Communiste, Homme politique (Parti communiste français, Politique, Politique de gauche).
Francais, né le 7 juin 1920 et mort le 16 novembre 1997
Enterré (où exactement ?).
Georges Marchais (7 juin 1920 à la Hoguette (Calvados) - 16 novembre 1997 à Paris) était un homme politique français. Mécanicien ajusteur dans l'industrie aéronautique (Snecma) en 1940. Réquisitionné pour le STO en Allemagne en 1942 (épisode ayant fait l'objet de polémiques et procédure judiciaire en 1979-1980). En 1946, il est secrétaire du syndicat des métaux d'Issy-les-Moulineaux. Secrétaire du centre intersyndical CGT dans la même commune en 1951, secrétaire de l'Union des syndicats de travailleurs de la métallurgie de la Seine de 1953 à 1956. Membre du Parti communiste français (PCF) depuis 1947. En 1956, il est membre suppléant du comité central du PCF et secrétaire de la Fédération de la Seine-Sud, puis en 1959 membre du comité central et du bureau politique.
À partir de 1961, il est secrétaire à l'organisation puis secrétaire général adjoint en 1970. En 1968, il s'oppose à la grève étudiante et attaque Daniel Cohn-Bendit, qu'il qualifie d' « anarchiste allemand ». Cosignataire du programme commun du gouvernement avec le PS et les Radicaux de gauche en juin 1972. En décembre 1972, il devient secrétaire général du PCF, succédant à Waldeck Rochet, décroché du poste par la maladie. Élu député de la Ire circonscription du Val-de-Marne (Arcueil-Cachan-Villejuif) en mars 1973, et régulièrement réélu à chaque scrutin jusqu'en 1997.
Tête de la liste du PCF aux élections européennes de 1979, il est élu député européen jusqu'en 1989. Candidat communiste à l'élection présidentielle 1981, il obtient 15,34% des voix, ce qui constitue un échec électoral pour le parti. En 1994, à l'occasion du 28e Congrès du PCF, il cède son siège de secrétaire général à Robert Hue mais reste membre titulaire du bureau politique (renommé bureau national). La même année, il devient président du comité du PCF pour la défense des libertés et droits de l'homme en France et dans le monde.Georges Marchais meurt le 16 novembre 1997 à l'hôpital Lariboisière, à la suite d'un malaise cardiaque.
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1 | Jesuismort (admin) |
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0 | Crom |
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Nous pouvons être ou ne pas être d'accord avec sa politique, cela regarde chacun de nous, mais pour ma part il savait défendre la classe ouvrière avec talent
meilleur défenseur des ouvriers
Rassembleur ! Que l'on aime ou pas Georges Marchais , il aura eu l'avantage de mobiliser une grande parti des Français dans un débat politique alors qu'aujourd'hui nous sommes de plus en plus nombreux à trouver fade et sans beaucoup d'intérêt