Artiste, Peintre, Sculptrice (Art, Peinture, Sculpture).
Ukrainienne, née le 11 novembre 1858 et morte le 31 octobre 1884
Enterrée (où exactement ?).
Marija Konstantinovna Bashkirtseva, est née au sein d'une famille de la noblesse inférieure de province, le 24 novembre 1858 (*), à Gavronzi, une ville rurale de Poltava, dans une Ukraine qui, pendant beaucoup de temps, a été la plus européenne des Russes. Ses parents séparés, son enfance se déroule chez sa mère, dans la province de Kharkov. À 12 ans et après avoir passé quelques séjours à Vienne, Baden et Génève, elle s'installe avec la famille transhumante (grand-père Babanine, maman Marie, tante Nadine, oncle Georges, son frère cadet Paul, sa cousine Dina et même un vieil ami médecin), dans une villa qu'ils acquièrent à Nice. C'est là-bas, dans la Riviera française et sous les Alpes Méditerranéens, qu'elle fait ses premiers pas dans la littérature française. À 14 ans, elle commence à rédiger un Journal qui, sans pudeurs, dévoilera sa psychologie particulière.
Elle-même écrit plus tard: "Si je ne vis pas suffisamment pour être célèbre, ce journal intéressa aux naturalistes; la vie d'une femme est toujours curieuse, jour pour jour, sans affectation, comme si personne au monde ne devrait jamais la lire et, en même temps, avec l'intention d'être lue; on me trouvera sympathique, j'en suis sûre et je dis tout. Sinon, à quoi bon écrire? D'ailleurs, vous verez bien que je dis tout..."
Elle se plonge, de son plein gré, dans des études d'anglais, allemand, italien, grec et latin (elle parlait dès son enfance le russe et le français) et, en même temps, elle se consacre méthodiquement à la musique. Elle joue du piano, de la harpe et apprend le chant. Lorsqu'elle frise l'adolescence, elle s'intéresse au monde de l'opéra et essaie quelques auditoires. En fait, elle vise à franchir le petit cercle de la colonnie russe en France. Le grande monde attire son attention d'une manière irrésistible mais, en tant que fille de parents étrangers et séparés, ses lumières lui échappent. "Mon Dieu! Quelle voix merveilleuse était la mienne! Elle était puissante, dramatique, dominante, elle donnait le frisson. Et maintenant rien, même pas pour parler!". Quand une laryngite tuera définitivement sa voix de mezzo-soprano et achevera ces projets, la peinture remplacera le chant dans ses horizons.
(*) En ce temps-là, le calendrier russe retardait de 12 jours. En Russie, elle était née le 12 novembre 1858.
À 19 ans, elle incite sa famille à vendre la villa de Nice pour déménager à Paris, avec l'intention de commencer ses études de Beaux-Arts. C'est aussi, à cause d'une tuberculose déjà irréversible, l'époque des premiers pèlerinages vers les balnéaires curatifs: "si on savait ce qu'il y a là-bas! Mais on ne sait pas...Du reste, c'est cette curiosité qui me rendra la mort moins affreuse".
Son goût pour la peinture se consolide jusqu'à sa mort précoce, dans l'Académie du maître Rodolphe Julian, sous la supervision de celui-ci et celle des peintres Tony Robert- Fleury, Gustave Boulanger et Jules-Joseph Lefebvre: "Quant à moi, même si je suis heureuse d'être prise dans cet engrenage...j'ai pensé tout le temps à un pastel que j'ai peint ce matin, et qui m'a laissé insatisfaite". La preuve en est l'admiration -et la jalousie douleureuse- qu'elle ne cachera pas face à sa condisciple Louise Catherine Breslau, avec qui elle mesurera son talent aux Salons Annales de Paris. Breslau lui survivra de plus de quarante ans et pourra consolider sa propre carrière de peintre.
Jules Bastien-Lepage, consacré à la campagne française, est l'artiste qui, en peignant en plein air est considéré, d'une certaine manière, comme le leader du mouvement naturaliste. En percevant l'enchantement serein de la nature, Marie s'inscrira dans le chemin de ce peintre, qui sera non seulement son dernier amour mais aussi son grand inspirateur. Cependant, un certain matin, tout en marchant par les quartiers cachés de Paris, elle découvre de nouveaux personnages, dynamiques, impressionants; ce sont les êtres humbles des faubourgs; les travailleurs qui mettent en mouvement le Paris de la Révolution Industrielle; les enfants haillonneaux, au regard vif et gestes picaresques; enfin, les pauvres que sa sensibilité ne lui permet pas d'ignorer. "Je ne dis rien des champs car Bastien-Lepage y règne en tant que souverain; mais, par contre, la rue n'a pas encore eu son...Bastien".
