Biographie
Georges Barbarin, né le 17 novembre 1882 à Issoudun et mort avec son épouse dans l'incendie de son domaine le 1er août 1965 à Bormes-les-Mimosas, était un poète, écrivain et journaliste français.
Après 1936 il s'est consacré à des théories pseudo-scientifiques sur la destination de la pyramide de Khéops, au développement personnel, ainsi qu'à l'histoire parallèle et l'archéologie non officielle. Selon lui, la pyramide de Khéops aurait été une Bible de pierre, construction prophétique contenant les dates clefs de l'histoire de l'humanité passées et futures.
Georges Barbarin est mort le dimanche 1er août 1965, à l'âge de 82 ans, dans un incendie, à son domaine à Bormes-les-Mimosas (France). Son épouse est décédée avec lui dans l'incendie.
Tombe
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Autres écrivain francais
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Écrivain français, se lance dans une carrière de mystificateur après avoir pris la mesure de la puissance de la presse et de l'opinion publique et en profite pour mystifier les personnalités du monde politique, de la bourgeoisie parisienne et de la presse de la fin du XIXe siècle. Ses victimes furent entre autres Jules Grévy, Pierre Loti, Émile Zola, Paul Thureau-Dangin, Georges Boulanger, Philippe d'Orléans et Otto von Bismarck.
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Avocat, écrivain et académicien français, engagé dans de nombreux combats, il fut notamment un ardent partisan du procès en révision de l’affaire Seznec.
Acteur, humoriste, chanteur, parolier et écrivain français, connu entre autres pour ses interprétations parodiques (notamment la « baronne de La Tronche-en Biais ») et sa participation à l'émission radiophonique Les Grosses Têtes.
Écrivain, dramaturge et cinéaste français devenu célèbre avec sa pièce de théâtre Marius (1929), puis ses nombreux films avec les grands acteurs de l'époque (en particulier Raimu, Fernandel et Pierre Fresnay) : Angèle (1934), Regain (1937), La Femme du boulanger (1938)... Élu à l'Académie française en 1946. Auteur de "La Gloire de mon père" et "Le Château de ma mère", "Jean de Florette" et "Manon des Sources".
Écrivain et philosophe français qui a marqué le XVIIIe siècle, représentant le plus connu de la philosophie des Lumières, anglomane, féru d'arts et de sciences, personnage protéiforme et complexe, non dénué de contradictions, il domine son époque par la durée de sa vie, l'ampleur de sa production littéraire et la variété des combats politiques qu'il a menés. Son influence est décisive sur la bourgeoisie libérale avant la Révolution française et pendant le début du XIXe siècle. Anticlérical mais déiste, il dénonce dans son Dictionnaire philosophique le fanatisme religieux de son époque. Sur le plan politique, il est en faveur d’une monarchie modérée et libérale, éclairée par les « philosophes ». Mettant sa notoriété au service des victimes de l’intolérance religieuse ou de l’arbitraire, il prend position dans des affaires qu’il a rendues célèbres : Jean Calas, Pierre-Paul Sirven, chevalier de La Barre, comte de Lally. Son œuvre littéraire est riche et variée : son importante production théâtrale, ses longs poèmes épiques, telle La Henriade, et ses œuvres historiques firent de lui l’un des écrivains français les plus célèbres au xviiie siècle. Son œuvre comprend aussi des contes, notamment Candide ou l'Optimisme, des Lettres philosophiques, le Dictionnaire philosophique et une correspondance monumentale dont nous connaissons plus de 15 000 lettres sur un total parfois estimé à 40 000. Titulaire d'une charge officielle d'historiographe du roi, il a publié Le siècle de Louis XIV, puis Le Siècle de Louis XV, ouvrages considérés comme les premiers essais historiques modernes. Il a traduit librement La Science nouvelle de Jean-Baptiste Vico en lui donnant pour titre l'expression inédite de Philosophie de l'histoire, ce qui fait de lui le précurseur du déterminisme historique au XIXe siècle, puis de l'histoire culturelle au XXe siècle. La Révolution française voit en lui comme en Rousseau un précurseur, si bien qu'il entre au Panthéon en 1791, le deuxième après Mirabeau. Célébré par la IIIe République (dès 1870, à Paris, un boulevard et une place portent son nom), il a nourri, au XIXe siècle, les passions antagonistes des adversaires et des défenseurs de la laïcité de l’État et de l’école publique, et, au-delà, de l’esprit des Lumières.
Poète français, connu principalement pour ses « Fables » comme « Le Corbeau et le Renard » ou « La Cigale et la Fourmi ». Le brillant maniement des vers et la visée morale des textes, parfois plus complexes qu'il n'y paraît à la première lecture, ont déterminé le succès de cette oeuvre à part et les Fables de La Fontaine sont toujours considérées comme un des plus grands chefs-d’oeuvre de la littérature française.