Jean-Claude Mézières

 
Jean-Claude Mézières
1938 - 2022
 

Dessinateur français de bande dessinée, cocréateur de la série de science-fiction « Valérian et Laureline » (1970-2010, 22 albums).

83 ans Mort à l'âge de 83 ans (de quoi ?).

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Biographie

Jean-Claude Mézières, ou au début de sa carrière JC Mézi, né le 23 septembre 1938 à Paris et mort le 23 janvier 2022, est un dessinateur français de bande dessinée. Il est le cocréateur de la série de science-fiction « Valérian et Laureline » (1970-2010, 22 albums), avec un ami d'enfance, Pierre Christin (scénariste), et sa sœur, Évelyne Tranlé (coloriste). Parallèlement à son métier d'auteur de bande dessinée, il est aussi illustrateur et travaille pour la communication d'entreprise et la publicité. il a exercé les activités de photographe et a collaboré à la conception de plusieurs films pour la télévision et le cinéma, entre autres pour le film de Luc Besson Le Cinquième Élément. Il fut, pendant un temps, enseignant à l'université Paris-VIII. Guy Vidal, rédacteur en chef de Pilote, décrit Jean-Claude Mézières comme « un artisan passionné, qui pousse l'élégance jusqu'à être dénué du moindre sens de l'esbroufe […], c'est aussi un assez rare casse-pieds. Le fait d'être exigeant vis-à-vis de soi, vous autorise naturellement à l'être vis-à-vis des autres ».

Jean-Claude Mézières est né dans une famille qui avait le goût des arts : son père, expert automobile puis comptable dans un ministère, pratiquait l'aquarelle, sa mère, « femme au foyer », peignait sur soie, et son frère ainé dessinait pour son plaisir des bandes dessinées. Pendant la guerre, après être partis en exode dans la région de Bordeaux, ils habitent à Saint-Mandé, en région parisienne. Lors des alertes aériennes, la famille Mézières et la famille Christin, des voisins, se retrouvent dans l'abri d'une cave. C'est comme cela que Jean-Claude fait la connaissance de Pierre Christin, et Pierre de Évelyne, la sœur cadette de Jean-Claude : les amis d'enfance s'étaient rencontrés.

Dans les années 1945-1946, c'est en lisant les illustrés de son frère, OK Magazine, qu'il découvre la bande dessinée, principalement Arys Buck d'Albert Uderzo ou Kaza le Martien de Kline. Vers l'âge de dix ans, il a une véritable « révélation » quand sa marraine lui offre sa première BD, un album de Tintin, Le Lotus bleu. Le petit Jean-Claude apprend à dessiner en finissant les bandes dessinées de son frère ou en s'inspirant de ses personnages. En 1950, à onze ans, Jean-Claude réalise un premier cinq pages, Mic et Max en Afrique.

Les débuts officiels de Mézières comme dessinateur datent du Salon de l'enfance en décembre 1952. Le Figaro édite, pendant la durée du salon, un journal pour les jeunes fait par des jeunes et qui s'appelle évidemment le Journal des Jeunes. Jean-Claude Mézières fait partie du groupe de jeunes sélectionnés, il sera le dessinateur-illustrateur, et le plus âgé, à 15 ans 1/2, qui fait office de rédacteur en chef c'est Philippe Labro. C'est toujours en 1952 qu'il réalise Tintin en Californie, une histoire de 11 pages mises en couleurs, avec un Tintin au corps d'Arys Buck en personnage principal, faisant ainsi la synthèse de ses premières lectures de bandes dessinées. En 1953, inspiré cette fois par Roy Rogers, Lucky Luke et surtout Les Chapeaux noirs de Franquin, mais aussi par les films de cow-boys, il réalise une nouvelle histoire, La Grande Poursuite, de 16 pages en couleurs. Mais cette fois-ci, l'histoire ne va pas rester dans ses cartons, il confectionne un album qu'il envoie à « Monsieur Casterman », en fait Hergé, qui lui répond par lettre à l'entête des Studios Hergé « Vous avez quinze ans : c'est-à-dire tout le temps pour développer les dons que révèle, à mon avis, cette première expérience ».

À la rentrée scolaire de 1953, Mézières entre à l'École des arts appliqués pour apprendre un métier, celui de dessinateur pour tissus et papiers peints. En 1955, il réussit à faire accepter par le journal Cœurs vaillants trois planches : Bill le shérif, M. Babouin et Mic. Fort de ces premiers succès, il réalise sa vraie première histoire à suivre Les 13 marches, 16 planches en noir et blanc, qui paraissent dans Fripounet et Marisette du no 31 au no 42. Il publie ensuite sans discontinuer des illustrations et des planches sur ses propres scénarios ou sur ceux de Guy Hempay, en fait Jean-Marie Pélaprat. C'est avec ce dernier qu'il réalise une histoire d'anticipation, Expédition Noachis, où déjà les déplacements se faisaient à 3 000 kilomètres par seconde. Il dessine aussi deux planches pour le no 1078 du journal de Spirou, sur un scénario de Octave Joly, une histoire de l'oncle Paul, La première crèche.

