Biographie
Michel Chodkiewicz, né le 13 mai 1929 en France, et mort le 31 mars 2020, est un éditeur et philosophe français, spécialiste du soufisme. Ancien président de la maison d'édition Seuil de 1977 à 1989, il a créé en 1978 la revue « L’Histoire ».
Michel Chodkiewicz fut directeur général, puis président directeur général des éditions du Seuil de 1977 à 1989 et directeur d'études à l'École des hautes études en sciences sociales, où il anima des séminaires sur la pensée d'Ibn Arabî.
Il est issu d'une ancienne famille de l'aristocratie polonaise installée en France depuis 1832. Il explique lui-même sa conversion à l'islam à l'âge de dix-sept ans comme l'« aboutissement d'une recherche personnelle commencée dès l'adolescence […] parce que le catholicisme ne [lui] apportait pas de réponses satisfaisantes ». Sa fille, Claude Addas, diplômée en langues orientales, auteur d'une thèse de doctorat sur le poète soufi andalou Ibn Arabî, poursuit les recherches de son père.
Michel Chodkiewicz est mort le mardi 31 mars 2020, à l’âge de 90 ans..
Tombe
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Patron de presse français connu pour avoir été le patron du groupe Ouest-France pendant 55 ans qu'il avait porté à un plafond historique de diffusion (800 000 exemplaires en 2001). Il était le fils et petit-fils d’illustres hommes de presse.
Homme de presse français, ancien résistant et figure discrète de la dynastie Servan-Schreiber qui s'est illustrée dans la presse et le journalisme. Il est le fils de Robert Servan-Schreiber et de Suzanne Crémieux et le neveu d'Émile Servan-Schreiber, journalistes et cofondateurs du journal Les Échos.
Écrivain et philosophe français qui a marqué le XVIIIe siècle, représentant le plus connu de la philosophie des Lumières, anglomane, féru d'arts et de sciences, personnage protéiforme et complexe, non dénué de contradictions, il domine son époque par la durée de sa vie, l'ampleur de sa production littéraire et la variété des combats politiques qu'il a menés. Son influence est décisive sur la bourgeoisie libérale avant la Révolution française et pendant le début du XIXe siècle. Anticlérical mais déiste, il dénonce dans son Dictionnaire philosophique le fanatisme religieux de son époque. Sur le plan politique, il est en faveur d’une monarchie modérée et libérale, éclairée par les « philosophes ». Mettant sa notoriété au service des victimes de l’intolérance religieuse ou de l’arbitraire, il prend position dans des affaires qu’il a rendues célèbres : Jean Calas, Pierre-Paul Sirven, chevalier de La Barre, comte de Lally. Son œuvre littéraire est riche et variée : son importante production théâtrale, ses longs poèmes épiques, telle La Henriade, et ses œuvres historiques firent de lui l’un des écrivains français les plus célèbres au xviiie siècle. Son œuvre comprend aussi des contes, notamment Candide ou l'Optimisme, des Lettres philosophiques, le Dictionnaire philosophique et une correspondance monumentale dont nous connaissons plus de 15 000 lettres sur un total parfois estimé à 40 000. Titulaire d'une charge officielle d'historiographe du roi, il a publié Le siècle de Louis XIV, puis Le Siècle de Louis XV, ouvrages considérés comme les premiers essais historiques modernes. Il a traduit librement La Science nouvelle de Jean-Baptiste Vico en lui donnant pour titre l'expression inédite de Philosophie de l'histoire, ce qui fait de lui le précurseur du déterminisme historique au XIXe siècle, puis de l'histoire culturelle au XXe siècle. La Révolution française voit en lui comme en Rousseau un précurseur, si bien qu'il entre au Panthéon en 1791, le deuxième après Mirabeau. Célébré par la IIIe République (dès 1870, à Paris, un boulevard et une place portent son nom), il a nourri, au XIXe siècle, les passions antagonistes des adversaires et des défenseurs de la laïcité de l’État et de l’école publique, et, au-delà, de l’esprit des Lumières.
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Médecin français, mais également pasteur et théologien protestant, philosophe et musicien, connu dans le monde entier en 1913 grâce à l'hôpital qu'il développe dans la forêt équatoriale du Gabon. Il recevra le Prix Nathan Katz du Patrimoine 2015 et le prix Nobel de la paix en 1952. Personnage marquant du XXe siècle, « homme universel », il est en même temps une figure emblématique de l'Alsace, de la théologie libérale ou des admirateurs de Jean-Sébastien Bach. On voit parfois en lui un précurseur de l'action humanitaire, de l'écologie, de l'antispécisme et du désarmement nucléaire. La notion de « respect de la vie » (Ehrfurcht vor dem Leben) et son indignation devant la souffrance sont au cœur de la démarche d'Albert Schweitzer, qui s'est voulu « un homme au service d'autres hommes », tourné vers l'action.
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Philosophe français des sciences, de la poésie et du temps, l'un des principaux représentants de l'école française d'épistémologie historique. Il est l'inventeur ce qu'il appelle la « psychanalyse de la connaissance objective » qui introduit et étudie la notion d'obstacle épistémologique : ce sont des obstacles affectifs dans l'univers mental du scientifique et de l'étudiant, obstacles qui les empêchent de progresser dans la connaissance des phénomènes.
