0Homme politique et femme politique francais nés en 1942
Découvrez notre liste de 8 homme politique et femme politique francais nés en 1942 morts et connus comme par exemple : Michel Houel, Paul Quilès, Christian Frémont, François Léotard, Pierre Bourguignon, Jean-François Bazin, Alain Devaquet, Hubert Haenel... Ces personnalités peuvent avoir des liens variés dans les domaines de la politique, de la politique de droite, du parti socialiste, de la politique de gauche, de la fraude, de la justice, du parti communiste français, de l'art, de la littérature ou de l'ump. Ces célébrités peuvent également avoir été homme d'état, maire, sénateur, député, ministre, ministre de l'intérieur, ministre de la défense, socialiste, préfet, conseiller général, fraudeur, hors-la-loi, ministre de la culture, président d'un parti politique, conseiller régional, artiste, descendant de célébrité, écrivain, journaliste, romancier ou ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche.
Homme politique francais (Politique, Politique de droite). 
Politicien français, membre du Parti socialiste (PS), figure du mitterrandisme, député de Paris puis du Tarn, maire de Cordes-sur-Ciel, ainsi que ministre dans plusieurs gouvernements de gauche dans les années 1980-1990. 
Politicien français, ministre de la Culture et de la Communication (de 1986 à 1988), ministre de la Défense (de 1993 à 1995), président du Parti républicain, puis de l'UDF (de 1996 à 1998) et coupable et condamné par la Cour de justice de la République pour complicité d’abus de biens sociaux. 
Politicien français, figure du Parti Socialiste, il fut maire de Sotteville de 1989 à 2014. Franc-maçon, il a présidé la Fraternelle parlementaire de 2005 à 2008 qui regroupe les frères franc-maçons élus ou fonctionnaires du Parlement. 
Politicien et écrivain français, il laisse l’empreinte du plus ardent défenseur de la richesse patrimoniale et culturelle bourguignonne. 
Politicien français, ancien ministre délégué à la Recherche et à l'Enseignement supérieur du gouvernement Chirac, il fut le père d'une réforme de l'université avortée en 1986 après un large mouvement de contestation et la mort d'un étudiant, Malik Oussekine. Il avait alors dû démissionner de son poste de ministre. 
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