Aux « Arts-A », Mézières rencontre Jean Giraud et Patrick Mallet. Il les entraine aux éditions Fleurus, où ils commencent aussi leur carrière de dessinateur de bande dessinée. C'est en leur compagnie qu'il rend visite à Jijé, à Champrosay (près de Draveil), et, accompagné de Mallet, il fait le voyage de Bruxelles pour rencontrer Franquin. En 1956, pendant que Giraud part retrouver sa mère au Mexique, il renoue une amitié avec Christin qui fait maintenant des études littéraires à Paris. Ils ont deux passions communes, le cinéma et le jazz, qui les mènent à vouloir réaliser un film en 8 mm, La Vie d'un rêve ; dix minutes seulement sont réalisées. Au retour de Giraud du Mexique et des États-Unis, Giraud, Mézières et deux autres copains se lancent dans la réalisation d'un western en dessin animé. Giraud fait les décors et les personnages, mais le projet ne dépasse pas les quarante-cinq secondes. En 1958, l'appel sous les drapeaux, le service militaire en France et en Algérie, mettent fin à ce début de carrière.

À la fin de son service militaire, en 1961, Mézières trouve par petites-annonces un travail de maquettiste aux studios Hachette. Il s'agit de franciser une Histoire des civilisations. Il faut refaire à la gouache les illustrations de cette histoire d'origine italienne. Le travail étant particulièrement bien payé, il recommande Jean Giraud qui se joint alors à l'équipe. Mais cette production au texte insipide ne trouve pas son lectorat et s'achève en 1963 avec le cinquième volume. En même temps que son travail chez Hachette, Giraud n'a jamais abandonné la bande dessinée, il encre les planches de Jijé pour la série Jerry Spring. C'est l'occasion d'un renvoi d'ascenseur, Giraud le recommande au fils de Jijé, Benoît Gillain, qui crée justement une agence de publicité. Mézières embauché, fait toute la partie artistique, rough (esquisses), maquettes, prises de vues, etc. et quelquefois avec l'aide de Jijé. C'est alors qu'il collabore, avec Benoît Gillain, au numéro zéro de Total Journal, un journal publicitaire, pour la société TOTAL.

En 1964, Giraud repart nourrir son imaginaire « aux Amériques », et cette fois-ci Mézières va le rejoindre. C'est un ami belge de Gillain installé à Houston (Texas) qui lui permet d'obtenir, en 1965, un visa professionnel d'un an comme dessinateur industriel de charpente métallique. Mais arrivé aux États-Unis, Giraud est rentré en France, et Mézières prend alors la direction de l'ouest pour aller voir les vrais cow-boys loin des charpentes métalliques.

Comme pour la première période de sa vie avec l'album Mézi avant Mézières, Mézières nous laisse plusieurs témoignages graphiques de cette période : peu après son retour, il réalise un article rédactionnel illustré de photos dans le Pilote no 380 du 2 février 1967 Far-west 67, l'aventure d'un cow-boy parisien ; en 1974, dans le no 4 de Pilote mensuel, une histoire en 8 planches, Mon Amérique à moi, nous explique l'attrait et la découverte des États-Unis par un enfant de banlieue qui confronte son rêve à la réalité ; en 1979, sa seule participation au journal de Tintin, sur le modèle des belles histoires de l'oncle Paul, il dessine 3 planches, les vieilles histoires de tonton J.-C., petit guide pratique à l'usage des apprentis cow-boys…, Mézières nous présente la réalité du dur métier de cow-boy à des lieues de la mythologie hollywoodienne. En 1999, c'est une double page dans Géo Quand un petit français part jouer au cow-boy. En fin un album souvenirs/témoignage Adieu, rêve américain à quatre mains dans la série Les correspondances de Pierre Christin. Tous ces témoignages sont soit dessinés soit illustrés et accompagnés de photographies car en même temps qu'il découvre l'Ouest américain, il prend un goût certain pour la photographie. Par la suite, il comblera les temps libres entre deux histoires de Valérian et Laureline en retournant aux États-Unis pour faire des reportages photos.

