Sosthene Qu'est devenu cette fameuse lettre de Jacques-Yves Cousteau sur le Gabon ? Est-elle devenue une illusion ou le fruit d'une imagination en mal de sensation ? Ou ce sont les entités mêmes qui empêchent la diffusion des révélations sur leur monde ?
Mais une rapide petite analyse nous fait penser que les pauvres entités n'en était pour rien du fait qu' elles avaient tous les moyens imaginaires d'empêcher quelque diffusion. Elles se serraient arranger pour qu'il n'y ait pas rédaction en amont.
Et puis, nous ne les voyons pas . De qui auraient-elles peur ou honte? Ce sont elles qui nous gèrent. Alors, me semble-t-il, les vrais raisons sont ailleurs.
Mnryx Je viens de lire le résumé qui a été fait par la loupe[revue de presse gabonaise] a propos du courrier de JACQUES YVES COUSTEAU adressée au PAPE JEAN PAUL II. une histoire de dingue :
Kardinal Sachez une choses nous avons une culture propre et nos valeur spirituel, ya un commentaire un peut plus haut qui dit ". Réappropriez vous vos cultures et vous verrez que Cousteau n'a fait que confirmer ce qui devra tôt ou tard arriver" il a raison, nous avons une puissances dont nous ne mesurons même pas la grandeur et l'échelle, , j'ai lu dans une revue de presse qu'il ya au bord de mer de Libreville qu'on connais tous beaucoup choses magnifique ce passe la bas et ya tjrs un chiffre qui est revenus 3fois c'est le chiffre 9 : les 9 provinces du Gabon, les 9 routes de ndendé et les 9... que je ne peut cité et sa ces vraiment lourd, et même ya pas un autre pays que vous connaissez tous qui a crée une alliance avec nos puissances ici , juste pour dire que nous devenons retourner a la racine, chercher la vrai nature de tout un chacun car laissée moi vous dire que notre culture et tradition est entrain de mourir et on accepter des cultures qui sont pas des notre, et la nature nous demandera des comptes,le pb qu'on na ses que des personnes de mauvais fois on pris notre patrimoine et l'on transformer au chose maléfique, d'où le fait faite que notre culture est mal vue de nos jours, revenons au source, je crois a ce que Mr Jacque cousteau a vue et a écris car beaucoup savent que ses vrai, mais beaucoup veulent jouée au innocent , et s'il, etait parti visité la mer de port-gentil Dieu seul sais ce qu'il aurai vue de pire et de meilleurs , mais gardons nos origines "Fang,Punu,Miènè, Sango,Nzembi,Vili etc... car sa fait parti de nous.
Ce que Cousteau a vu, relève du paranormal une preuve que Dieu existe sur tout les plan. Pour ceux qui cherche encore a savoir ! ceci représente le dégréer de sagesse que devais atteindre Cousteau avant de tiré sa révérence, car ces entités lors ce quel vous font appel c'est pour une raison bien définie. Meme si cousteau a écris cette lettre personne ne peu comprendre la teneur ou le pour quoi, meme pas les franc maçon ou encore les charlatans. Mais il y a qui savent ce qui s'ais passer et ce qu'il a vue, et ceux là son quel que part au Gabon et ne vont jamais témoigné ok.
Poupy2k D'après des sources sures, avant d'entreprendre sa plongée Cousteau aurait ingurgité une dose importante d'IBOGA, car s'étant initié aux rites Bwiti quelques temps avant, il aurait lors de ses voyages reçu comme consignes de manger une certaine quantité d'IBOGA avant de plonger. Chose qu'il a faite. Deux analyses s'offrent à nous :
1- l'Iboga se rattachant pour certains à plusieurs autres plantes hallucinogènes telle que le peyolt de la population indienne, les visions que l'on a quand on en consomme sont considérées comme des hallucinations. la drogue qui embrouille le système cérébral faisant apparaitre des images enfouies dans notre subconscient.
2- l'Iboga pour l'inité est le "lait de la mère allaitante" ( coincidence avec notre seau?) rien sur terre n'est plus amer que cette plante, son amertume est indescriptible. avoir le courage de l'ingurgité en suivant les rites initiatiques, serait un passeport inéluctable vers le monde invisible.
de cela on reste sur nos questions:
1- Cousteau aurait il eu des hallucinations causées par l'IBOGA? 2- Cousteau aurait il pu voir le monde invisible sous marin grâce à l'IBOGA?
