Alexandre Le Grand

 
Alexandre Le Grand
-356 à -323
 

Homme d'état, Roi (Histoire).

Nationalité macédonienne Macédonien, né le 21 juin de l'an -356 av. jc et mort le 13 juin de l'an -323 av. jc

32 ans Mort à l'âge de 32 ans (de quoi ?).

Enterré (où exactement ?).




Où se trouve la tombe
d'Alexandre Le Grand ?


Contribuez !

Biographie

Elève du philosophe Aristote, Alexandre s'éprend des héros de l'Iliade, d'Achille en particulier. Il prétend en être un descendant et en fait son modèle. Son père lui fait partager son pouvoir. Il conduit la cavalerie à la bataille de Chéronée (338 avant Jésus-Christ) et devient l'ambassadeur chargé de rapporter à Athènes les cendres des Athéniens tués. Philippe II est assassiné en 336 avant Jésus-Christ. L'accession au trône d'Alexandre s'accompagne de troubles provoqués par la noblesse macédonienne. La répression est sanglante. Thèbes, qui s'était soulevée avec l'aide tacite des Athéniens, est vaincue et la ville totalement rasée. Le calme revenu et le pouvoir fermement établi, Alexandre part à la conquête de l'Asie Mineure en 334 avant Jésus-Christ sous le prétexte d'une guerre de représailles pour les torts subis lors des guerres médiques. Il confie provisoirement le pouvoir à Antipater et laisse sur place les contingents les plus fidèles de son armée.

Parti d'Amphipolis en Thrace, il débarque à Troie à la tête de 35.000 fantassins et 5.000 cavaliers. Le roi de Perse, Darius III Codoman, n'intervient pas durant la traversée de l'Hellespont. Son armée, très supérieure en nombre, tente d'arrêter l'armée macédonienne sur les rives du Granique au mois de mai. Cette bataille, au cours de laquelle l'armée d'Alexandre doit de traverser le fleuve et escalader une rive escarpée, se solde par la victoire des Grecs. Les Perses prennent la fuite. Alexandre étend son avantage à l'ensemble de la région côtière afin de priver les Perses de base pour envahir la Grèce. Il libère plusieurs villes de leur tyran et rétablit la démocratie. Les villes qui résistent (Halicarnasse, Lampsaque ou Aspendos) sont assiégées et vaincues. La période hivernale 334-333 avant Jésus-Christ est mise à profit pour s'emparer de la Lycie, la Pamphilie, la Pisidie au Sud de l'Asie Mineure. Le gouvernement de cette région est confié à son ami Néarque.

Les armées grecques pénètrent alors à l'intérieur du territoire et s'emparent de Gordion. Alexandre tranche d'un coup d'épée le noeud fixant le joug au char de l'ancien roi Gordios. Il se dirige ensuite, à l'Est, vers les monts Taurus qu'il franchit aisément. Alexandre tombe malade après avoir pris un bain dans le Cydnus et s'être emparé de Tarse, ville dans laquelle il frappe monnaie. Le roi de Sparte, allié aux amiraux perses, tente de s'emparer du pouvoir. L'armée grecque affronte les forces perses forte de 600.000 hommes, concentrées dans la plaine d'Issos large de cinq kilomètres et située entre les monts Taurus et la mer. Alexandre reporte une victoire éclatante. Darius s'enfuit, laissant en otage sa mère, sa femme, ses filles ainsi qu'un immense butin. Il se retire au-delà de l'Euphrate. Les routes de la Syrie et de l'Egypte sont ouvertes.

Plusieurs villes se rendent. Tyr, qui bénéficie d'une position insulaire, résiste pendant sept mois avant de se rendre. Huit mille Tyriens périssent et les autres sont vendus. Il s'attaque ensuite à Gaza où il est blessé à deux reprises. Alexandre est accueilli comme un libérateur par les Egyptiens, farouches ennemis des Perses. Il fonde, à l'Ouest du delta du Nil, la ville d'Alexandrie, la première d'une longue série qui sera édifiée jusqu'au fond du Caucase. Il confie l'administration du pays à plusieurs chefs civils et militaires macédoniens. Les prêtres du dieu Amon lui donnent le titre de "fils d'Amon" jadis porté par les Pharaons. Il devient un dieu égyptien.

