0Écrivaine mortes en mai
Découvrez notre liste de 15 écrivaine (toutes nationalités confondues) mortes en mai connues comme par exemple : Marie-Madeleine de La Fayette, Barbara Cartland, Julie De Lespinasse, Maya Angelou, Jacqueline Harpman, Emmanuèle Bernheim, Miss.Tic, Leonora Carrington, Judith Kerr, Dominique Rolin... Ces personnalités (de sexe féminin) peuvent avoir des liens variés dans les domaines de l'art, de la littérature, du cinéma, du théâtre, de l'art plastique, du dessin, du graffiti ou de la peinture. Ces célébrités peuvent également avoir été artiste, nouvelliste, romancière, actrice, poétesse, essayiste, scénariste, dessinatrice, graffeuse, peintre, plasticienne ou auteure de livre pour enfants. En ce qui concerne leurs nationalités au moment de leurs morts, ils peuvent avoir été française, anglaise, américaine ou belge par exemple.
Femme de lettres connue pour avoir écrit "La Princesse de Montpensier" (nouvelle, 1662), Zaïde (roman, 1671) et La Princesse de Clèves (roman, 1678). 
1928 - 2014
Américaine, 86 ans
Romancière française connue pour avoir reçu le Prix Médicis en 1993 et avoir créé une oeuvre sensible de 6 livres seulement mais qui su imposer une voix, un style précis, une lucidité sur les rapports entre les hommes et les femmes, avec les obsessions qui, trop souvent, parasitent les histoires d'amour. 
Romancière britannique, auteure du « Tigre qui s’invita pour le thé » (1968), pour raconter à ses propres enfants ce que fut son enfance d’exil pour fuir le nazisme. 
Écrivaine et universitaire roumaine, militante des droits de l'homme, figure de la résistance roumaine au communisme et l’une des rares dissidents à s’être élevés contre la dictature de Nicolae Ceausescu. 
Anarchiste russe connue pour son activisme politique, ses écrits et ses discours radicaux libertaires et féministes. Elle a joué un rôle majeur dans le développement de la philosophie anarchiste en Amérique du Nord et en Europe dans la première moitié du XXe siècle. Elle fut une écrivaine et conférencière renommée, captivant des milliers de personnes sur la philosophie anarchiste, les droits des femmes ou les luttes sociales. Avec son amant, Alexander Berkman, elle organise, en 1892, une tentative d'assassinat de l'industriel Henry Frick, conçu comme un acte de propagande par le fait et sera condamné à 22 ans de réclusion. Pour certains, Emma Goldman est une « femme rebelle », libertaire et libre penseuse. Pour ses détracteurs, c'est une avocate de l'assassinat politique et de la révolution violente. Ses écrits et ses conférences touchent des domaines aussi divers que la prison, l'athéisme, la liberté d'expression, le militantisme, le mariage ou l’homosexualité. Bien qu'elle ne partage pas la revendication de la première vague du féminisme en faveur du droit de vote des femmes, elle développe une nouvelle réflexion intégrant davantage les femmes et la sexualité dans la philosophie anarchiste. 
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