0Sociologue (hommes) nés au 20ème siècle
Découvrez notre liste de 28 sociologue (hommes) (toutes nationalités confondues) nés au 20ème siècle morts et connus comme par exemple : Alain Touraine, Jean Baechler, Daniel Defert, Didier Lapeyronnie, Michel Crozier, James March, Lucien Goldmann, Michel Pinçon, Howard Becker, Zygmunt Bauman... Ces personnalités (de sexe masculin) peuvent avoir des liens variés dans les domaines de l'art, de l'enseignement, de la littérature, de la science, de la sociologie, de l'histoire, de la philosophie ou de l'économie. Ces célébrités peuvent également avoir été artiste, écrivain, écrivain scientifique, enseignant, parent de célébrité, scientifique, auteur d'ouvrages philosophiques, historien, philosophe, homme politique, militant, militant LGBT, économiste ou essayiste. En ce qui concerne leurs nationalités au moment de leurs morts, ils peuvent avoir été francais, américain ou polonais par exemple.
Sociologue français, un des fondateurs de la sociologie française du travail après la Seconde Guerre mondiale, connu pour ses travaux sur le mouvement étudiant de Mai 68 en France et sur le syndicat Solidarnosc dans la Pologne communiste, il a publié plus d’une cinquantaine de livres. Il est le père de l’ancienne ministre de la Santé Marisol Touraine. 
Sociologue français, historien devenu sociologue, puis philosophe, travaillant notamment sur le règne humain et sur le rapport de l’humain à l’absolu, il fut membre de l’Académie des sciences morales et politiques. 
Sociologue français, militant anti-sida et président-fondateur de AIDES (première association française de lutte contre le sida) qu'il après la mort de son compagnon, le philosophe Michel Foucault. 
Sociologue français, professeur en science politique et en sociologie, il avait consacré l’essentiel de ses travaux aux quartiers périphériques et à l’étude de la formation des ghettos urbains. 
Sociologue français, principal concepteur de l'analyse stratégique en sociologie des organisations. À partir de 1999, il est membre de l'Académie des sciences morales et politiques (élu au fauteuil de François Lhermitte). 
Économiste et sociologue américain, fondateur de la théorie des organisations, il a révolutionné de nombreux domaines de l’économie, de la psychologie, de la sociologie, des sciences de l’éducation et de la philosophie politique. Professeur émérite à Stanford, il est un des pionniers de la théorie des organisations, dont l'objet est de comprendre comment une organisation évolue, s'adapte à son environnement et modifie celui-ci, en se penchant notamment sur la manière dont sont prises et mises en oeuvre les décisions. 
Philosophe et sociologue français, a été directeur d'études à l'École pratique des hautes études (1959-1970) et un théoricien marxiste influent. 
Sociologue français, l'essentiel de son œuvre (en collaboration avec sa femme, Monique Pinçon-Charlot) est consacré à l'étude de la haute bourgeoisie et des élites sociales. 
Sociologue américain, spécialiste de la déviance, il a repensé la déviance comme le résultat des interactions sociales : ce ne sont pas les actes d’un individu en eux-mêmes qui le classent comme transgressif, mais le regard des autres. Il est l'auteur de plusieurs ouvrages marquants, dont « Outsiders » (1963) et « Les Mondes de l'art » (1982). 
L'un des plus grands sociologues du XXe siècle, théoricien de la "Société Liquide", a profondément marqué la sociologie du XXe siècle. 
Universitaire, écrivain et journaliste français connu du grand public en tant que billettiste du journal Le Monde pour lequel il écrit de 1949 à 1979 à raison d'une vingtaine de billets par mois. 
Politologue franco-allemand, grand connaisseur des sociétés et des politiques françaises et allemandes. 
Sociologue et philosophe français, penseur du « nouveau régime climatique », ses réflexions sur la crise écologique ont inspiré une nouvelle génération d’intellectuels, d’artistes et de militants. 
Architecte franco-hongroise, son travail a porté principalement sur la conception d’une ville improvisée construite par ses habitants. Il est un « architecte de papier » aux conceptions futuristes dont la production en plans et maquettes font l’objet d’expositions artistiques ; de ce point de vue, il est plus considéré comme un artiste que comme un architecte. 
Éditeur français, il a créé les éditions Léo Scheer en 2000. 
Romancier hongrois, défenseur des libertés individuelles, grande figure de la dissidence sous le régime communiste hongrois où il fut longtemps interdit de publication officielle, avant la fin du communisme en Hongrie en 1989. Ses romans et essais ont été traduits dans le monde entier. 
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