Devenu maître de l'Asie hellénique et méditerranéenne. Il repart en guerre contre Darius en 331 avant Jésus-Christ afin de devenir également roi de Perse. Il franchit le Tigre et l'Euphrate sans rencontrer de résistance. L'affrontement intervient à l'Est du Tigre, près de Gargamèle, au Nord d'Arbèles. Prise en tenaille entre la cavalerie grecque conduite par le roi, sur la droite, et la puissante phalange macédonienne, au centre, l'armée perse forte de près d'un million d'hommes est une nouvelle fois vaincue. Darius prend la fuite le 2 octobre 331 avant Jésus-Christ, abandonnant derrière lui son char et ses armes. Toutes les capitales de l'empire perse sont pillées tandis que les habitants sont épargnés. Alexandre est accueilli à Babylone et à Suse en qualité de roi de l'Asie. Il fait incendier les palais de Persépolis en représailles, dit-on, des crimes commis par Xerxès et rend hommage au tombeau de Cyrus le Grand à Pasargades.

Darius, entouré d'une poignée de fidèles dont le nombre diminue, s'enfonce à l'Est du pays. Alexandre cherche à la capturer. Il pense le trouver à Ecbatane. A l'issue d'une véritable course poursuite, et alors qu'il est à portée de main d'Alexandre, Darius est tué par l'un de ses satrapes. Le nouveau roi d'Asie fait rendre les honneurs royaux à la dépouille de Darius et s'empare de sa couronne. Il peut alors soumettre la Perse orientale (Afghanistan, Turkestan et Béloutchistan) mais doit faire face à une guérilla qui durera de 330 à 328 avant Jésus-Christ. Les conditions climatiques sont difficiles et le terrain propice à la résistance. La révolte prend fin avec la soumission de la Sogdiane et de la Bactriane. Alexandre épouse, dans le rite perse, Roxane, fille du bactrien Oxyarte. Le moral des troupes, usées par plusieurs années de campagne et la nostalgie du pays, faiblit. Les nobles macédoniens s'inquiètent de voir leur roi se comporter en monarque absolu et adopter le vêtement et les habitudes perses.

La Perse orientale soumise, Alexandre peut se diriger vers l'Inde, pays peuplé d'êtres fantastiques et regorgeant de merveilles à ses yeux. Il disposait des renseignements rapportés par la dynastie perse et par certaines relations parmi lesquelles Hérodote. Il descend le bassin de l'Indus et se dirige vers l'Hydaspe située à la frontière du royaume perse. L'entrée en Inde est conditionnée par une victoire sur le roi Poros qui veut en interdire l'accès aux Macédoniens. Alexandre franchit le fleuve par ruse. La victoire est longue à se dessiner. L'armée de Poros, renforcée d'éléphants, oppose une farouche résistance. Le vainqueur, sachant apprécier la dignité du vaincu, lui porte de l'estime et le traite en allié. L'armée, parvenue en pleine mousson jusqu'aux rives du Gange (limite extrême du monde connu) se mutine. Alexandre revient vers l'Indus et descend au Sud en direction de l'Océan Indien. Il traverse le désert de Gédrosie, parallèlement au Golfe Persique, au prix de pertes en vies humaines très élevées. Néarque, à la tête de la flotte, longe le rivage, de l'embouchure de l'Indus à celle de l'Euphrate, dans des conditions également difficiles.

