0Homme politique et femme politique francais morts en 2018
Découvrez notre liste de 15 homme politique et femme politique francais morts en 2018 connus comme par exemple : Jacques Hébert, Marie Humbert, Dominique Adenot, Gérard Boulanger, Maurice Seveno, Alain Fauré, Edmond Simeoni, Serge Dassault, Robert Faurisson, Philippe Marchand... Ces personnalités peuvent avoir des liens variés dans les domaines de la guerre, de la médecine, de la science, de la justice, du parti communiste français, de la politique, de la politique de gauche, de l'art, du crime, de la littérature, du journalisme, du parti socialiste, de la télévision, du business, de la presse, de l'enseignement, de l'extrême droite ou de l'histoire. Ces célébrités peuvent également avoir été député, homme d'état, maire, médecin, militaire, résistant, scientifique, militant, militant pour l'euthanasie, parent de célébrité, communiste, artiste, avocat, écrivain, essayiste, homme de loi, militant des droits de l'homme, journaliste, socialiste, entrepreneur, homme d'affaire, nationaliste, conseiller général, patron, patron de presse, sénateur, enseignant, négationniste, ministre ou ministre de l'intérieur.
Politicien français, ancien compagnon de la Libération ayant participé à la prise du "nid d'aigle" (appelé Kehlsteinhaus, centre de conférence pour le Parti national socialiste). Il fut ancien maire de Cherbourg de 1959 à 1977 et député de la 5e circonscription de la Manche de 1962 à 1973. 
Militante française pour l'euthanasie, mère de Vincent Humbert qui avait relancé le débat sur la fin de vie en 2003 où son fils, tétraplégique, muet et quasiment aveugle, demandait le droit de mourir à Jacques Chirac. Elle et un médecin avaient accédé à sa demande, donnant lieu à la loi Léonetti sur la fin de vie. 
Politicien français, membre du PCF (Parti communiste français) et maire de Champigny-sur-Marne de 2004 à 2018 et président de l'Association nationale des élus communistes et républicains (ANECR) de 2010 à 2016. 
Avocat français ayant déposé les premières plaintes contre Maurice Papon. 
Journaliste français ayant fait partie de l'équipe du premier journal télévisé français en 1949 sur l'ORTF. Gréviste en Mai 68 et meneur de grève, il est licencié et interdit d'antenne, il fonde alors l'Union des journalistes de télévision, qui regroupe les 70 journalistes licenciés de l'ORTF et commande un sondage à l'IFOP pour mesurer la désaffection des Français envers l'ORTF. Socialiste, il ne retrouve la télévision qu'avec le retour de la gauche au pouvoir, en mai 1981. 
Politicien français, membre du parti socialiste, député de 2012 à 2017 pour la deuxième circonscription de l'Ariège et maire de Pujols de 2001 à 2014. Il a marqué le paysage politique du département de son empreinte de grand travailleur, soucieux d'élever sa réflexion au niveau de la nation, tout en étant très attentif à son territoire auquel il était particulièrement attaché. 
Politicien français, figure politique corse la plus marquante des 50 dernières années avant sa mort, il se réclamait du nationalisme corse. Il était à la fois père fondateur du nationalisme insulaire et militant écologiste avant l’heure. 
Homme d'affaire et politicien français, businessman dans l'industrie aéronautique et de l'armement, sénateur et ancien maire de Corbeil-Essonnes et patron de presse. En 2011, selon le magazine Forbes, il est le 96e homme le plus riche du monde avec une fortune estimée à plus de 9,3 milliards de dollars. Il est également la 4e fortune de France. Il a été mêlé à plusieurs affaires de corruption. 
Militant négationniste français réputé antisémite et proche de l'extrême droite ainsi que des mouvances néonazies. 
Politicien français, ministre de l'Intérieur en 1990, fut notamment l’artisan du plan Vigipirate et le père de la loi sur les intercommunalités. 
Historien et résistant français de la Seconde Guerre mondiale, dernier survivant du «groupe Manouchian» (membre des FTP-MOI dirigé par Missak Manouchian) qui avait résisté à l’occupant nazi. 
Politicien français, ancien ministre délégué à la Recherche et à l'Enseignement supérieur du gouvernement Chirac, il fut le père d'une réforme de l'université avortée en 1986 après un large mouvement de contestation et la mort d'un étudiant, Malik Oussekine. Il avait alors dû démissionner de son poste de ministre. 
Économiste franco-égyptien, théoricien des relations de domination Nord-Sud, du marxisme et du maoïsme, il était l’une des figures de proue des mouvements altermondialistes. Il a beaucoup écrit sur le droit, la société civile, le socialisme, le colonialisme et le développement, particulièrement en Afrique et dans le monde arabe dont « Le Développement inégal: Essai sur les formations sociales du capitalisme périphérique » (1973). 
Politicien français, maire socialiste du Mans de 2001 à 2018, membre du Parti socialiste (PS), président de Le Mans Métropole à partir de 1983, il a été sénateur de la Sarthe de 2014 à 2017, administrateur de France Urbaine et président de la Commission des Finances et Fiscalité de France Urbaine. Il fut membre du Comité des Finances Locales (CFL) et membre du Conseil National d’Évaluation des Normes (CNEN). Il est l'auteur, avec Alain Lambert, du rapport de la Mission de lutte contre l'inflation normative, établi le 26 mars 2013. 
Politicien français, eurodéputé frontiste de 2014 à sa mort en 2018, il était membre du Front national (FN) depuis 1983, conseiller régional de Bourgogne de 1998 à 2015 et conseiller municipal de Sens de 2001 à 2014. 
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