Pendant l'hiver 1965/66, il retrouve son ami d'enfance Pierre Christin, qui enseigne à l'université de Salt Lake City (Utah). Il y rencontrera sa future femme, Linda, étudiante de Christin. Il profite de ce temps de repos pour faire des illustrations dans un magazine pour jeunes mormons, Children's friend. Sur un scénario de Pierre Christin, il réalise un film en 16 mm, Ghetto, produit par S. Holbrook pour la N.A.A.C.P. - National Association for the Advancement of Colored People - qui dénonce la ségrégation des Saints-des-derniers-jours envers la communauté noire de Salt Lake City. Ce film et l'action qui l'entoure oblige la chaine de télévision locale - KUTV - à aborder un sujet jusqu'alors soigneusement ignoré.

Le visa professionnel de Mézières touche à sa fin en 1966, il va falloir penser au billet de retour, c'est alors que Christin lui propose de réaliser une bande dessinée. Et Mézières de dessiner sous le nom de Mézi, 9 ans plus tard, une nouvelle histoire de 6 planches en noir et blanc dans le style très américain du journal Mad, Le Rhum du Punch sur un scénario de Linus, Pierre Christin. Une histoire débridée de trafic de rhum entre les colonies américaines et les Antilles où intervient, à la fin, Sean Connery sous les traits de James Bond. Sitôt réalisée, sitôt envoyée à Jean Giraud qui travaille alors chez Pilote sur Blueberry avec mission de caser la bande où il pouvait. Mézières laisse le soin de dessiner les dernières cases à Giraud, qui fait intervenir Blueberry à la tête de la cavalerie américaine. Il propose le travail achevé à Goscinny qui le publie dans le Pilote no 335 du 24 mars 1966. Devant le bon accueil, Linus et Mézi produisent une deuxième histoire de 6 planches, en noir et blanc tramé, Comment réussir en affaire en se donnant un mal fou, du xe degré qui nous conte l'histoire de Jonathan Stocker/Frankenstein et du comte Drakustein/Superman. L'histoire, envoyée par le même canal, est publiée dans le no 351 de Pilote du 14 juillet 1966.

De retour en France avec un billet d'avion payé par le produit de ces deux premières histoires dans Pilote, Mézières se présente à Goscinny, alors rédacteur en chef. L'accueil est bon et Mézières se voit offrir une place de dessinateur à Pilote qui se traduit immédiatement par une troisième histoire Linus/Mézi toujours dans le même style, Le chemin de l'enfer est pavé de bonnes intentions. encore une histoire en 6 planches, en noir et blanc tramé, paraissant dans le no 371 du 1er décembre 1966.

S'enchaînent ensuite toutes sortes de travaux pour le journal, comme le signale Mézières « nous étions payés pour apprendre ». La première collaboration de Mézières avec un autre scénariste que Christin, est une histoire en 3 planches scénarisée par Fred, La vengeance du pharaon, parue dans le no 388 du 30 mars 1967. Le travail suivant est une histoire à suivre. Toujours sur un scénario de Fred très dessiné, ce qui gêne beaucoup Mézières qui a déjà besoin d'une liberté de composition du récit narratif, il dessine L'extraordinaire et troublante aventure de M. Auguste Faust. Cette histoire de 28 planches bi-color parait du no 390 du 13 avril au no 403 du 13 juillet 1967.

La carrière de dessinateur de bande dessinée est cette fois-ci assez bien entamée pour ne plus s'arrêter.

Parallèlement à son activité de dessinateur, Mézières reprend Total journal dont il avait fait avec Gillain le numéro zéro. Comme rédacteur en chef, il y fait travailler tous ses amis de Pilote, à commencer par Pierre Christin qui a repris en France son métier de professeur.

Dans le même temps où René Goscinny, rédacteur en chef, recherche du sang neuf pour Pilote, Greg, rédacteur en chef de Tintin mais aussi collaborateur à Pilote, scénarise et fait paraître, dessiné par Eddy Paape, Luc Orient en janvier 1967.

Jean-Claude Mézières et Pierre Christin cherchent justement de leur côté le sujet d’une histoire à suivre dite aujourd’hui "série". Mézières était attiré, à la suite de son séjour aux États-Unis comme cowboy, par le genre western. Mais celui-ci est déjà brillamment représenté dans Pilote par Jean Giraud avec Blueberry, mais aussi dans Spirou par Morris avec Lucky Luke, et par Jijé avec Jerry Spring, et dans Tintin par Tibet avec Chick Bill. Après avoir pensé à un sujet moyenâgeux, puis xixe siècle style Arsène Lupin ou « un peu fantastique genre Sherlock Holmes », ce sera donc une série de science-fiction, genre littéraire apprécié par Christin et Mézières tous deux lecteurs de revues comme Fiction ou Galaxy Science Fiction.

