0Écrivaine mortes en 2021
Découvrez notre liste de 5 écrivaine (toutes nationalités confondues) mortes en 2021 connues comme par exemple : Jakuchô Setouchi, Marie-Claire Blais, Maryse Wolinski, Anne Rice, Nawal El Saadawi... Ces personnalités (de sexe féminin) peuvent avoir des liens variés dans les domaines de l'art, de la littérature, de la religion, du cinéma, du théâtre, du journalisme, de la psychiatrie ou de la science. Ces célébrités peuvent également avoir été artiste, femme politique, militante, militante anti-nucléaire, religieuse, romancière, dramaturge, scénariste, conjointe de célébrité, journaliste, militante LGBT, romancière de fantasy, féministe, médecin, militante des droits des femmes, psychiatre ou scientifique. En ce qui concerne leurs nationalités au moment de leurs morts, ils peuvent avoir été japonaise, canadienne, française, américaine ou égyptienne par exemple.
Romancière japonaise, connue pour sa traduction en japonais moderne du « Dit du Genji » en 10 volumes, publiée en 1998 qui s'est vendue à plus de 2 millions d'exemplaires. 
1939 - 2021
Canadienne, 82 ans
Romancière canadienne québécoise, récompensée par de nombreux prix, elle est connue pour ses ouvrages « La Belle Bête » (1959), « Une saison dans la vie d'Emmanuel » (1965), « Visions d'Anna » (1983) et « Soifs » (1995). 
Journaliste et écrivaine française, veuve du dessinateur Georges Wolinski. Fine observatrice de la société, elle était une militante implacable de la liberté d'expression et des valeurs républicaines et démocratiques face à l'obscurantisme. 
1941 - 2021
Américaine, 80 ans
Romancière américaine, autrice de romans fantastiques et vampiriques, elle se fait connaître en 1976 avec la parution d’« Entretien avec un vampire » qui contribue à renouveler le genre du roman de vampires, tout comme la suite de la série romanesque qui le prolonge, les « Chroniques des vampires ». Près de 100 millions d'exemplaires de ses ouvrages ont été vendus. 
1931 - 2021
Égyptienne, 89 ans
Écrivaine et médecin psychiatre, figure égyptienne de l’émancipation des femmes dans le monde arabe, emprisonnée en 1981 pour s'être opposée à la loi du parti unique sous le président Anouar el-Sadate, son livre « Mémoires de la prison des femmes » (2002) relate cet épisode. Libérée sous le président Hosni Moubarak elle fonde en 1982 l’Association arabe pour la solidarité des femmes qui est interdite en 1991. Ses œuvres sur la condition de la femme, sur l'intégrisme religieux et sur les brutalités policières lui valent d'être poursuivie et contrainte à plusieurs reprises à l'exil après avoir reçu des menaces de la part d’islamistes. 
Image
Top 50
