Jeanne d'Arc, une adolescente qui mène une armée au XVIeme siècle
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Frieda31
a posté cette publication Merci !
Beaucoup ont été de braves soldats, Duguesclin aussi avait fait la guerre contre les anglois, mais Jehanne, ma chère Jehannette, avait été une adolescente et une adolescente qui mène une armée au XVIeme siècle, ça sort VRAIMENT de l'ordinaire. Voilà pourquoi j'ai tant d'admiration pour cette jeune femme. Autre chose, lorsque je lui ai envoyé une lettre lundi 5 mai dernier, pourquoi la photo ne s'est-elle pas affichée, ni le texte parce que sur les deux textes existant, il n'en est sorti qu'un.
Merci infiniment de votre réponse.
Cordialement, Joelle Gard.
il y a 10 ans
5/5 : Le Paradis (la meilleure place) !!
4/5 : Le Paradis !
3/5 : Presque le Paradis...
2/5 : Presque l'Enfer...
1/5 : L'Enfer !
0/5 : L'Enfer (la pire place) !!
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Frieda31 Mais par contre, une fois, pourtant c'est vrai que le surnaturel existe, en effet, une fois en été 2008, j'étais tranquillement chez moi en train de manger, soudain, des volutes de fumée jaunes me tirent dans un tunnel.
Je me vois à Orléans le 7 mai 1429. Je me retrouve avec 5 autres improvisés urgentistes en médecine de guerre médiévale. Jeanne d'Arc, blessée d'une flèche au bras avait été évacuée du champ de bataille par Xantraille et Dunois et débarrassée de son armure par frère Pasquerel. J'ai allongé la jeune fille blessée sur le dos, découpé son gambison et lavé son torse sanguinolent au savon de Marseille. Puis, je l'ai anesthésiée par inhalation d'éther avec un tampon de gaze.
Une fois endormie, j'ai posé une canule de guedel pour éviter que sa langue tombe en arrière et l'étouffe. Thérèse surveillait son pouls. Puis, je l'ai mise en continu sous insufflateur d'oxygène. Laure a incisé la plaie à l'aide d'un cutter désinfecté et a extrait le trait. La pointe étant restée fichée, il a fallu passer une baguette filetée pour l'extraire. Puis, Cricri a injecté de la Bétadine pour éviter tout risque d'infection et a suturé la plaie.
Puis, Didier a confectionné un bandage de l'épaule blessée. Puis, ensuite, nous avons installée Jehannette sur une civière en prenant soin de la manipule sans à-coups pour ensuite la charger sur une charrette tirée par un cheval pour la transporter chez ses hôtes et l'étendre sur une couche.
Puis, elle s'est réveillée et je l'ai décanulée. Et ensuite, je me suis revenue chez moi, en... 2008.
C'est pourtant VRAI !! même si ça semble incroyable !
Frieda31 Je le sais : en 1429, je suis d'ailleurs sa tendre et chère épouse comme elle est ma tendre et chère épouse depuis la loi sur le mariage pour tous. Bon après-midi, Simon.
Je me vois à Orléans le 7 mai 1429. Je me retrouve avec 5 autres improvisés urgentistes en médecine de guerre médiévale. Jeanne d'Arc, blessée d'une flèche au bras avait été évacuée du champ de bataille par Xantraille et Dunois et débarrassée de son armure par frère Pasquerel. J'ai allongé la jeune fille blessée sur le dos, découpé son gambison et lavé son torse sanguinolent au savon de Marseille. Puis, je l'ai anesthésiée par inhalation d'éther avec un tampon de gaze.
Une fois endormie, j'ai posé une canule de guedel pour éviter que sa langue tombe en arrière et l'étouffe. Thérèse surveillait son pouls. Puis, je l'ai mise en continu sous insufflateur d'oxygène. Laure a incisé la plaie à l'aide d'un cutter désinfecté et a extrait le trait. La pointe étant restée fichée, il a fallu passer une baguette filetée pour l'extraire. Puis, Cricri a injecté de la Bétadine pour éviter tout risque d'infection et a suturé la plaie.
Puis, Didier a confectionné un bandage de l'épaule blessée. Puis, ensuite, nous avons installée Jehannette sur une civière en prenant soin de la manipule sans à-coups pour ensuite la charger sur une charrette tirée par un cheval pour la transporter chez ses hôtes et l'étendre sur une couche.
Puis, elle s'est réveillée et je l'ai décanulée. Et ensuite, je me suis revenue chez moi, en... 2008.
C'est pourtant VRAI !! même si ça semble incroyable !