Elle ne fait jamais une halte, même pas face à la pleurésie; même si un refroidissement peut l'anihiler, elle traverse, avec une intrépidité presque suicidaire, les rues parisiennes dans les matins humides et gelés, en esquissant des images au fusain, qui, plus tard, donneront vie à ses toiles et cartons. "À quoi bon pleurer? les larmes ne feront rien de bon. Être malheureuse c'est mon destin; et, en plus, être une artiste célèbre".
À sa mort, ses oeuvres sont exposées: une centaine d'huiles et pastels, dont la plupart sont des portraits d' un style presque photographique. L'État Français acquiert deux travaux pour le Musée Luxembourg, "Le meeting" et "Une Parisienne"; le musée d'Amsterdam, le portrait d'Alexandrine, la femme de son frère Paul Bashkirtsetff. Son atelier témoigne, en outre, ses incursions dans les chemins de la sculpture pendant ses dernières années.
L'Académie privée Julian, qui existe encore, c'était le seul endroit où une femme pouvait recevoir une instruction artistique d'excellence comparable à celle des Écoles de Beaux Arts qui n'ont admis la présence féminine qu'à partir 1897. Pendant l'année 2000, le musée Dahesh de Manhattan a organisé une exposition itinérante par différents musées des États Unis, justement par rapport à ce sujet. Son nom a été: "Surmontant tous les obstacles: les femmes de l'Académie Julian", avec d'oeuvres de Marie Bashkirtseff et ses condisciples.
Même si un grand nombre de tableaux de Marie Bashkirtseff a été détruit pendant la deuxième Guerre Mondiale, plus de 60 oeuvres sont exposées dans les principaux musées de l'Europe. Notre page "Gallery Virtuelle" est un dossier qui comprend des images et des renseignements sur chacune de ces oeuvres.
À 19 ans, elle commence l'apprentissage à l'Académie Julian, tout en surprenant ses professeurs par ses aptitudes innées. Elle n'a que 7 ans pour se consacrer aux travaux artistiques; au bout de ce temps, elle commence à jouir de quelques succès aux Salons Annales de Paris. Ses études sont constamment interrompus par la maladie et les voyages curatifs. Où serait-elle arrivée si la mort n'avait pas tronqué son chemin?
Son esprit ne tombe pas face à la mort: ses forces exhaustes, elle ne se permet pas de tomber au lit jusqu'aux derniers jours. Une seule fois elle cède à l'angoisse et pleure sur le giron maternel. Plus tard, elle aura honte de sa faiblesse. Au fur et à mesure que les fièvres l'affligent, elle s'investie dans le travail avec plus de passion: elle ignore les brûlures du dos et cache, sous un bouquet de fleurs, la trace jaune des ampoules qui lui ont déchiré la poitrine.
Encore impuissante, la médecine, à cette époque, commençait cependant à préparer ses armes pour combattre le mal, tel que le Dr. Moorman Lewis le décrit dans son oeuvre "Tuberculose chez les grands génies" (voir).
Condamnée par la maladie, elle a continué à peindre et à écrire jusqu'aux derniers jours, en nous laissant avec son oeuvre monumentale, une leçon inoubliable de volonté et intégrité. Chez elle, elle n'a jamais permis de parler de la maladie; seule sa bonne Rosalie, connaissait ses tortures quotidiennes. "Je meurs, c'est logique, mais horrible. Il y a tant de choses intéressantes dans la vie!"
La phtisie, qui affecte d'abord sa voix et, plus tard, son oreille, attaque finalement les poumons et lui soumet à des martyres interminables; auxquels s'ajoutent les tortures de la médecine de l'époque; même si ..."quand on arrive à un certain point, l'âme se lève par-dessus tout; elle juge insignifiantes les souffrances prévues, et continue à la recherche de son destin, le front haut, de même que les martyres de l'antiquité".
Exagérément narcissique, elle est si fière de sa propre beauté qu'elle regrette de ne pas se faire sculpter. Cependant, dans ses cahiers, elle donne lieu à d'autres projets: "Il y a de moments où l'on renoncerait à tous les plaisirs intellectuels du monde, à la gloire et à l'art proprement dit, pour vivre une vie de soleil, de musique et d'amour en Italie".
Quoique ses émotions restent généralement reléguées face à la passion irrésistible de ses inquiétudes artistiques, elle pleure déjà à 14 ans sur le duc de Hamilton, et dès lors, elle soupire pour un amour définitif. Bien sûr, désirante toujours de grandeur, aimer lui suppose une dévotion presque religieuse... et il lui faudra trouver un Dieu: elle s'écrit avec Maupassant (1850-1893), mais le destin de ces deux contemporains sera de ne pas se connaître. "Il y a une chose vraiment merveilleuse: la disparition absolue de la femme face à la supériorité de l'homme aimé; c'est, peut-être, le plus grand plaisir d'amour qu'une femme supérieure puisse éprouver...".
