0Critique de cinéma (hommes)
Découvrez notre liste de 17 critique de cinéma (hommes) (toutes nationalités confondues) morts et connus comme par exemple : Freddy Buache, Jean Douchet, Michel Ciment, André S. Labarthe, Pascal Kané, Peter Bogdanovich, Jean-Luc Godard, Kurt Tucholsky, Henry Chapier, Yoshishige Yoshida... Ces personnalités (de sexe masculin) peuvent avoir des liens variés dans les domaines de l'art, du cinéma, du journalisme, de la littérature, de l'histoire, de la radio, people, de la télévision, du documentaire ou du théâtre. Ces célébrités peuvent également avoir été artiste, critique, écrivain, journaliste, poète, acteur, auteur d'ouvrages artistiques, cinéaste, historien, historien du cinéma, scénariste, scientifique, homme d'affaire, producteur, producteur de radio, producteur de cinéma, dialoguiste, monteur, critique littéraire, critique musical, homme politique, militant, parolier, romancier, socialiste, animateur, animateur de télévision, documentariste ou metteur en scène. En ce qui concerne leurs nationalités au moment de leurs morts, ils peuvent avoir été suisse, francais, américain, allemand ou japonais par exemple.
Journaliste suisse, figure de la cinéphilie suisse, a créé la Cinémathèque suisse en 1948 avant de la diriger de 1951 à 1996. 
Critique et historien du cinéma français, grand cinéphile et figure historique des « Cahiers du cinéma » (revue française mensuelle de cinéma créée en 1951). 
Critique français de cinéma, figure de l'émission « Masque et la Plume » sur France Inter, il a couvert le Cinéma toute sa vie, c'était sa grande passion et il s’est imposé comme l’une des références majeures dans ce domaine. 
Critique de cinéma français connu pour être une figure familière de la cinéphilie française. 
Cinéaste et critique de cinéma français, a collaboré dans la revue des Cahiers du cinéma entre 1967 et 1981, avant de devenir cinéaste de fictions, dont « Dora et la Lanterne magique » (1978) ou « Liberty belle » (1983), et de documentaires, dont « La Théorie du fantôme » (2001). 
Réalisateur américain de cinéma, connu pour son film « La Dernière Séance » (1971, drame) qui a remporté 2 Oscars. 
Cinéaste franco-suisse, chef de file de la Nouvelle Vague, il est l'un des cinéastes les plus influents par son approche radicale, entière et provocatrice. Ses films les plus connus sont « À bout de souffle » (1960, drame, avec Jean-Paul Belmondo), « Le Mépris » (1963, drame, avec Brigitte Bardot), « Pierrot le Fou » (1965, road movie, avec Jean-Paul Belmondo), « Sauve qui peut (la vie) » (1980, drame, avec Jacques Dutronc) ou « Histoire(s) du cinéma » (1980). 
Journaliste et écrivain allemand engagé de l'époque de la République de Weimar et coéditeur de l'hebdomadaire Die Weltbühne dénonçant les tendances antidémocratiques dans les domaines politique, militaire et juridique de l'Allemagne de son époque, et la menace du National-socialisme. 
Journaliste et animateur d'émission de télévision français, personnalités de la politique, des arts et du show-business, il est notamment connu pour avoir présenté l'émission d'interview de personnalités Le Divan sur FR3/France 3 de 1987 à 1994 ou près de 300 invités se sont succédé sur son divan dont Simone Veil, Jeanne Moreau, Francis Ford Coppola ou encore Jean-Marie Le Pen. 
Cinéaste japonais, figure de la Nouvelle Vague japonaise des années 1960, il est connu pour ses films «Eros + Massacre» (1969, drame), «La Source thermale d'Akitsu» (1962, drame) ou «Femmes en miroir» (2002, drame). 
Réalisateur français, connu pour ses adaptations comme « Le Petit Nicolas » (2009, comédie, avec Kad Merad) ou « Astérix et Obélix : au service de Sa Majesté » (2012, comédie, avec Édouard Baer). 
Romancier français, il reçu le prix Fémina (1997) et fut le défenseur de "l'autofiction", a été récompensé en 2018 par le prix de l'Académie française pour l'ensemble de son oeuvre. 
Cinéaste mexicain, homme de gauche, irréductible internationaliste, inventeur de formes, il a connu la reconnaissance hors de son pays avec ses films sur la révolution mexicaine et l’artiste Frida Kahlo. 
Réalisateur lituanien, figure du cinéma underground et de la contre-culture, il a popularisé le journal filmé. Engagé dans un art de l’image affranchi de toute forme d’académisme, ses films les plus connus sont : « The Brig », « Walden », « Lost Lost Lost » ou « Reminiscences of a Journey to Lithuania ». 
Réalisateur français connu pour être l'auteur d'un remarquable documentaire sur le monde du travail « Reprise » (1997). 
Journaliste français, il était « le plus vieux journaliste de France encore en activité ». Collaborateur du journal Le Parisien, dont il était le doyen, il était critique de cinéma et de théâtre. 
Romancier franco-belge, 2ème auteur (après Philippe Hériat) à avoir reçu à la fois le prix Renaudot (pour « La Démence du boxeur » en 1992) et le prix Goncourt (en 2005 pour « Trois jours chez ma mère ») ; il est membre de l'Académie française. 
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