Top 50Homme politique algérien nés au 20ème siècle
10 célébrités
Découvrez notre liste de 10 homme politique algérien nés au 20ème siècle morts et connus comme par exemple : Redha Malek, Abane Ramdane, Chadli Bendjedid, Larbi Ben M'hidi, Houari Boumédiène, Hocine Aït Ahmed, Abbassi Madani, Abdelhamid Mehri, Lakhdar Bouregaa, Boualem Bessaïh... Ces personnalités (de sexe masculin) peuvent avoir des liens variés dans les domaines de la guerre, de l'histoire, de la politique, de l'assassinat, de l'homicide, de l'homicide volontaire, de la justice, du meurtre, de la religion, de la politique de gauche, de l'art ou de la littérature. Ces célébrités peuvent également avoir été ambassadeur, diplomate, homme d'état, ministre, ministre de l'information, ministre de la culture, ministre des affaires étrangères, premier ministre, révolutionnaire, colonel, militaire, président, nationaliste, président d'un parti politique, commandant, député, indépendantiste, socialiste, artiste ou écrivain.
10 homme politique algérien populaires
Politicien algérien, surtout connu pour avoir été l'un des négociateur des accords d'Evian et donc le dernier Algérien encore en vie ayant négocié ce texte historique qui mit fin à la guerre d'Algérie. 
Politicien algérien, joua un rôle essentiel dans l'histoire de la révolution algérienne, considéré comme le dirigeant « le plus politique » du FLN, surnommé « l'architecte de la révolution ». Principal organisateur avec Larbi Ben M'hidi du congrès de la Soummam, il trace les grandes lignes du mouvement révolutionnaire consistant à créer un État dans lequel l'élément politique l'emporte sur l'élément militaire, et a opté pour le pluralisme politique et linguistique en Algérie. Victime des luttes internes entres les colonels, partisans du pouvoir militaire, et les défenseurs du primat accordé au politique, il est assassiné sur l'ordre des « colonels » du CCE en 1957. 
Politicien algérien, militant nationaliste, combattant et responsable du FLN durant la guerre d'Algérie (1954-1962), il est arrêté, torturé, puis exécuté sans jugement par l'armée française durant la bataille d'Alger en 1957. Considéré comme un « héros » de la « Révolution algérienne » en Algérie, plusieurs lieux et édifices institutionnels se sont vus attribuer son nom. 
Politicien algérien, cofondateur et le président du FSI (Front Islamique du Salut) en Algérie, dissout en mars 1992 par le tribunal administratif d'Alger. 
Politicien algérien, officier de l'armée de libération nationale (ALN) de l'intérieur de 1956 à l'indépendance. Il s'oppose au clan d'Oujda depuis la crise de l'été 1962 : il est l'un des membres fondateurs du Front des forces socialistes (FFS) en 1963 et une figure du Hirak en 2019-2020. Pour les algériens, il est « l’homme qui ne s’est jamais rendu », un opposant irréductible, le héros de l’indépendance qui avait pris parti pour le Hirak dès le début en 2019, engagement qui lui valut d’être emprisonné 6 mois à l’âge de 86 ans. 
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