Monsieur CABU, sous vos airs d'adolescent un esprit espiègle veillait à la liberté d'expression. Vous avez voulu dessiner les travers de la société sans épargner quiconque. Face à votre gomme et vos crayons, des armes à feu manipulées par des fascistes sont venues vous réduire au silence. Que la nation française se souvienne de tous ceux morts pour que la France demeure terre de liberté.