Ainsi, les flirts seront toujours furtifs et éphémères: d'abord, le Comte Pietro Antonelli, neveu du cardinal le plus puissant, à Rome; puis, le Comte de Larderel, à Florence.
Paul de Cassagnac lui éveille la passion la plus ardente. Mais, ignorée par ce fougueux Bonapartiste, la blessure prend beaucoup de temps à cicatriser. Peut-être par dépit, elle imagine un mariage avec Leon Gambetta, un célèbre républicain de l'époque et, en même temps, elle se consacre, avec plus de véhémence, à la recherche du succès artistique.
En 1884, à trente-cinq ans, le jeune maître et ami Jules Bastien-Lepage (1848-1884), revient de l'Algérie presque mourant, à cause d'un cancer de l'estomac. Marie Bashkirtseff agonise aussi; ce sont ses derniers mois mais, quand même, elle traverse Paris maintes et maintes fois pour le soulager de sa présence. Même si elle a aussi besoin d'être consolée, elle se montre heureuse de brûler dans cet idylle les jours qui lui restent.
Deux semaines avant de mourir, elle soupire pour tout ce qu'elle aime et qu' elle est prête à abandonner. "Il m'est impossible de sortir mais, le pauvre Bastien-Lepage le fait; il s'est fait ammener jusqu'ici, il s'installe dans un fauteuil avec les jambes tendues sur les coussins. Moi, je suis très proche, dans un autre fauteuil, et comme ça, jusqu'à six heures. Je suis habillée en dentelle et velours blanc, mais en différentes tonalités de blanc; les pupilles de Bastien se dilattent de plaisir.- "Oh, puisse-je peindre!.-, dit-il...Et moi aussi!"
Marie Bashkirtseff meurt le 31 octobre 1884, quelques jours avant d'avoir 26 ans. Jules Bastien-Lepage, cet ami au crépuscule, lui survivra, à peine, de cinq semaines...
Dans les dernières étapes, en passant en revue ses écrits, elle joue sa dernière carte. Elle ne peut plus chanter et la peinture lui demande un dévouement sur lequel elle ne peut plus compter. Quelques mois avant de mourir, elle préface son Journal. "À quoi bon mentir ou poser? C'est évident que j'ai le désir sinon l'espoir de rester sur cette terre par quelque moyen que ce soit. Si je ne meurs pas jeune, j'espère rester une grande artiste, mais si je meurs jeune, je vais permettre de publier mon Journal qui ne peut être moins qu'intéressant".
Vivante, elle écrit à Edmond Goncourt, en lui offrant ses cahiers pour qu'il les édite, mais celui-là, déjà sexagénaire, ne lui fait pas attention. Curieusement, Goncourt et son frère Jules, eux aussi se sont consacrés à la rédaction d'un journal qui, imprimé en 1958, a compris vintg-deux tomes. De même, elle tente, infructueusement, de le faire avec Guy de Maupassant dont la correspondance (voir le site de Thierry Selva) est encore conservée, et avec Alexandre Dumas fils. Après la mort de Marie, sa mère confie la montagne de ses manuscrits (cent-six cahiers avec presque vingt mille pages) à André Thérieut, dramaturgue et poète. Mais, malheureusement, celui-ci supprime de très longs passages, assez crus pour l'époque ou excessivement longs pour une édition. Ce n'est que quelques années plus tard que, sous la supervision de l'éditeur Pierre Borel, on publie quelques textes réduits, en ajoutant six volumes de plus aux deux initiales. D'autre part, on a édité ses "Lettres", une oeuvre épistolaire.
Le manuscrit complet du Journal a été trouvé en 1964 à la Bibliothèque Nationale de France, où sa mère l'avait déposé il y a quatre-vingt années. C'est alors qu'on découvre jusqu'à quel point les éditions ont été édulcorées et faussées pour les rendre un produit digérable et consommable par la société de ces jours-là. Le professeur Colette Cosnier publie en 1985 l'oeuvre "Marie Bashkirtseff, un portrait sans retouches", une magnifique biographie illustrée dont le préface donne une idée exacte de cette réalité (voir).
