0Homme politique nés en 1920
Découvrez notre liste de 19 homme politique (toutes nationalités confondues) nés en 1920 morts et connus comme par exemple : Jacques Hébert, Michel Durafour, Abane Ramdane, Fred Moore, Robert Hersant, Jean Lecanuet, Georges Marchais, Robert Boulin, Arthur Conte, Daniel Cordier... Ces personnalités (de sexe masculin) peuvent avoir des liens variés dans les domaines de la guerre, de la médecine, de la science, de l'art, de la littérature, de la politique, de l'assassinat, de l'histoire, de l'homicide, de l'homicide volontaire, de la justice, du meurtre, du business, du parti communiste français, de la politique de gauche ou de la collection. Ces célébrités peuvent également avoir été député, homme d'état, maire, médecin, militaire, résistant, scientifique, artiste, écrivain, ministre, ministre de la fonction publique, ministre de la réforme de l'État, ministre du travail, romancier, sénateur, révolutionnaire, colonel, éditeur, homme d'affaire, communiste, historien, auteur d'ouvrages historiques, collectionneur, mémorialiste ou monarchiste. En ce qui concerne leurs nationalités au moment de leurs morts, ils peuvent avoir été francais ou algérien par exemple.
Politicien français, ancien compagnon de la Libération ayant participé à la prise du "nid d'aigle" (appelé Kehlsteinhaus, centre de conférence pour le Parti national socialiste). Il fut ancien maire de Cherbourg de 1959 à 1977 et député de la 5e circonscription de la Manche de 1962 à 1973. 
Politicien français, ministre de la Fonction publique et des Réformes administratives de 1988 à 1991 (sous François Mitterrand) après avoir été Ministre du Travail de 1974 à 1976 (sous Valéry Giscard d'Estaing), fut l'un des premiers « ministres d'ouverture », expression inventée pour lui quand une poignée de centristes avaient accepté la main tendue de François Mitterrand en 1988. Le geste politique avait frappé à l'époque et la formule est restée depuis. 
Politicien algérien, joua un rôle essentiel dans l'histoire de la révolution algérienne, considéré comme le dirigeant « le plus politique » du FLN, surnommé « l'architecte de la révolution ». Principal organisateur avec Larbi Ben M'hidi du congrès de la Soummam, il trace les grandes lignes du mouvement révolutionnaire consistant à créer un État dans lequel l'élément politique l'emporte sur l'élément militaire, et a opté pour le pluralisme politique et linguistique en Algérie. Victime des luttes internes entres les colonels, partisans du pouvoir militaire, et les défenseurs du primat accordé au politique, il est assassiné sur l'ordre des « colonels » du CCE en 1957. 
Ancien résistant français, il connu pour avoir été un des premiers à répondre à l'Appel du général de Gaulle en 1940. Compagnon de la Libération, il fut député de la Somme (de 1958 à 1962) et dernier chancelier de l'ordre de la Libération (de 2011 à 2012). Il ne reste plus que 10 Compagnons de la Libération au moment de sa mort. 
Résistant français, l'un des premiers français à avoir rallié les Forces françaises libres en juin 1940 et l'auteur de plusieurs ouvrages sur la Seconde Guerre mondiale. Secrétaire de Jean Moulin en 1942-1943, au contact de qui ses opinions ont évolué vers la gauche, il lui a consacré une biographie en plusieurs volumes de grande portée historique. Il est fait compagnon de la Libération en 1944. 
Avocat français, président du CRIF (Conseil représentatif des institutions juives de France) de 1983 à 1989, un des principaux représentants du judaïsme libéral en France. Pendant l’Occupation de la Seconde Guerre Mondiale, il fut l’un des responsables de la Résistance juive de France. 
Politicien marocain, l'un des principaux opposants socialistes au roi Hassan II sous le protectorat français et chef de file du mouvement tiers-mondiste et panafricaniste. Il est assassiné en France en 1965. 
Politicien canadien, le premier à devenir ministre de l'Éducation du Québec (ce ministère n'existait pas jusqu'alors, le clergé accomplissant cette tâche). Considéré comme l'un des « pères fondateurs du Québec moderne », il a laissé sa marque sur 3 générations jusqu’en Afrique et en Haïti. Il est le père de la doctrine Gérin-Lajoie. 
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