Eguegarra Au frère Poupy2K, je dirais que ton analyse est bonne, mais ayant à ma disposition un exemplaire de la lettre au pape après son passage au Gabon (republié par le journal Mibana N°1 du 02/06/2015)là dedans il détaille clairement au Pape son séjour au Gabon avec les 2 objectifs qu'il visait .
-1) l'initiation au Bwiti : il va s'initier dés son arrivé au Gabon chez les Babongos (Pygmées) au Sud du Gabon en pays Apindji et Tsogho. De cette initiation, il raconte ce qu'il aurait vu pendant son voyage spirituel en précisant qu'il était à ce moment précis sous l'influence de l'Iboga.
-2) l'exploration de la mer : Après son séjour chez les pygmées, il rejoint son navire qui était déjà là avec son équipage pour explorer le fond marin du Gabon. De là il précise au pape qu'il aurait fait 2 plongés, car la 1ere fois il a eu tellement peur qu'il sortira des eaux presque étourdi il décide après des heures de faire un 2eme plongeons, ce sera le " plongeon de trop dans sa vie" c'est là qu'il vie toutes ses choses que d'aucun pensent hallucinantes.
A mon avis, une légende des fonds marin comme COUSTEAU (homme spirituel de haut niveau qu'il était aussi nous le savons tous) n'a rien à gagner à dire des conneries sur ce qu'il n'aurait pas vue au Gabon. En somme je le crois à 100% et que Dieu protege le Gabon ainsi que son "âme qu'il dit avoir perdu au Gabon"
Reverend-cosby Lecture sainte de la lettre de Jacques-Yves Cousteau adressée au Pape Jean Paul II
Bonjour saint père, c'est pour moi un honneur de vous adresser mes salutations les plus respectueuses, a l'aube de ce jour nouveau étant ici au large des côtes gabonaises. J'ai longtemps navigué et exploré les océans, les mers, les lacs et fleuves du Gabon sans aucun incident qui affecte mon âme ni me frappe l'esprit. Mais depuis que j'ai posé mes premiers pas sur le sol gabonais, je n'ai jamais cessé d'être surpris de voir ce que mes yeux n'ont point vu ailleurs. Saint père, j'ai vu chez les Babongo qui sont les Pygmées du Sud du Gabon en pays Apindji et en pays Tsogho, peuple bantu de cette région, les blancs très blancs et très blonds, sortirent des arbres et des plantes en forêt gabonaise. Pendant la pleine lune à 3h00 du matin pour célébrer, danser et chanter le culte du Bwiti que l'un des leurs appela Dieu, disant le Bwiti est Dieu en me regardant. Ils étaient des milliers dans la forêt, qui dansaient avec des Pygmées, le culte de Dieu qu'ils appelaient Bwiti. A l'intérieur comme a l'extérieur du temple, le feu était maître de la cérémonie. Je vis un jeune homme blanc et blond qui vint vers moi et me dit : « Sais-tu pourquoi le feu est maître dans le Bwiti » ? Je lui répondis « Non, je ne le sais pas » et il me dit : « Le feu est maître dans le Bwiti parce qu'il est Dieu, le soleil, le père de toute chose et la vie. » Ensuite, je lui posai cette question « Pourquoi mangez-vous et vénérez vous les racines de cet arbuste et quel est son nom ? Il me répondit « Cet arbuste s'appelle Iboga et il représente le corps sacré du fils de l'homme, Dieu Yah. ». « Et regarde ce grand arbre là-bas qui germa à partir des gouttes de sang de Dieu et qui, lui, représente le sang de son fils ? Comment l'appelle-t-on ? lui posai-je la question et il me répondit : « Il s'appelle le Kevazingo, c'est un arbre lunaire qui représente aussi les menstrues de la femme ». Je vis toutes les femmes blanches et pygmées frotter du kaolin rouge tiré de cet arbre. Puis, le jeune homme me relata cette histoire : Dieu donna le Bwiti et l'Iboga aux Pygmées qui eux les donnèrent aux Apindji. L'ayant acquis, ils l'apprirent aux Tsogo qui, à leur tour, l'enseignèrent aux Omyènè qui le transmirent au peuple chamitique venu du pays de Couche et de la Nubie. Et chez les Fang du culte du Bwiti, Dieu sortit le culte de l'Ombwiri, encore appelé Anenghé, la transcendance qui est le culte du saint esprit, force agissante de Dieu et l'épouse de Dieu Joa Maria. Ainsi est né le Bwiti, l'homme et l'Ombirila femme, en d'autres termes Dieu et Marie. Et de l'union du Bwiti et de l'Ombwiri