0Militaire (hommes et femmes) algérien
Découvrez notre liste de 9 militaire (hommes et femmes) algérien morts et connus comme par exemple : Houari Boumédiène, Amirouche Aït Hamouda, Larbi Belkheir, Lakhdar Bouregaa, Si M'Hamed Bougara, Chadli Bendjedid, Mohamed Lamari, Ahmed Gaïd Salah, Saïd Arif... Ces personnalités peuvent avoir des liens variés dans les domaines de l'histoire, de la politique, de la guerre, de la politique de gauche, du djihadisme, de la justice ou du terrorisme. Ces célébrités peuvent également avoir été colonel, homme politique, général, homme d'état, commandant, député, indépendantiste, socialiste, président, chef d'état major, criminel, croyant, djihadiste, hors-la-loi, islamiste, lieutenant ou terroriste.
Colonel de l'Armée de libération nationale (ALN) et chef de la wilaya III pendant la guerre d'indépendance de l'Algérie. Il devient la bête noire de la France qui mobilise vainement, pour en venir à bout, près de 11 000 hommes, auxquels s’ajoutent les unités locales, 8 généraux et 27 colonels lors de l’opération Brumaire en 1958. L'image du colonel Amirouche est cependant loin de faire l'unanimité en Algérie. Il est notamment fortement critiqué pour les purges sanglantes qui se déroulent dans la Wilaya III durant l'opération bleuite et qui affaibliront durablement celle-ci. Il est trahi par certains de ses camarades et tombe dans une embuscade tendue par l'armée française le 28 mars 1959. 
Politicien algérien, officier de l'armée de libération nationale (ALN) de l'intérieur de 1956 à l'indépendance. Il s'oppose au clan d'Oujda depuis la crise de l'été 1962 : il est l'un des membres fondateurs du Front des forces socialistes (FFS) en 1963 et une figure du Hirak en 2019-2020. Pour les algériens, il est « l’homme qui ne s’est jamais rendu », un opposant irréductible, le héros de l’indépendance qui avait pris parti pour le Hirak dès le début en 2019, engagement qui lui valut d’être emprisonné 6 mois à l’âge de 86 ans. 
Militaire algérien, chef d'État-Major au sein de l'Armée nationale populaire et vice-ministre de la Défense nationale, devenu la bête noire des manifestants en 2019 à la suite de manifestations de masse contre le régime, il pousse à la démission le président Abdelaziz Bouteflika, dont il était un proche et est à son tour appelé à quitter le pouvoir quelques jours après l'investiture du nouveau président Abdelmadjid Tebboune. Il était le dernier haut responsable à avoir participé à la guerre d’indépendance de l’Algérie. 
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