HOMME D'ÉTAT NÉS en SEPTEMBRE 1936 et MORTS au 21ème SIÈCLE célèbres

Célébrité :

Homme d'état

Homme

Nationalité

Avancée ►

Née :

en septembre 1936

Morte :

au 21^ème siècle

Découvrez notre liste de 4 homme d'état (toutes nationalités confondues) nés en septembre 1936 et morts au 21ème siècle connus comme par exemple : Silvio Berlusconi, Zine el-Abidine Ben Ali, Iouri Loujkov, Moussa Traoré... Ces personnalités (de sexe masculin) peuvent avoir des liens variés dans les domaines du business, du football, de la fraude, de la justice, people, de la politique, de la politique de droite, du sport, du sport collectif ou de l'extrême gauche. Ces célébrités peuvent également avoir été député, député européen, dirigeant de football, dirigeant sportif, fraudeur, homme politique, homme riche, hors-la-loi, milliardaire, ministre, ministre de l'économie, ministre de la santé, ministre des affaires étrangères, président, sénateur, ministre de l'intérieur, premier ministre, communiste, maire, général, lieutenant ou militaire. En ce qui concerne leurs nationalités au moment de leurs morts, ils peuvent avoir été italien, tunisien, russe ou malien par exemple.

Notez-le !

Silvio Berlusconi

1936 - 2023
Italien, 86 ans

Politicien et milliardaire italien, président du Conseil des ministres à 3 reprises (entre 1994 et 2011), connu pour avoir dédiabolisé l'extrême-droite italienne et pour avoir perdu son siège de sénateur à la suite d'une condamnation pour fraude fiscale.

Tombe ►

Zine el-Abidine Ben Ali

1936 - 2019
Tunisien, 83 ans

Politicien tunisien, président de la République tunisienne de 1987 à 2011. Sous sa présidence, la Tunisie est classée première en termes de compétitivité économique en Afrique. Le pays jouit d'une bonne image dans le monde occidental, en particulier grâce à la place qu'il accorde aux femmes : remontant à l'ère bourguibienne, le statut de la femme tunisienne est notamment renforcé en 1993 avec la suppression de son obligation d'obéissance à son mari. Des organisations non gouvernementales et des médias étrangers dénoncent cependant sa politique en matière de droits de l'homme, la qualifiant de dictatoriale, notamment du fait de l'emprisonnement et de la torture d'opposants, ainsi que des atteintes à la liberté de la presse. Au début de l'année 2011, un mouvement de protestation populaire, inaugurant le début du Printemps arabe, le contraint à quitter le pays. Il abandonne ainsi la présidence de la République pour se réfugier à Djeddah, en Arabie saoudite. En 2018, à l'issue de plusieurs procès par contumace, le total des peines prononcées à son encontre atteint plus de 200 ans de prison.