0Artiste (hommes) japonais morts au 21ème siècle
Découvrez notre liste de 40 artiste (hommes) japonais morts au 21ème siècle connus comme par exemple : Masaru Emoto, Makio Inoue, Akira Toriyama, Shingo Araki, Leiji Matsumoto, Kentaro Miura, Ryuichi Sakamoto, Osamu Dezaki, Ken Takakura, Kenzo Takada... Ces personnalités (de sexe masculin) peuvent avoir des liens variés dans les domaines de l'art, de la littérature, de la science, de l'animation, du cinéma, du dessin-animé, du doublage, de la bande dessinée, du manga, du dessin, de la télévision, de la musique, de la musique de film, de la musique électronique, de la world music, de la couture ou de la mode. Ces célébrités peuvent également avoir été écrivain, scientifique, acteur, doubleur, dessinateur, mangaka, réalisateur de télévision, auteur de bande dessinée, scénariste, scénariste de bandes dessinées, compositeur, compositeur de musique de film, compositeur de musique électronique, compositeur de world music, homme d'affaire, producteur, producteur de musique, cinéaste, réalisateur d'animation, couturier, designer ou styliste.
Doubleur japonais, connu pour être la voix du capitaine Harlock dans « Space Pirate Captain Harlock » (« Albator, le corsaire de l'espace » en français, 1978) et de Goemon Ishikawa XIII de « Lupin III » (« Edgar, le Détective Cambrioleur » en français, 1967-1969). 
Mangaka japonais, créateur du manga Dragon Ball (un des mangas les plus populaires et le plus vendus de tous les temps). 
Mangaka japonais, légende du manga et père du personnage « Albator », le pirate de l'espace. 
Dessinateur japonais de mangas, connu pour être l'auteur de la série de dark fantasy inachevée « Berserk » (1989-2021, 40 volumes). 
Compositeur japonais de musiques de films, connu pour ses musiques des films « Furyo » (1983, drame, avec David Bowie) et du « Dernier Empereur » (1987, drame historique), qui lui valent respectivement un BAFTA en 1984 et un Oscar en 1988. 
Styliste japonais, fondateur de la marque de vêtements, d'accessoires et de parfums Kenzo. Premier styliste japonais à s’être imposé à Paris, où il a fait toute sa carrière et rendu célèbre son prénom, Kenzo. 
Réalisateur japonais de films d'animation, cofondateur du studio Ghibli avec Hayao Miyazaki, il est connu pour son film « Le Tombeau des lucioles » (1988), mais aussi « Souvenirs goutte à goutte » (1991), « Pompoko » (1994), « Mes voisins les Yamada » (1991) et « Le Conte de la princesse Kaguya » (2013). 
Styliste japonais, un des 1er stylistes japonais à organiser un défilé en Europe en 1973, il avait fait rayonner son style en utilisant des matériaux jamais vus dans la mode jusqu’alors (plastique, fil de fer, papier artisanal japonais, crin, raphia...). 
Cinéaste japonais, figure de la Nouvelle Vague japonaise des années 1960, il est connu pour ses films «Eros + Massacre» (1969, drame), «La Source thermale d'Akitsu» (1962, drame) ou «Femmes en miroir» (2002, drame). 
Acteur japonais, 1er acteur à interpréter Godzilla en revêtant à 12 reprises le costume du gigantesque lézard radioactif entre 1954 et 1972. Il recevra le prix couronnant l'ensemble de sa carrière à Monsterpalooza à Chicago (USA) en avril 2011. 
Mangaka japonais, connu pour avoir créé le manga Cobra (1978-1984). 
Compositeur japonais de musique de films d'animation connu pour son travail sur les musiques de la série « Saint Seiya » (Les Chevaliers du Zodiaque,) et « Albator 78 » (1978-1979, 42 épisodes). 
Mangaka japonais connu pour avoir été l'auteur de « Quartier lointain » (1998), « L'Homme qui marche » (1995) et « Rêveries d'un gourmet solitaire » (2016). 
Écrivain japonais, prix Nobel de littérature, ses écrits reflètent son engagement en faveur de l'antimilitarisme et du pacifisme et son opposition au nucléaire, tant militaire que civil. 
Humoriste japonais, spécialisé en slapstick (un genre d'humour impliquant une part de violence physique volontairement exagérée). 
Acteur japonais, il a introduit les arts martiaux à mains nues, à la façon chinoise, dans le cinéma japonais où les héros se battent plus volontiers à coups de sabre ou de révolvers. Il est un des premiers acteurs à connaître la célébrité pour ses compétences martiales, d'abord au Japon puis internationalement notamment aux États-Unis. Quentin Tarantino lui rend ainsi hommage en lui confiant le rôle d'Hattori Hanzo dans « Kill Bill : Volume 1 ». 
Architecte japonais, lauréat du prix Pritzker 2019 pour son œuvre architecturale et sa carrière ; très prolifique et cosmopolite, il était connu pour n'avoir jamais cherché à affirmer un style particulier, se montrant plutôt soucieux d'intégrer au mieux ses constructions dans leur environnement. 
Poète japonais, grande figure du haïku (court poème de dix-sept syllabes), poésie qu'il contribua à renouveler et dont il voulait faire un instrument au service de la paix. 
Réalisateur japonais connu pour avoir réalisé « La Marque du tueur » (1967) ou « Le Vagabond de Tokyo » (1966). Considéré comme l'un des réalisateurs marquants du cinéma japonais, oublié du grand public pendant une longue période (banni des studios japonais durant 10 ans), il fut récemment redécouvert par les cinéphiles et soutenu par des auteurs célèbres comme Jim Jarmusch, Yasuharu Hasebe, Wong Kar-wai ou encore Quentin Tarantino qui se réclament parfois de son influence. 
Acteur japonais, connu pour avoir joué des personnages tués des milliers de fois par des samouraïs. Son mouvement phare, le "ebi-zori", consiste à se courber telle une crevette une fois le sabre enfoncé dans son corps pour ensuite convulser et mourir. 
Styliste japonais, un des leaders de la mode japonaise contemporaine, en particulier durant les années 1970 et 1980, il est connu pour ses collaborations avec David Bowie. Ses créations audacieuses défiaient les normes de genre et faisaient appel à d’éclatantes couleurs ainsi qu’à des motifs avant-gardistes. 
Acteur japonais connu pour son rôle de Yakuza dans la série TV « Oshin » (1983, 297 épisodes). 
Chanteur japonais de rock, connu pour son appartenance de 1970 à 1973 à Can, un groupe de krautrock. 
Scénariste de mangas et de gekiga japonais, orfèvre du manga gekiga, il est l’auteur de « Lady Snowblood » (1972) et « Crying Freeman » (1986). 
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