Il parvient au fond du Golfe Persique et retrouve Alexandre à Suse. Le roi y organise les noces de Suse aux cours desquelles dix mille soldats, quatre-vingts généraux, le lui-même prennent une épouse d'origine perse. Statira, la fille aînée de Darius, devient la compagne d'Alexandre. Il retourne ensuite à Babylone où il entreprend un vaste programme de travaux. Victime d'une crise de fièvre maligne. Il meurt en quelques jours en juillet 323 avant Jésus-Christ. Le corps d'Alexandre sera plus tard transféré de Babylone à Memphis, puis inhumé à Alexandrie, par les soins de Ptolémée Ier Sôter, ancien général dans son armée et fondateur d'une dynastie alexandrine. Le lieu où repose la dépouille d'Alexandre est toujours un mystère.

Source : www.insecula.com  

Tombe

Aidez-nous à localiser la tombe d'Alexandre Le Grand en nous envoyant l'adresse du lieu où se trouve sa sépulture (cimétière...). Facultatif : transmettez-nous également les coordonnées GPS de l'emplacement exact de la sépulture d'Alexandre Le Grand.

Vous savez où se trouve la tombe d'Alexandre Le Grand ?

Citations

Les meilleures citations d'Alexandre Le Grand.

Le soleil ne se couche pas sur mon empire.

Merci à notre partenaire Citation Célèbre qui nous a proposer de partager son catalogue de phrases d'Alexandre Le Grand. Vous pouvez consulter les meilleures citations d'Alexandre Le Grand, proverbes, petites phrases et pensées sur le site Citation Célèbre.

Fiche d'identité

Identité

  • Nom complet : --
  • Nationalité (à sa mort) : Macédonienne Drapeau macédonien
  • Nationalité (à sa naissance) : --
  • Sexe : Masculin

Domaines d'activité

  • Activités principales : --
  • Autres activités : Homme d'état, Roi
  • Domaines : Histoire

Noms

  • Nom usuel : Alexandre Le Grand
  • Nom complet : --
  • Prénom : Alexandre
  • Noms dans d'autres langues : --
  • Homonymes : 0 (aucun)
  • Nom de famille : Le Grand
  • Pseudonyme : --
  • Surnom : --
  • Erreurs d'écriture : alexandre legrand, Alexandre III de Macédoine, alexander the great, alexendre le grand, alexsandre le grand

Naissance

  • Signe astrologique du zodiaque : --
  • Signe astrologique chinois : --

Décès

  • Âge de mort : 32 ans
  • Cause de mort : --

Obsèques

  • Date des obsèques : --
  • Lieu de sépulture : --
  • Type de funérailles : --

Que recherchez-vous sur Alexandre Le Grand ?

Si vous ne trouvez ce que vous recherchez sur Alexandre Le Grand, décrivez-nous votre demande et nous vous répondrons personnellement dans les plus brefs délais.

Demandez-nous

Notez !

2 sur 5
  ?
2 notes
5 étoiles
0
4 étoiles
1
3 étoiles
0
2 étoiles
0
1 étoile
0
0 étoile
1
2,00

 Assurément, un grand visionnaire mais une personnalité complexe.
Assurément, un grand visionnaire mais une personnalité complexe. Génie militaire convaincu de sa propre ascendance divine, Alexandre ne laisse pas indifférent. Son épopée à marqué tout le monde connu de l'époque et ses tactiques militaires son encore employées aujourd'hui.
Il rêvait d'un monde cosmopolite, métissé bien avant nous, difficile à réaliser en son temps.
Ca n'excuse peut-être pas le nombre de morts inutile, mais je ne peux pas m'empêcher de l'admirer…... Remis dans son contexte de l'époque.
Commentez - il y a 6 ans

Commentaires

Vous avez des questions sur Alexandre Le Grand ? Des remarques ? Des infos à partager ?

Image
Donias De Carmanie, Alexandre se rend au début de l’année 324 à Pasargades avec des troupes légères tandis qu’Héphaestion poursuit le voyage avec le gros de l’armée le long des côtes de la Perse. C’est à ce moment qu’il entreprend de restaurer le tombeau de Cyrus le Grand, lequel avait été pillé en son absence, et de punir les coupables. Il se débarrasse aussi de plusieurs satrapes tel Baryaxès qui s’était proclamé Grand Roi ou Orxinès en Perse dont la fidélité était sujette à caution. Puis il arrive à Suse.

