0Algérien et algérienne mortes en 2019
Découvrez notre liste de 6 algérien et algérienne (toutes catégories confondues) mortes en 2019 connus comme par exemple : Abbassi Madani, Cheb Azzedine, Houari Manar, Ahmed Gaïd Salah, Aziz Chouaki, Mourad Medelci... Ces personnalités peuvent avoir des liens variés dans les domaines de la politique, de la religion, de l'art, de la musique, du raï, de la littérature ou du théâtre. Ces célébrités peuvent également avoir été homme politique, président d'un parti politique, artiste, chanteur, chanteur de raï, musicien, chef d'état major, général, militaire, dramaturge, écrivain, poète, romancier, homme d'état, membre du conseil constitutionnel, ministre, ministre des affaires étrangères ou ministre des finances.
Politicien algérien, cofondateur et le président du FSI (Front Islamique du Salut) en Algérie, dissout en mars 1992 par le tribunal administratif d'Alger. 
Chanteur algérien de raï, grandes figures du raï des années 2000, avec des titres très connus comme « wech djabek liya kheira », ou encore « ach dani lel ghorba », il était connu pour dénoncer la « hogra » des autorités dans ses chansons, et cela lui avait d’ailleurs valu une période d’emprisonnement. 
Chanteur algérien, chanteur de raï très populaire et icône gay de la scène algérienne. 
Militaire algérien, chef d'État-Major au sein de l'Armée nationale populaire et vice-ministre de la Défense nationale, devenu la bête noire des manifestants en 2019 à la suite de manifestations de masse contre le régime, il pousse à la démission le président Abdelaziz Bouteflika, dont il était un proche et est à son tour appelé à quitter le pouvoir quelques jours après l'investiture du nouveau président Abdelmadjid Tebboune. Il était le dernier haut responsable à avoir participé à la guerre d’indépendance de l’Algérie. 
Romancier algérien francophone, poète et dramaturge natif de Kabylie, il était exilé en France depuis 1991. 
Politicien algérien, ministre des Finances à 2 reprises entre 2001 et 2007, ministre des Affaires étrangères de 2007 à 2013, il préside le Conseil constitutionnel de 2013 à 2019, poste clé pour la présidentielle. Proche du chef de l’Etat, Mourad Medelci avait validé, en 2014, la candidature d’Abdelaziz Bouteflika à un quatrième mandat. 
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