0Sportif et sportive francais nés en décembre
Découvrez notre liste de 21 sportif et sportive francais nés en décembre morts et connus comme par exemple : Marcel Cerdan Jr, Roger Piantoni, Patrick Pons, Jean Fournet-Fayard, Chevalier De Saint-George, Michel Bernard, Philippe Redon, Noël Tijou, Étienne Sansonetti, Georges Talbourdet... Ces personnalités peuvent avoir des liens variés dans les domaines de la boxe, du sport, du sport de combat, du football, du sport collectif, du sport motocycliste, du sport motorisé, de l'art, de l'athlétisme, de la course à pied, du cyclisme ou du cyclisme sur route. Ces célébrités peuvent également avoir été boxeur, descendant de célébrité, footballeur, pilote de moto, dirigeant de football, dirigeant sportif, artiste, chef d'orchestre, compositeur, escrimeur, musicien, athlète, entraineur, entraineur de football, coureur à pied ou coureur cycliste.
Boxeur français, fils du célèbre boxeur Marcel Cerdan. 
Footballeur français, attaquant incontournable de l'équipe de France à la fin des années 1950, notamment lors de la Coupe du monde 1958, gaucher et doté d'une puissante frappe de balle, il est considéré comme l'un des meilleurs joueurs français de son époque. Surnommé Bout d'chou, il est classé 6e meilleur buteur du championnat de France avec un total de 203 buts inscrits en Division 1. 
Dirigeant de football, président de la FFF (Fédération française de football) de 1985 à 1993 puis président d'honneur jusqu'à sa mort en 2020. C’est sous son mandat que la France avait obtenu l’organisation de la Coupe du monde 1998, mais aussi le drame de Furiani, en Corse (effondrement de tribunes avec 18 morts et + de 2 300 blessés). 
Athlète français, spécialiste de courses de demi-fond et de fond, 3 fois finaliste olympique en 1960 et 1964, il était membre du GIFA (Groupement des Internationaux Français d'Athlétisme). 
Footballeur français et entraîneur, attaquant à ses débuts, il recule ensuite au milieu de terrain, avant d'entamer une carrière d'entraîneur à la fin des années 1980. Ancien joueur de Rennes, du PSG, de Metz, de Bordeaux ou du Stade lavallois. En 3 saisons, 94 matchs de première division et 11 buts. 
Athlète français, coureur de fond, il détiendra longtemps le record du nombre de titres nationaux remportés en cross-country, participe également aux Jeux olympiques de 1972 sur 10 000 mètres. Il était le meilleur spécialiste français sur 10 000 m et en cross de la première moitié des années 1970. 
Footballeur français évoluant au poste d'attaquant, figure du football corse, il fut meilleur buteur du Championnat de France en 1968 avec 26 buts (AC Ajaccio) et meilleur buteur du Championnat de France de L2 en 1967 avec 23 buts (Bastia). 
Boxeur français, 8 fois champion de France (il défend son titre à 11 reprises), a disputé 88 combats en professionnel en catégorie poids moyens contre les plus grands boxeurs de cette génération : Sandro Mazzinghi, Nino Benvenuti, Rubin "Hurricane" Carter, Gratien Tonna, Jean-Claude Bouttier, ainsi que Sugar Ray Robinson contre lequel il fit 2 fois match nul. Il décroche le titre national des super-welters en 1969 et des moyens en 1971. 
Athlète français spécialiste de la course de fond, médaille d'argent aux Jeux olympiques d'été de 1912 sur 5 000 mètres, il a gagné 3 fois de suite le Cross des nations, considéré alors comme le championnat du monde de la discipline. Il a également été le détenteur de 7 records du monde sur différentes distances et durées. De nombreuses enceintes sportives portent son nom en France. 
Rameur français, barreur, double médaillé de bronze à Berlin en 1936 à l'âge de 12 ans, il est l'un des plus jeunes médaillés olympiques de l'histoire (devancé seulement par Dimitrios Loundras âgé de 10 ans aux JO de 1896 aux barres parallèles). 
Acteur français, connu pour ses rôles dans les films « Et Dieu… créa la femme » (1956, drame, avec Brigitte Bardot), « Un homme et une femme » (1966, romance, de Claude Lelouch), « Le Conformiste » (1970, drame politique), « Z » (1969, policier, avec Yves Montand), « Ma nuit chez Maud » (1969, comédie dramatique, d'Éric Rohmer) ou « Amour » (2012, drame, de Michael Haneke), il a collaboré avec de nombreux réalisateurs internationaux dont Costa-Gavras, Claude Lelouch, Éric Rohmer, Michael Haneke, Claude Chabrol, Bernardo Bertolucci, Dino Risi, Ettore Scola, François Truffaut, Bertrand Blier, Sergio Corbucci, Robert Hossein, Alain Robbe-Grillet, Enki Bilal, Jacques Audiard, Krzystof Kieslowski ou René Clément. Il reçoit un Ours d'argent du meilleur acteur au Festival de Berlin pour « L'Homme qui ment » en 1968 et un prix d'interprétation masculine au Festival de Cannes 1969 pour « Z ». Il reçoit en 2013 le César du meilleur acteur pour « Amour ». Neveu des pilotes automobiles Louis et Maurice Trintignant, il est — avec la réalisatrice Nadine Trintignant qui fut son épouse de 1960 à 1976 — le père de l'actrice Marie Trintignant et de l'assistant-réalisateur Vincent Trintignant. 
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