C’est à ce moment qu’interviennent les fameuses noces de Suse. Cet épisode est un acte symbolique très solennel révélateur de la volonté du roi de fondre en un seul peuple les Macédoniens et Grecs ainsi que les Asiatiques. C’est ainsi que dix mille de ses compagnons épousent le même jour des femmes asiatiques. Alexandre y épouse Stateira, fille aînée de Darius III, tandis qu’Héphaestion épouse une de ses sœurs cadettes.
Les mariages se font à la mode perse, ce qui ne manque pas de provoquer la désapprobation des Macédoniens (qui ont déjà vu leur roi s’unir à Roxane) qui en concluent qu’Alexandre s’éloigne des coutumes grecques pour adopter une mentalité « barbare ». Le conquérant marque également la volonté d’intégrer de jeunes Perses à son armée.
Pour calmer la colère, Alexandre paye les dettes de ses soldats et offre en un geste symbolique des couronnes d’or à ses généraux.

Ces gestes sont insuffisants pour éviter qu’une révolte des vétérans n’éclate à Opis (au nord de Babylone).
L’élément déclencheur est bien cette place nouvelle qui est accordée par Alexandre à ses troupes asiatiques. Ainsi la création d’une cinquième hipparchie composée d’Asiatiques dans le corps des hétères est-elle mal ressentie.
Aussi le jour même où Alexandre libère 10 000 vétérans éclate la mutinerie.
Il lui est demandé de donner congé à tous, d’entreprendre de nouvelles conquêtes tout seul, ou avec son père Amon.
Cette remise en cause de son origine divine le rend fou de rage et Alexandre se précipite sur les mutins avec ses hypaspistes.
Il fait exécuter treize des meneurs et reprend, par un discours habile où il flatte l’orgueil de ses hommes, le contrôle de la situation.
Il se retire ensuite sous sa tente et ne s’adresse plus qu’aux Perses refusant de parler aux Macédoniens.
Ceux-ci supplient alors le roi de leur rendre leur place auprès de lui et promettent de le suivre où il voudra les conduire.

Cette réconciliation théâtrale prouve l’habileté du roi qui conserve son ascendant sur ses troupes tout en atteignant ses objectifs puisque les Asiatiques restent dans l’armée. Mais cette mutinerie éclaire bien la distance qu'il y a entre les projets du roi et les désirs de ses troupes fatiguées.
À Opis les troupes s'aperçoivent qu'Alexandre a bien l'intention « d'établir pour toujours en Asie le centre de son royaume. ». Les nouvelles entreprises du roi apparaissent aux yeux de ses soldats comme de plus en plus personnelles et ils s'en estiment de moins en moins solidaires.
Cette résistance de l'armée à la politique de fusion avec les troupes asiatiques constitue assurément le plus grave échec d'Alexandre.

Plusieurs milliers de vétérans sont libérés et rentrent en Macédoine, commandés par Cratère et Polyperchon. Cratère est chargé de remplacer Antipatros en Macédoine, en conflit permanent avec Olympias, et dont Alexandre semble à ce moment se méfier, tandis qu’Antipatros doit emmener en Asie de nouvelles recrues pour les projets futurs du roi (été 324).
Répondre - il y a 6 ans
Donias tombe d'Alexandre Le Grand
Répondre - il y a 6 ans
Donias tombe d'Alexandre Le Grand
Répondre - il y a 6 ans
Donias La rumeur qui accuse Cassandre et Iolas, les fils d’Antipatros98 est évoquée par les auteurs de la Vulgate d’Alexandre, sans toutefois la cautionner, et contestée par Arrien et Plutarque de Chéronée.

À la suite de désaccords dans la politique à mener en Grèce et aux conflits avec Olympias,
Alexandre compte en effet relever Antipatros de la régence de Macédoine pour le remplacer par le fidèle Cratère. Cependant cette rumeur, fomentée par Olympias, se répand plusieurs années après la mort d’Alexandre, à une époque où les diadoques se déchirent déjà et où la volonté de discréditer les concurrents potentiels est forte.
Cette hypothèse est bien entendu invérifiable de nos jours.

