0Évêque (hommes et femmes)
Découvrez notre liste de 41 évêque (hommes et femmes) (toutes nationalités confondues) morts et connus comme par exemple : Richard Williamson, Jean-Marie Benoît Balla, Jacques Gaillot, Pierre Pican, René Séjourné, Henri Teissier, Pedro Casaldáliga, Guichard De Pontigny, Amfilohije Radovic, Adolphe-Marie Hardy... Ces personnalités peuvent avoir des liens variés dans les domaines de l'extrême droite, de la politique, de la religion, de l'agression sexuelle, de la justice, de la pédophilie ou de la politique de gauche. Ces célébrités peuvent également avoir été catholique, chrétien, conservateur, croyant, homme politique, négationniste, prêtre, religieux, militant, archevêque, scientifique, socialiste, théologien, abbé ou moine. En ce qui concerne leurs nationalités au moment de leurs morts, ils peuvent avoir été anglais, camerounais, francais, algérien, brésilien ou monténégrin par exemple.
Évêque catholique intégriste britannique, connu pour ses propos négationnistes, il nie à plusieurs occasions l'existence des chambres à gaz nazies, accuse les autorités américaines d'avoir organisé les attentats du 11 septembre 2001 et affirme que les Juifs sont les « premiers serviteurs du diable » et probablement les créateurs de la Covid-19. 
1959 - 2017
Camerounais, 58 ans
Religieux catholique camerounais connu pour avoir été évêque de Bafia de 2003 jusqu'à sa mort mystérieuse en 2017. 
Évêque français de 1982 jusqu'à sa décharge 1995, en raison de ses prises de position contraires au magistère de l'Église catholique, notamment pour avoir défendu les homosexuels. 
Évêque français à la tête du diocèse de Bayeux-Lisieux de 1988 à 2010, il fut le premier évêque français à avoir été condamné, en 2001, pour non-dénonciation de pédophilie. 
Évêque français, ancien proche collaborateur du pape Jean-Paul II à la secrétairerie d’État du Vatican et évêque émérite de Saint-Flour. 
Religieux franco-algérien, catholique, évêque d'Oran de 1972 à 1980, puis évêque coadjuteur d'Alger, et archevêque d'Alger de 1988 à 2008. 
Évêque catholique brésilien, fervent défenseur des indigènes d'Amazonie et l'un des principaux représentants de la Théologie de la Libération latino-américaine. 
Homme d'Église français, moine cistercien, abbé de Pontigny à partir de 1136 puis archevêque de Lyon à partir de 1165, il solde le conflit avec le comte laïc de Lyon en signant l'acte connu sous le nom de Permutatio et lance la construction de l'actuelle cathédrale Saint-Jean à Lyon. 
1938 - 2020
Monténégrin, 82 ans
Religieux monténégrin, 45e métropolite du Monténégro et du littoral de 1990 à 2020 (titre religieux porté par certains évêques des Églises d'Orient). 
Évêque italien, nommé le « patron des amoureux » par le pape Alexandre IV en 1496 après avoir été martyrisé sous l'Empereur Claude II le Gothique au IIIe siècle. Il est fêté lors de la « Saint-Valentin » le 14 février. 
Cardinal français de la Curie romaine, considéré comme le « ministre des affaires étrangères » de Jean Paul II, il était l’un des Français les plus haut placés au sein de la curie romaine. Très impliqué dans le dialogue avec l’islam, il était responsable, sous Benoît XVI et le pape François, des relations de l’Eglise avec les autres religions. 
Pape polonais de l’Église catholique, canonisé en 2014, premier pape non italien depuis le pape néerlandais Adrien VI en 1522, ainsi que le premier pape polonais et slave de l’histoire du catholicisme. Il s'oppose à l'idéologie communiste et par son action, notamment en Pologne, favorise la chute du bloc de l'Est. Sa volonté de défense de la dignité humaine le conduit à promouvoir les droits de l’homme. Il améliore sensiblement les relations du catholicisme avec les juifs, les orthodoxes, les anglicans et les musulmans. Il est à l’origine de la première réunion internationale inter-religieuse d’Assise en 1986, réunissant plus de 194 chefs de religion. Son pontificat (26 ans, 5 mois et 18 jours) est à ce jour le troisième plus long de l’histoire catholique après ceux de saint Pierre (25 ans selon la tradition, non documentée) et Pie IX (31 ans et 8 mois). Il a parcouru plus de 129 pays pendant son pontificat, plus de 500 millions de personnes ayant pu le voir durant cette période, et institué de grands rassemblements, comme les Journées mondiales de la jeunesse. Il a béatifié 1 340 personnes et canonisé 483 saints, soit plus que pendant les 5 siècles précédents. Jean-Paul II est généralement considéré comme l’un des meneurs politiques les plus influents du XX siècle. Plus encore, il est présenté de plus en plus comme le modèle de la nouvelle évangélisation, portée par l'ensemble de sa vision pastorale et incarnée jusque dans sa sainteté de vie. Béatifié le 1 mai 2011 par son successeur le pape Benoît XVI, puis canonisé par le pape François le 27 avril 2014, il est considéré comme saint par l'Église catholique et est fêté le 22 octobre, date de son intronisation pontificale. 
Ecclésiastique catholique français, il fut cardinal-archevêque de Paris de 1968 à 1981. 
L'un des principaux Pères de l'Église, surnommé « Basile le Grand » de son vivant, il est l'auteur d'une règle connue comme la règle de saint Basile, devenue la principale règle monastique de l'Église d’Orient et a partiellement inspiré la règle de saint Benoît dans l'Occident chrétien. Il pratiqua l'ascèse toute sa vie. Il est l'un des précurseurs du christianisme social grâce aux institutions qu’il crée pendant la famine de 370 (et qui portent son nom « Basiliade »). Il défend la foi de Nicée contre l’arianisme et écrit des traités sur le Saint-Esprit, développant la théologie de la Trinité. Il cherche autant que possible à pacifier les divisions au sein de l’Église. Il est considéré avec son frère Grégoire de Nysse et Grégoire de Nazianze comme l'un des trois « Pères cappadociens ». Il est reconnu comme Docteur de l'Église en 1568 par le pape Pie V et est vénéré en tant que saint par les orthodoxes comme par les catholiques : il est fêté le 2 janvier en Occident, et le 1er janvier, son dies natalis, en Orient, mais également lors de la « fête des trois docteurs œcuméniques », le 31 janvier, avec Jean Chrysostome et Grégoire de Nazianze. 
Archevêque italien de Milan de 2002 à 2011 incarnant la ligne du pape François dans l'Église italienne et faisant partie du paysage catholique italien. Les journalistes italiens l'avaient surnommé le « petit cardinal au grand coeur ». 
Religieux italien, cardinal catholique, secrétaire d’Etat et collaborateur indéfectible de Jean Paul II, il était une figure controversée du Vatican en raison de ses liens avec la dictature chilienne et son rôle dans l’étouffement des affaires de pédophilie au sein de l’Eglise. 
Cardinal brésilien de l'Église catholique romaine, franciscain et préfet émérite de la Congrégation pour le clergé à partir de 2010, il était proche du pape François. 
Cardinal français, ancien ambassadeur privé de Jean Paul II, il était l’un des français les plus connus et estimés au Vatican et dans la ville de Rome. 
Saint catholique romain dont les vertus, actions de chair et miracles qu’il aurait accomplis dans la région auraient contribué à la conversion de près de 30 000 hommes. Décapité par les romains, il aurait ressuscité et marché en tenant sa tête dans ses mains. 
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