Cependant, en France, le Cercle des Amis de Marie Bashkirseff*, s'est consacré à la première édition intégrale de l'oeuvre, un travail monumental de compilation dirigé par Ginette Apostolescu. De 1991 à 2001, ont été publiés neuf tomes du Journal, à raison d'un ou deux volumes par an, à un total de plus de trois mille pages imprimées qui commencent avec les notes du 11 janvier 1873 (quand elle avait 14 ans). Le dernier, de trois cent soixante-dix pages, correspond à la période du 17 août au 12 décembre 1876, c'est-à-dire, jusqu'à l'âge de dix-huit ans. Il reste encore huit ans.
D'autre part, on a imprimé, sous la direction de Lucile Le Roy, le premier tome (qui a mille pages) d'une Édition Intégrale du Journal **, aussi en français, avec des notes qui vont de 1877 à 1879. Cette oeuvre commence quatre ans plus tard que la précédente et il reste à publier encore le cinq derniers.
En 1997, a été édité en anglais, le premier tome d'une nouvelle édition du Journal ***(avec 464 pages) sous la direction de Phyllis et Katherine Kernberger et, actuellement, on est en train de traduire la seconde partie.
Ainsi, plus d'un siècle après, le travail patient des éditeurs nous révèle l'image définitive d'un esprit qui est passé par le monde, consacré à travailler sa postérité, presque en exclusive pour nous. Grâce à quelques fils de symphatie qui se sont étendus à travers les époques, ces travaux nous permettent d'accéder à l'intime évolution des inquiétudes artistiques, aux sentiments et, parallèlement, à la bataille sans concessions que cette jeune fille livre contre la maladie. Se sachant si particulière, elle trouve normal de tenir un livre de bord où témoigner, peu à peu, son voyage à la célébrité.
Parallèlement, dans les dernières années, un important mouvement de revalorisation de la figure de Marie Bashkirtseff, notamment au moyen du théâtre, s'est manifesté à Paris et dans d'autres villes européennes. Sur ce sujet, on peut consulter le site du Cercle des amis de Marie Bashkirtseff (Marie et le théâtre) ou le « Site Marie Bashkirtseff » (Théâtre inspiré par Marie). Dans notre section « Témoignages » l'actrice française Elsa Saladin raconte une de ces expériences.
C'est curieux de nous enfoncer dans le passé: on parcourt ces paragraphes déjà centenaires et on soupçonne qu'à travers les différentes époques, l'esprit de ce qui s'est passé continue à survivre parmi nous; elle même, qui a laissé sans conclure une histoire des Césars et une histoire de femmes illustres, avait éprouvé la mystérieuse séduction du passé. Ce qui est vraie c'est que, en lisant ses pages, il nous semble parfois découvrir des traces de paysages quelque fois perçus..."la mer était extraordinairement belle cette nuit: avant d'aller écouter la Patti, je suis allée écouter la musique des vagues. Il avait plu et l'air était délicieusement frais et agréable. Quel soulagement pour les yeux de les laisser reposer sur le bleu profond des ciels et de la mer, pendant la nuit!". En fixant notre regard, soit sur le noir diaphane de la nuit, soit sur le velours de ses yeux gris, nous marchons sur les carreaux mouillés d'un quai pendant que le timbre évanescent de sa voix nous révèle avec véhémence que..."l'art même, parmi les êtres les plus humbles, lève l'âme et fait qu'on ait un peu plus que ceux qui n'appartiennent pas à la sublime confrérie".
Et c'est que, finalement, des siècles ne sont que battements dans la mécanique de l'univers: les modes passent, la science et la civilisation évoluent; on laisse en arrière des manières de vivre et de société, des styles et des habitudes, mais ce n'est qu'un changement de peau. L'esprit de l'homme avance, depuis Altamira jusqu'à nos jours, toujours acéré et lumineux, à travers les faits qui ont marqué son trajectoire. Et c'est ainsi, quintessenciée dans le temps, que cette jeune aux yeux clairs et cheveux d'or arrive à nous, déjà condamnée par la maladie et que, dans quelque point de l'éternité, écrivait: "Je suis à un âge où l'on trouve de l'ivresse à mourir. Il me semble que personne n'aime tellement que moi les arts, la musique, la peinture, les livres, la société, les vêtements, le luxe, le bruit, le calme, la tristesse, la mélancolie, la tromperie, l'amour, le soleil; toutes les saisons, tous les climats, les plaines tranquilles de Russie et les montagnes qui entourent Naples; la neige en hiver, les pluies en automne, le printemps et ses follies, les jours calmes de l'été et les belles nuits étoilées...j'admire et j'aime tout. Tout se présente, pour moi, sous des aspects intéressants ou sublimes; je voudrais voir tout, comprendre tout, me fondre avec tout et mourir; et vue que c'est nécessaire, mourir dans deux ou trente-ans, mourir dans l'extase pour éprouver ce dernier mystère, cette fin de tout...ou ce divin commencement".
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