Des études récentes estiment qu’Alexandre est mort du virus du Nil occidental.

Cette saison de fin de printemps dans la région marécageuse que constitue le sud de l’Irak actuel est également propice à cette maladie.

Plutarque et Arrien ont écrit, d’après les Éphémérides royales, le détail des derniers jours du roi entre le 15 et le 28 du mois de Dæsios (27 mai au 10 juin). Selon Plutarque, Alexandre est troublé par la multiplication de signes funestes.
Ainsi, lors de la navigation sur l’Euphrate, un coup de vent emporte le diadème royal tandis qu’à Babylone, un inconnu ose s’asseoir sur le trône d’Alexandre, geste qu’il paye de sa vie. Puis les fêtes dionysiaques (komos) et les soirées de beuveries, dont le roi est coutumier, reprennent.
Ainsi, les 16 et 17 Dæsios, Alexandre passe de banquets en banquets chez Néarque puis chez un hétère thessalien, Médios de Larissa.

Le 18 au matin (30 mai 323), il est pris d’une fièvre qui va durer jusqu’à son décès. Les premiers jours, jusqu’au 22 Dæsios (4 juin 323), il continue à donner des ordres et à surveiller les préparatifs de son expédition mais, à partir du 23, l’aggravation de son état l’en rend incapable.
Le 25 Dæsios, il perd l’usage de la parole et ne peut parler à ses officiers, qu’il reconnaît cependant.
Une terrible fièvre s’empare de lui à partir de la nuit du 25 au 26 Dæsios.
Le 27, les soldats le croyant mort exigent de le voir et défilent devant le roi, sans armes, lequel salue chaque homme d’un mouvement de tête ou d’un clignement des yeux.

Alexandre le Grand meurt le 28 Dæsios au soir, c’est-à-dire le 11 juin 323, à l’âge de 32 ans à Babylone.

Selon l'historien Valerio Massimo Manfredi, ses campagnes militaires l'avaient beaucoup affaibli, si bien qu'au milieu d’un grand festin, après avoir vidé plusieurs fois la grande coupe d'Héraclès remplie de vin pur, il perd connaissance à cause d'une lésion interne grave comme la perforation d'un ulcère gastrique ou une pancréatite aiguë.

Pour Philippe Charlier, la mort d'Alexandre « ressemble à l'aggravation brutale d'un mauvais état de santé qui existait au préalable », et peut vraisemblablement être imputée aux habitudes de vie du conquérant.
Un « jeune homme qui a mal vécu sur le plan physiologique, avec beaucoup de prises de risque » : de nombreuses blessures ; une mauvaise hygiène de vie liée à son importante consommation d'alcool, sa participation fréquente à de grands banquets, à de nombreuses nuits blanches et aux parasitoses et maladies sexuellement transmissibles variées qu'il aurait pu contracter au fil de ses conquêtes à travers l'Asie. Son organisme ainsi particulièrement affaibli a pu le rendre vulnérable même à des maladies habituellement non mortelles.
L'hypothèse évoquant le virus du Nil occidental comme cause de la mort est tout à fait vraisemblable, pour l'anatomo-pathologiste, qui, s'il devait présenter le cas — en 2017, lors d'une réunion hospitalière — indiquerait :
« Homme jeune, 32 ans, déplacé sur le plan géographique, mauvaise hygiène de vie sous-jacente, alcoolisme chronique, polyparasitose ».

Par la suite, ses généraux, les diadoques, se livrent de nombreuses guerres pour le partage de l'empire.
Répondre - il y a 6 ans

Liens

Liens externes

Si vous connaissez un site qui parle d'Alexandre Le Grand et susceptible d'apporter des informations complémentaires à cette page, vous pouvez nous proposer le lien. Après délibération (si nous pensons que le contenu proposé est intéressant), nous afficherons le lien vers cette nouvelle source d'infos et nous vous préviendrons par e-mail quand il sera publié.