0Président nés en septembre
Découvrez notre liste de 11 président (toutes nationalités confondues) nés en septembre morts et connus comme par exemple : Kwame Nkrumah, Daniel arap Moi, Moussa Traoré, Fernando de la Rua, Zine el-Abidine Ben Ali, Jorge Sampaio, Abdel Halim Khaddam, Oscar Luigi Scalfaro, Mathieu Kérékou, Silvio Berlusconi... Ces personnalités (de sexe masculin) peuvent avoir des liens variés dans les domaines de la politique, du parti socialiste, de la politique de gauche, du business, du football, de la fraude, de la justice, people, de la politique de droite, du sport ou du sport collectif. Ces célébrités peuvent également avoir été homme d'état, homme politique, premier ministre, député, vice-président, général, lieutenant, militaire, sénateur, ministre, ministre de l'intérieur, maire, socialiste, ministre des affaires étrangères, député européen, dirigeant de football, dirigeant sportif, fraudeur, homme riche, hors-la-loi, milliardaire, ministre de l'économie ou ministre de la santé. En ce qui concerne leurs nationalités au moment de leurs morts, ils peuvent avoir été ghanéen, kenyan, malien, argentin, tunisien, portugais, syrien, italien ou béninois par exemple.
Politicien ghanéen, président de la République du Ghana (de 1960 à 1966). 
Politicien kényan, président de la République du Kenya de 1978 à 2002, il a dirigé le Kenya d’une main de fer, succédant à Jomo Kenyatta. 
Politicien malien, président de la République du Mali de 1968 à 1991. 
Président argentin de 1999 à 2001, a succédé à Carlos Menem. 
Politicien tunisien, président de la République tunisienne de 1987 à 2011. Sous sa présidence, la Tunisie est classée première en termes de compétitivité économique en Afrique. Le pays jouit d'une bonne image dans le monde occidental, en particulier grâce à la place qu'il accorde aux femmes : remontant à l'ère bourguibienne, le statut de la femme tunisienne est notamment renforcé en 1993 avec la suppression de son obligation d'obéissance à son mari. Des organisations non gouvernementales et des médias étrangers dénoncent cependant sa politique en matière de droits de l'homme, la qualifiant de dictatoriale, notamment du fait de l'emprisonnement et de la torture d'opposants, ainsi que des atteintes à la liberté de la presse. Au début de l'année 2011, un mouvement de protestation populaire, inaugurant le début du Printemps arabe, le contraint à quitter le pays. Il abandonne ainsi la présidence de la République pour se réfugier à Djeddah, en Arabie saoudite. En 2018, à l'issue de plusieurs procès par contumace, le total des peines prononcées à son encontre atteint plus de 200 ans de prison. 
Politicien portugais, président de la République du Portugal de 1996 à 2006. 
Politicien syrien, président de Syrie par intérim du 10 juin au 17 juillet 2000 et vice-président du 17 juillet 2000 au 30 décembre 2005. Serviteur du pouvoir baassiste pendant plus de 35 ans sous Hafez Al-Assad puis sous son fils Bachar, l’ancien vice-président syrien s’était ensuite exilé en France et avait rallié l’opposition à Damas. 
Politicien et milliardaire italien, président du Conseil des ministres à 3 reprises (entre 1994 et 2011), connu pour avoir dédiabolisé l'extrême-droite italienne et pour avoir perdu son siège de sénateur à la suite d'une condamnation pour fraude fiscale. 
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