0Homme politique allemand nés au 20ème siècle
Découvrez notre liste de 19 homme politique allemand nés au 20ème siècle morts et connus comme par exemple : Josef Mengele, Adolf Eichmann, Michael Wittmann, Willy Brandt, Ernst Zundel, Oskar Gröning, Helmut Schmidt, Philipp Jenninger, Reinhold Hanning, Roman Herzog... Ces personnalités (de sexe masculin) peuvent avoir des liens variés dans les domaines de l'histoire, de la médecine, de la science, du crime, du crime de guerre, de la guerre, de la justice, de l'extrême droite, de la politique, de l'homicide, de l'homicide volontaire, du meurtre ou de l'assassinat. Ces célébrités peuvent également avoir été assassin, criminel, hors-la-loi, médecin, meurtrier, nazi, scientifique, accusé d'assassinat, accusé de crime, accusé de meurtre, criminel contre l'humanité, criminel de guerre, fonctionnaire, haut fonctionnaire, commandant, militaire, chancelier, homme d'état, éditeur, éditeur de presse, homme d'affaire, négationniste, complice de crime, ministre, ambassadeur, diplomate, complice de crime contre l'humanité ou président.
Nazi allemand, médecin actif notamment au camp de concentration d'Auschwitz, où il a participé à la sélection des envois vers les chambres à gaz et s'est livré sur de nombreux prisonniers à des expériences à prétention scientifique constituant des violations graves des droits de l'homme (tortures, sévices corporels entraînant souvent la mort). Après la guerre, il ne fut jamais capturé et vécut 35 ans en Amérique latine sous divers pseudonymes. 
Criminel de guerre nazi, responsable de la logistique de la « solution finale », il organise l'identification des victimes de l'extermination raciale principalement dirigée contre les Juifs prônée par le NSDAP et leur déportation vers les camps de concentration et d'extermination. 
Militaire allemand, chef de char nazi de la Seconde Guerre mondiale, connu pour avoir été l'un des plus redoutables chefs de chars de la Seconde Guerre mondiale, avec plus de 130 destructions de chars et 130 destructions de canons. 
Éditeur néonazi allemand exilé pendant presque 50 ans au Canada, connu pour avoir publié des écrits antisémites et négationnistes pendant plusieurs décennies, dont « Le Hitler que nous aimions et pourquoi ». 
Comptable allemand du camp de concentration et d'extermination d'Auschwitz, il fut condamné à 4 ans de prison pour « complicité » dans le meurtre de 300 000 Juifs. 
Politicien allemand, ambassadeur de l'Allemagne en Autriche, puis au Vatican, cet ancien président du Bundestag (la chambre des députés allemands) avait été poussé à la démission en 1988 après un discours controversé sur le passé nazi de l'Allemagne. 
Gardien SS au camp de concentration d'Auschwitz connu pour avoir été complice dans la mort de 170 000 personnes sans avoir passé un seul jour en prison. 
Président allemand de 1994 à 1999 ayant donné une coloration politique à sa fonction dont la charge est traditionnellement honorifique. 
Politicien allemand, chef du gouvernement allemand pendant 16 ans, connu pour avoir été le chancelier de la réunification allemande en 1990 et pour avoir accéléré la chute du régime communiste (dont la chute du Mur de Berlin en 1989). Il participe à la construction européenne en tentant de mettre en place son grand projet des États-Unis d’Europe, contribue à l'instauration de l’Acte unique puis du traité de Maastricht, et est l'un des pères de l’euro (qu’il parviendra à imposer à une population allemande alors profondément attachée au mark). Proche de François Mitterrand, il favorise l'entente franco-allemande, comme lors du 22 septembre 1984, où il apparaît main dans la main avec le président français à l'ossuaire de Douaumont. 
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