Christin était lecteur assidu de John Wyndham, A. E. van Vogt, Isaac Asimov, Poul Anderson, Jack Vance, Dan Simmons, Ray Bradbury, René Barjavel ou Theodore Sturgeon. Dans science-fiction, Christin préfère le mot fiction à celui de science, il déclare ne pas aimer la science-fiction scientifique en provenance de l'Est, préférerant la notion de « logique-fiction ». Mézières était un lecteur moins assidu de science-fiction mais il a lu tous les grands auteurs classiques du genre comme Isaac Asimov, A. E. van Vogt, Philip K. Dick ou Jack Vance.

À l'époque de la première publication de Valérian et Laureline, les séries de science-fiction sont encore peu nombreuses et réalisées par de rares précurseurs d'avant-guerre :

les Américains Dick Calkins et Phil Nowlan avec Buck Rogers (1929), Clarence Gray et William Ritt avec Brick Bradford / Luc Bradefer (1933) et Alex Raymond avec Flash Gordon / Guy l'Eclair (1934) ;

et les Français René Pellos et Martial Cendres avec Futuropolis (1937).

Viennent ensuite à partir de 1945 en France :

Raymond Poïvet et Roger Lécureux avec les Pionniers de l'Espérance (1945) ; Roger Chevalier, sous le nom de Kline, avec Kaza le Martien (1946) ; Jean-Claude Forest avec Barbarella (1962) et Les Naufragés du temps (1964), dessiné par Paul Gillon ; Philippe Druillet avec Lone Sloane (1966).

« La science-fiction n'était pas le domaine favori [de Goscinny], mais il avait un désir d'innover, de proposer dans son journal des travaux originaux. Il a vu […] ce que Valérian pourrait apporter ». Pour s’acclimater au genre et avec un nouveau style de dessin, les premières aventures, signées J.C. Mézi pour Jean-Claude Mézières et Linus pour Pierre Christin, se déroulent au xie siècle (Valérian contre les mauvais rêves) et au xxe siècle (La Cité des eaux mouvantes et Terres en flammes), imposant ainsi d’office le thème du voyage dans le temps. C’est à partir de la quatrième aventure L'Empire des mille planètes que la série devient pleinement une série de science-fiction avec le thème du voyage dans l'espace. Christin et Mézières conforment les aventures de Valérian et Laureline à leurs inclinations politiques plutôt situées à gauche mais ils souhaitent que les histoires soient non directement ou ouvertement politiques comme il pouvait y en avoir dans Charlie Hebdo. Christin et Mézières ne considèrent pas Galaxity comme une cité idéale puisque c'est la capitale d'un empire où les sentiments pas tout blancs qui font agir les hommes, « plutôt l'homme blanc américain » dans le monde réel, envers les extraterrestres, « plutôt des Bantous », qui eux ne sont pas tout noirs.

Concernant la création de Valérian, Jean-Claude Mézières choisit de s'inspirer de la tête de Hugues Aufray, un chanteur très populaire à l'époque. En créant la série Valérian et Laureline qui est « à la fois un classique du 9e art et un chef-d'œuvre de la science-fiction » vendue à plus de 2 500 000 exemplaires, Mézières ajoute une dimension particulière au genre codifié du space opera ouvrant ainsi la porte à toutes les séries actuelles de science-fiction, d'anticipation et d’heroic fantasy, comme l'indique Stan Barets en introduction de l’Intégrale no 1, la série Valérian et Laureline « c'est l'archétype originel d'où tout procède ». Jean-Claude Mézières est l'un des premiers auteurs à avoir sa dalle, un shingouz, sur le parvis hall of fame de la CNBDI - cité internationale de la bande dessinée et de l'image - d'Angoulême

Jean-Claude Mézières est mort le 23 janvier 2022, à l'âge de 83 ans.

Source : fr.wikipedia.org  

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Fiche d'identité

Identité

  • Nom complet : --
  • Nationalité (à sa mort) : Française Drapeau francais
  • Nationalité (à sa naissance) : --
  • Sexe : Masculin

Domaines d'activité

Noms

  • Nom usuel : Jean-Claude Mézières
  • Nom complet : --
  • Prénom : Jean-Claude
  • Noms dans d'autres langues : --
  • Homonymes : 0 (aucun)
  • Nom de famille : Mézières
  • Pseudonyme : JC Mézi
  • Surnom : --
  • Erreurs d'écriture : --

Naissance

  • Signe astrologique du zodiaque : --
  • Signe astrologique chinois : --

Décès

  • Âge de mort : 83 ans
  • Cause de mort : --

Obsèques

  • Date des obsèques : --
  • Lieu de sépulture : --
  • Type de funérailles : --

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 Merveilleux dessinateur d'un univers foisonnant.
merveilleux dessinateur d'un univers foisonnant
Commentez - il y a 2 ans

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Anonyme 76007 Un très grand dessinateur avec une carrière immense. Un maître de la Bande Dessinée.
Répondre - il y a 2 ans

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