0Artiste (hommes) morts en 1969
Découvrez notre liste de 10 artiste (hommes) (toutes nationalités confondues) morts en 1969 connus comme par exemple : Jean Price Mars, Jeffrey Hunter, Otto Dix, Jack Kerouac, Achille Chavée, Robert Taylor, Brian Jones, Ludwig Mies van der Rohe, Joseph Kosma, Coleman Hawkins... Ces personnalités (de sexe masculin) peuvent avoir des liens variés dans les domaines de l'art, de l'ethnologie, de la littérature, de la médecine, de la philosophie, de la science, du cinéma, de la peinture, de la musique ou de l'architecture. Ces célébrités peuvent également avoir été diplomate, écrivain, essayiste, ethnologue, homme d'état, homme politique, médecin, pédagogue, philosophe, scientifique, secrétaire d'état, acteur, homme d'affaire, producteur, graveur, peintre, poète, compositeur, musicien, architecte ou saxophoniste. En ce qui concerne leurs nationalités au moment de leurs morts, ils peuvent avoir été haïtien, américain, allemand, belge, anglais ou francais par exemple.
Éthnographe, philosophe et politicien haïtien, 1er lauréat du prix littéraire des Caraïbes, président à l'unanimité lors du 1er Congrès des écrivains et artistes noirs (1956), l'Académie française lui accorde un prix spécial qui distingue l'ensemble de son oeuvre en 1959. Écrivain prolifique, il affirme dans son ouvrage « Ainsi parla l'oncle » (1928), que les Haïtiens ne sont pas des « Français colorés », mais des hommes nés en des conditions historiques déterminées et ayant un double héritage, français et africain. 
Musicien anglais, icône des années 1960 connu pour avoir été le fondateur du groupe de rock Rolling Stones (dans lequel il a joué de 1962 à 1969). Connu par le public comme guitariste, il était en réalité un multi-instrumentiste qui maîtrisait de nombreux instruments traditionnels (sitar, marimba, etc) qu'il a intégrés à de nombreux titres du groupe, influençant considérablement leur musique dans leur première période. Jamais véritablement considéré comme un véritable compositeur, il sera relégué au second plan par l'influence grandissante du duo Mick Jagger et Keith Richards et par ses problèmes de mœurs et de drogue. Il est un des symboles initiatiques de la décadence et de la révolution des mœurs des années 1960. 
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