0Scientifique (hommes et femmes) nés en 1935
Découvrez notre liste de 15 scientifique (hommes et femmes) (toutes nationalités confondues) nés en 1935 morts et connus comme par exemple : Claude Duneton, Dominique Venner, Jacques Benveniste, Hans Belting, Jean Carpentier, Simon Leys, Étienne Guyon, Jean-Paul Bertaud, Nicola Cabibbo, Marcel Detienne... Ces personnalités peuvent avoir des liens variés dans les domaines de l'art, du cinéma, de l'histoire, de la littérature, de l'extrême droite, de la politique, de la science, de l'anthropologie, de l'enseignement, de l'histoire de l'art ou de la physique. Ces célébrités peuvent également avoir été acteur, artiste, écrivain, historien, biologiste, médecin, anthropologue, critique, critique d'art, enseignant, historien de l'art, journaliste, professeur d'histoire, essayiste, linguiste, sinologue, traducteur ou physicien. En ce qui concerne leurs nationalités au moment de leurs morts, ils peuvent avoir été francais, allemand, belge ou italien par exemple.
Historien allemand, spécialiste de l'histoire de l'art et du statut des images, il a occupé en 2002 la chaire annuelle européenne au Collège de France où il a lancé un projet qui interroge « images, corps et médiums ». 
Physicien français, spécialiste de supraconductivité et d'hydrodynamique, figure de proue de la recherche sur les instabilités, le chaos et la turbulence, il a apporté des contributions majeures sur la supraconductivité, la superfluidité, les cristaux liquides, l'instabilité hydrodynamique et turbulence, les milieux poreux, les systèmes granulaires... 
Anthropologue belge, grand spécialiste de la Grèce antique, ses travaux sont marqués par la volonté constante d’aborder la Grèce antique d’un point de vue anthropologique, en s’écartant des conceptions habituelles d’un modèle incomparable à vénérer. 
Écrivaine et psychanalyste française connue pour être l'auteure de multiples récits intenses aux échos autobiographiques : « Est-ce qu'on meurt de ça » (1996), « Là où le soleil se tait » (1998), « Qu'est-ce qu'on garde ? » (2000), « Les morts ne savent rien » (2006), « La nuit tombe quand elle veut » (2011). 
Musicologue, ethnologue et linguiste français, grand spécialiste de la littérature orale en breton, directeur de recherche au CNRS, il avait été à l'origine du département d'ethnologie de la Faculté des Lettres de l'UBO à Brest. Il dirige ainsi pendant 12 ans le Centre de recherche bretonne et celtique de 1987 à 1999 et fut l'un des premiers ethnologues à analyser la culture orale et la tradition chantée en Bretagne. 
Historien israélien, lauréat en 2008 du prix Israël pour ses travaux en sciences politiques, historien spécialiste du fascisme, professeur d’université à la carrière internationale, officier de réserve dans l’armée israélienne et militant pacifiste, il a consacré une part de ses travaux aux origines du fascisme dont la France de la Belle Epoque a été, selon lui, le laboratoire. 
Ethnologue et anthropologue français, penseur du contemporain et de la «planétarisation», sa curiosité l’amena à s’intéresser à des objets et des terrains peu étudiés : le vélo (Éloge de la bicyclette, 2008), les cafés (Éloge du bistrot parisien, 2015), le métro (Le Métro revisité, 2008). Son œuvre est organisée autour de concepts directeurs : l'idéo-logique et la surmodernité. 
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