0Président et présidente morts en 2020
Découvrez notre liste de 16 président et présidente (toutes nationalités confondues) morts en 2020 connus comme par exemple : Pascal Lissouba, Pierre Buyoya, Hosni Moubarak, Amadou Toumani Touré, Moussa Traoré, Daniel arap Moi, Flavio Cotti, Pierre Nkurunziza, Jerry Rawlings, Joachim Yhombi-Opango... Ces personnalités peuvent avoir des liens variés dans les domaines de la biologie, de la politique, de la science, people ou de la guerre. Ces célébrités peuvent également avoir été biologiste, généticien, homme d'état, ministre, premier ministre, scientifique, homme politique, général, lieutenant, militaire, député, vice-président, colonel, commandant ou communiste. En ce qui concerne leurs nationalités au moment de leurs morts, ils peuvent avoir été congolais, burundais, égyptien, malien, kenyan, suisse ou ghanéen par exemple.
Politicien congolais, président de la République de 1992 à 1997, il part en exil en France en 2004 jusqu'à sa mort. 
Politicien burundais, président du Burundi de 1987 à 1993 puis de 1996 à 2003. 
Politicien égyptien, président de la République d'Égypte de 1981 à 2011. Vice-président de la République arabe d'Égypte au moment de l'assassinat d'Anouar el-Sadate, en 1981, il lui succède après la tenue d'une élection et est ensuite constamment réélu et se voit fréquemment qualifié de dictateur. Lors de la révolution égyptienne de 2011, il est poussé à la démission. Emprisonné et condamné par la justice égyptienne après son départ du pouvoir, il est libéré en 2017 après avoir terminé de purger sa dernière peine de prison. Il meurt 9 ans après la fin de sa présidence. 
Président de la République malienne de 2002 à 2012, après avoir été chef de l'État de 1991 à 1992. 
Politicien malien, président de la République du Mali de 1968 à 1991. 
Politicien kényan, président de la République du Kenya de 1978 à 2002, il a dirigé le Kenya d’une main de fer, succédant à Jomo Kenyatta. 
Politicien suisse, président de la Suisse à 2 reprises en 1991 et 1998 et ancien membre du Parti démocrate-chrétien. 
Politicien burundais, président de la République du Burundi de 2005 à 2020, il dirigeait le principal groupe armé hutu pendant la guerre civile burundaise. 
Président de la République du Ghana de 1981 à 2001, figure historique du continent africain, ex-putschiste, il avait rétabli les libertés démocratiques au Ghana en régnant pendant près de deux décennies. 
Politicien congolais, président de la république populaire du Congo de 1977 à 1979. 
Président de la République du Niger de 1999 à 2010 où il est renversé lors d'un coup d'État. 
Politicien français, président de la République française de 1974 à 1981 à 48 ans, il devient le plus jeune président de la République depuis 1895. Prônant une « société libérale avancée », il fait voter l'abaissement de la majorité civile, la dépénalisation de l'interruption volontaire de grossesse, le divorce par consentement mutuel, l'élargissement du droit de saisine du Conseil constitutionnel et la fin de la tutelle de la télévision publique. Sa politique étrangère est marquée par le renforcement de la construction européenne ainsi que par l'implication militaire de la France dans la bataille de Kolwezi (Zaïre) et dans l'opération Caban (Centrafrique) renversant l’empereur Bokassa, qui sera à l’origine de l’« affaire des diamants ». 
Politicien uruguayen, premier président de gauche de l’Uruguay, président de la République de 2005 à 2010 et de 2015 à 2020. 
Politicien indien, 13ème président de l'Inde de 2012 à 2017, intime de la famille Gandhi, a déçu ses partisans à la fin de sa vie en échangeant des amabilités avec le nationaliste Narendra Modi. 
Politicien taïwanais, membre du Kuomintang, président de Taïwan (République de Chine) de 1988 à 2000. Sa politique aura été marquée par la volonté d’une reconnaissance internationale de l’île face aux ambitions de la Chine continentale. 
Politicien syrien, président de Syrie par intérim du 10 juin au 17 juillet 2000 et vice-président du 17 juillet 2000 au 30 décembre 2005. Serviteur du pouvoir baassiste pendant plus de 35 ans sous Hafez Al-Assad puis sous son fils Bachar, l’ancien vice-président syrien s’était ensuite exilé en France et avait rallié l’opposition à Damas. 
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