective française. 
Chanteuse française de rock, figure impérissable du rock libertaire avec ses groupes Alpes et 2 Bis, humaniste militante, ses engagements multiples en font dans les années 1970 une « pasionaria rouge ». Son refus des projecteurs et ses choix artistiques radicaux la poussèrent peu à peu en marge de l'industrie musicale. 
Avocate franco-tunisienne, militante féministe, elle a défendu des militants FLN pendant la guerre d’Algérie et s’est battue pour la libéralisation de l’avortement et la criminalisation du viol. 
Politicien et avocat français, connu pour son combat contre la peine de mort dont il soutient l'abolition devant le Parlement en 1981, proche de François Mitterrand, membre du Parti socialiste, il est successivement garde des Sceaux de 1981 à 1986, président du Conseil constitutionnel de 1986 à 1995 et sénateur des Hauts-de-Seine de 1995 à 2011. Tout au long de son engagement politique, il prend position pour la réinsertion des détenus, pour une série d'évolutions du Code pénal ainsi que pour la lutte contre l'antisémitisme et contre l'homophobie. 
Avocat pénaliste français, grand nom du barreau de Paris, connu pour avoir été un ardent défenseur des Droits de l'Homme et des libertés publiques et ancien président de la Ligue des droits de l’homme. 
Embryologiste français, principalement connu pour son engagement dans la lutte contre l'avortement. 
Journaliste et militant français, pourfendeur des violences policières, il est l'auteur de nombreux livres dans lesquels il a abordé les thèmes du génocide des juifs en France, de la police et des atteintes aux libertés. En 1994, il a cofondé l'Observatoire des libertés publiques, qu'il préside. 
Évêque français de 1982 jusqu'à sa décharge 1995, en raison de ses prises de position contraires au magistère de l'Église catholique, notamment pour avoir défendu les homosexuels. 
Sociologue français, militant anti-sida et président-fondateur de AIDES (première association française de lutte contre le sida) qu'il après la mort de son compagnon, le philosophe Michel Foucault. 
Haut fonctionnaire français, 1er préfet handicapé de France. Myopathe, il s’est battu toute sa vie pour promouvoir la participation des personnes handicapées à la vie démocratique. 
Résistant et photographe français, surnommé le « Faussaire de Paris », il a permis de sauver des milliers de juifs de la déportation en falsifiant des papiers d’identité. Il poursuivra cette activité clandestine pendant 30 ans, pour différents mouvements de libération et pour des personnes opprimées par des dictatures, s'interdisant toujours d'être payé. 
Pilote automobile français de Formule 1 de 1984 à 1989, il reste paralysé après un grave accident en 1989. 
Avocat français, président la Ligue des droits de l'homme de 2000 à 2005. 
Militante pour la cause des femmes handicapées, présidente et fondatrice en 2003 de l'association FDFA (Femmes pour le dire, femmes pour agir) pour lutter contre la «double discrimination» qui consistait, selon elle, à «être femme et être handicapée». 
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