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Philosophe et journaliste français, l'un des principaux théoriciens de l'écologie politique et de la décroissance et cofondateur en 1964 du Nouvel Observateur.
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Philosophe et psychologue français connu pour sa thèse « Essai sur le mysticisme spéculatif en Allemagne au XIVe siècle » publiée en 1900.
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Philosophe français, professeur émérite de philosophie française à l’université de Columbia à New York, il a largement contribué au rayonnement nord-américain de la pensée française, particulièrement de la « French Theory », qu’il publia et édita.
Autres philosophe (hommes) francais
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Patron de presse français connu pour avoir été le patron du groupe Ouest-France pendant 55 ans qu'il avait porté à un plafond historique de diffusion (800 000 exemplaires en 2001). Il était le fils et petit-fils d’illustres hommes de presse.
Homme de presse français, ancien résistant et figure discrète de la dynastie Servan-Schreiber qui s'est illustrée dans la presse et le journalisme. Il est le fils de Robert Servan-Schreiber et de Suzanne Crémieux et le neveu d'Émile Servan-Schreiber, journalistes et cofondateurs du journal Les Échos.
Écrivain et philosophe français qui a marqué le XVIIIe siècle, représentant le plus connu de la philosophie des Lumières, anglomane, féru d'arts et de sciences, personnage protéiforme et complexe, non dénué de contradictions, il domine son époque par la durée de sa vie, l'ampleur de sa production littéraire et la variété des combats politiques qu'il a menés. Son influence est décisive sur la bourgeoisie libérale avant la Révolution française et pendant le début du XIXe siècle. Anticlérical mais déiste, il dénonce dans son Dictionnaire philosophique le fanatisme religieux de son époque. Sur le plan politique, il est en faveur d’une monarchie modérée et libérale, éclairée par les « philosophes ». Mettant sa notoriété au service des victimes de l’intolérance religieuse ou de l’arbitraire, il prend position dans des affaires qu’il a rendues célèbres : Jean Calas, Pierre-Paul Sirven, chevalier de La Barre, comte de Lally. Son œuvre littéraire est riche et variée : son importante production théâtrale, ses longs poèmes épiques, telle La Henriade, et ses œuvres historiques firent de lui l’un des écrivains français les plus célèbres au xviiie siècle. Son œuvre comprend aussi des contes, notamment Candide ou l'Optimisme, des Lettres philosophiques, le Dictionnaire philosophique et une correspondance monumentale dont nous connaissons plus de 15 000 lettres sur un total parfois estimé à 40 000. Titulaire d'une charge officielle d'historiographe du roi, il a publié Le siècle de Louis XIV, puis Le Siècle de Louis XV, ouvrages considérés comme les premiers essais historiques modernes. Il a traduit librement La Science nouvelle de Jean-Baptiste Vico en lui donnant pour titre l'expression inédite de Philosophie de l'histoire, ce qui fait de lui le précurseur du déterminisme historique au XIXe siècle, puis de l'histoire culturelle au XXe siècle. La Révolution française voit en lui comme en Rousseau un précurseur, si bien qu'il entre au Panthéon en 1791, le deuxième après Mirabeau. Célébré par la IIIe République (dès 1870, à Paris, un boulevard et une place portent son nom), il a nourri, au XIXe siècle, les passions antagonistes des adversaires et des défenseurs de la laïcité de l’État et de l’école publique, et, au-delà, de l’esprit des Lumières.
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Médecin français, mais également pasteur et théologien protestant, philosophe et musicien, connu dans le monde entier en 1913 grâce à l'hôpital qu'il développe dans la forêt équatoriale du Gabon. Il recevra le Prix Nathan Katz du Patrimoine 2015 et le prix Nobel de la paix en 1952. Personnage marquant du XXe siècle, « homme universel », il est en même temps une figure emblématique de l'Alsace, de la théologie libérale ou des admirateurs de Jean-Sébastien Bach. On voit parfois en lui un précurseur de l'action humanitaire, de l'écologie, de l'antispécisme et du désarmement nucléaire. La notion de « respect de la vie » (Ehrfurcht vor dem Leben) et son indignation devant la souffrance sont au cœur de la démarche d'Albert Schweitzer, qui s'est voulu « un homme au service d'autres hommes », tourné vers l'action.
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Philosophe français des sciences, de la poésie et du temps, l'un des principaux représentants de l'école française d'épistémologie historique. Il est l'inventeur ce qu'il appelle la « psychanalyse de la connaissance objective » qui introduit et étudie la notion d'obstacle épistémologique : ce sont des obstacles affectifs dans l'univers mental du scientifique et de l'étudiant, obstacles qui les empêchent de progresser dans la connaissance des phénomènes.
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Philosophe et journaliste français, l'un des principaux théoriciens de l'écologie politique et de la décroissance et cofondateur en 1964 du Nouvel Observateur.
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Philosophe et psychologue français connu pour sa thèse « Essai sur le mysticisme spéculatif en Allemagne au XIVe siècle » publiée en 1900.
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Philosophe français, professeur émérite de philosophie française à l’université de Columbia à New York, il a largement contribué au rayonnement nord-américain de la pensée française, particulièrement de la « French Theory », qu’il publia et édita.
Autres points communs avec Michel Chodkiewicz