0Hommes célèbres nés au 20ème siècle en Z
Découvrez notre liste de 19 hommes (toutes nationalités confondues) nés au 20ème siècle morts et connus dont le nom commence par la lettre Z comme par exemple : Zelimkhan Bakayev, Zappy Max, Zacharie Noah, Zoltan Kocsis, Zayed Ben Sultan Al Nahyane, Zombie Boy, Zao Wou-Ki, Zdravko Tolimir, Zoé Oldenbourg, Zine el-Abidine Ben Ali... Ces personnalités (de sexe masculin) peuvent avoir des liens variés dans les domaines de l'art, de l'assassinat, du crime, de l'homicide, de l'homicide volontaire, de la justice, du meurtre, de la musique, de la radio, du football, du sport, du sport collectif, de l'histoire, de la politique, de l'art corporel, de la mode, du tatouage, de la peinture, de la guerre, de la littérature ou de la science. Ces célébrités peuvent également avoir été artiste, chanteur, musicien, victime, victime d'agression, victime de meurtre, victime de torture, animateur, animateur de radio, footballeur, parent de célébrité, sportif, chef d'orchestre, compositeur, pianiste, homme d'état, homme politique, sultan, mannequin, tatoué, peintre, accusé de crime, général, hors-la-loi, militaire, écrivain, historien, romancier, scientifique, ministre, ministre de l'intérieur, premier ministre ou président. En ce qui concerne leurs nationalités au moment de leurs morts, ils peuvent avoir été russe, francais, camerounais, hongrois, émirati, canadien, chinois, serbe ou tunisien par exemple.
Chanteur russe assassiné par les autorités tchétchène pour son homosexualité (et après avoir été torturé). 
1937 - 2017
Camerounais, 79 ans
Père de Yannick Noah et footballeur camerounais ayant remporté la Coupe de France avec Sedan en 1961. 
Mannequin canadien connu pour ses tatouages l'apparentant à un cadavre (90% de la surface de son corps) et pour avoir participé à une campagne de publicité impressionnante qui le métamorphosait. 
Politicien tunisien, président de la République tunisienne de 1987 à 2011. Sous sa présidence, la Tunisie est classée première en termes de compétitivité économique en Afrique. Le pays jouit d'une bonne image dans le monde occidental, en particulier grâce à la place qu'il accorde aux femmes : remontant à l'ère bourguibienne, le statut de la femme tunisienne est notamment renforcé en 1993 avec la suppression de son obligation d'obéissance à son mari. Des organisations non gouvernementales et des médias étrangers dénoncent cependant sa politique en matière de droits de l'homme, la qualifiant de dictatoriale, notamment du fait de l'emprisonnement et de la torture d'opposants, ainsi que des atteintes à la liberté de la presse. Au début de l'année 2011, un mouvement de protestation populaire, inaugurant le début du Printemps arabe, le contraint à quitter le pays. Il abandonne ainsi la présidence de la République pour se réfugier à Djeddah, en Arabie saoudite. En 2018, à l'issue de plusieurs procès par contumace, le total des peines prononcées à son encontre atteint plus de 200 ans de prison. 
Historien israélien, lauréat en 2008 du prix Israël pour ses travaux en sciences politiques, historien spécialiste du fascisme, professeur d’université à la carrière internationale, officier de réserve dans l’armée israélienne et militant pacifiste, il a consacré une part de ses travaux aux origines du fascisme dont la France de la Belle Epoque a été, selon lui, le laboratoire. 
Père du "pinyin" (écriture latinisée du chinois devenue universelle). 
L'un des plus grands sociologues du XXe siècle, théoricien de la "Société Liquide", a profondément marqué la sociologie du XXe siècle. 
Politologue américain connu pour avoir été l'ancien conseiller à la sécurité nationale du président Jimmy Carter dans les années 1980 et grande figure de la politique étrangère américaine. 
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