0Commandant
Découvrez notre liste de 16 commandant (toutes nationalités confondues) morts et connus comme par exemple : Michael Wittmann, Georges Houot, Fernand Andreani, Bernard Montgomery, Manuel Noriega, Henri Guisan, Hélie De Saint Marc, Ahmed Chah Massoud, Jacques Jourda, Lakhdar Bouregaa... Ces personnalités (de sexe masculin) peuvent avoir des liens variés dans les domaines de l'histoire, de l'aventure, de la guerre, du crime, de la drogue, de la justice, de la politique ou de la politique de gauche. Ces célébrités peuvent également avoir été homme politique, militaire, nazi, aventurier, aviateur, chef d'état major, criminel, général, homme d'état, hors-la-loi, meurtrier, trafiquant de drogue, résistant, député, indépendantiste ou socialiste. En ce qui concerne leurs nationalités au moment de leurs morts, ils peuvent avoir été allemand, francais, anglais, panaméen, suisse, afghan ou algérien par exemple.
Militaire allemand, chef de char nazi de la Seconde Guerre mondiale, connu pour avoir été l'un des plus redoutables chefs de chars de la Seconde Guerre mondiale, avec plus de 130 destructions de chars et 130 destructions de canons. 
Officier dans la Marine française, connu mondialement comme le commandant du groupe des bathyscaphes. 
Commandant de bord Air France, détenteur du record international de vitesse sur Concorde entre Paris et New York (en 3 heures, 30 minutes et 11 secondes, avec une vitesse moyenne de 1.669 km/h) et du premier vol Concorde d'Air France en 1976. 
Dictateur panaméen de 1984 à 1990 connu pour avoir été détenu aux États-Unis pour trafic de drogue et blanchiment et condamné au Panama par contumace pour meurtres. 
Militaire suisse, général commandant en chef de l'armée suisse durant la Seconde Guerre mondiale. 
Résistant et un officier de l'armée française, décoré des plus hautes distinctions militaires avec 13 citations, commandant par intérim du 1er régiment étranger de parachutistes, prend part au putsch des généraux (avril 1961), condamné à 10 ans de réclusion criminelle puis réhabilité dans ses droits (1978), reçoit la grand-croix de la Légion d'honneur (2011). 
Politicien algérien, officier de l'armée de libération nationale (ALN) de l'intérieur de 1956 à l'indépendance. Il s'oppose au clan d'Oujda depuis la crise de l'été 1962 : il est l'un des membres fondateurs du Front des forces socialistes (FFS) en 1963 et une figure du Hirak en 2019-2020. Pour les algériens, il est « l’homme qui ne s’est jamais rendu », un opposant irréductible, le héros de l’indépendance qui avait pris parti pour le Hirak dès le début en 2019, engagement qui lui valut d’être emprisonné 6 mois à l’âge de 86 ans. 
Politicien congolais, président de la république populaire du Congo de 1977 à 1979. 
Président bolivien durant 13 mois après le coup d'État du 17 juillet 1980. Il avait été condamné à 30 ans de prison pour plusieurs assassinats. 
Général argentin, le plus haut responsable de la répression mise en œuvre par la dictature militaire à Córdoba de 1975 à 1979, il supervise le centre clandestin de détention de La Perla et est condamné à la prison à perpétuité pour crimes contre l'humanité en 2008-2009. Il continue à revendiquer la « guerre sale » menée par l'armée argentine. 
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