naquit la doctrine et le culte de la sainte médecine du Jourdain dont le nom est « Silao Nfoubane Angang » en Guinée équatoriale, dans le village de Nfoua chez un pieux et pur homme nommé Henrique Nze Avome Bibang. Voici que je vis derrière le jeune homme, une femme blanche sortir de la rivière et se transforma en civette. Elle me dit « Je suis Mouma y Zogho, la femme à qui Dieu transmit le Bwiti en forêt et qui elle le transmit aux hommes qui, en l'acquérant, offrirent une liqueur et des présents en secret. « Je suis la femme qui donna son âme en offrande à Dieu et à qui il ôta la vie en prenant son offrande ». A ces mots, je me réveillai sous la tente dans laquelle je dormais, je regardai la montre. Il était 3h30. Mon Dieu, dis-je, donc je dormais. Pourtant, cela avait l'air vrai. Et, avant que je ne termine ma phrase, je vis un feu-follet gigantesque qui passa dans les bois et sur lequel était assis un vieux blanc. Tout cela se passa dans la nuit du vendredi à l'aube du samedi quand, en me soulageant, j'aperçus un satyre manger des racines de l'Iboga qu'il avait déterré. Dans le Haut Komo, j'aperçus une pirogue naviguant sur les eaux du fleuve Komo, au sud-ouest de la province du Woleu Ntem. Il faisait environ 5h30 quand je vis la vierge Marie vêtue d'habits de peau de gazelle tenant une cithare entre ses cuisses. Elle jouait la cithare étant assise dans la pirogue que pagayait un homme noir vêtu de raphia. Après mon exploitation sur les terres gabonaises, je me rendis sur mon bateau pour explorer la mer du Gabon où je perdis mon âme. J'ai découvert des merveilles sous les eaux de la mer du Gabon, des merveilles uniques au monde. Puis, je vis un navire hollandais dans les profondeurs des eaux de la mer du Gabon. Je visitai le navire chargé des biens et des ossements hollandais échoués au coeur de la mer inexplorée et inconnue de monde. Un peu plus loin du navire, je vis de l'or et le trésor enfouis dans une des grottes, une grotte grande comme la Calédonie gardée par un dragon-serpent ayant un point rouge sur le front. Un dragon vert, couvert par une plante vert-jaune qui était entourée d'un diamant. Le spectacle de la plante vert-jaune et du diamant reflétait les couleurs de l'étendard national du Gabon. Comme j'avais tellement peur, je sortis des eaux. La nuit tombant, je replongeai pour explorer de nouveaux la grotte et je vis sous mes yeux le dragon se transformer en un puissant Sir-Roi. Un homme-sirène qui avait le pouvoir d'ouvrir les portes de l'espace et de se rendre dans l'univers quand il voulait sous les eaux de l'Atlantique à travers sa grotte et les portes transdimensionnelles. Le puissant Sir-Roi me vit et me frappa sa queue sur ma caméra. Il me saisit et m'emmena vers d'autres dimensions pour voir les choses que je ne peux mentionner dans cette lettre et que ma langue ne pourra jamais prononcer. Puis il grava mon nom sur une pierre. Et quand je regardai, je vis la date à laquelle j'allais mourir parce que mes yeux et mes oreilles avaient déjà trop vu et trop entendu. Le puissant Sir-Roi portait un médaillon en or pur sur lequel il était écrit Gabon et au-dessus de l'inscription, il y avait une couronne posée sur un globe terrestre. Après tout cela, il me laissa regagner les miens à qui j'ai du mentir en leur disant que ma caméra avait eu un choc et quelle s'était cassée. La vie du cinéaste et océanographe français sétait arrêtée là. Mon âme resta au Gabon et mon corps ici, en France, où je fus enterré. Saint père, prie pour mon âme qui, hormis les merveilles qu'elle vit, vit également des choses abominables de ce petit pays, première puissance du monde dans sa face occulte, et dans ses mystères innombrables et négligés par le monde. La spiritualité est au coeur des eaux et des forêts gabonaises. Voici la religion du monde où Dieu et les siens se manifestent encore comme il était autrefois en pensée, en parole et par l'action. Que l'UNESCO et le Vatican protègent le Gabon contre les oppresseurs et leurs mauvaises pratiques sur cette terre bénite de Dieu ! Que le Vatican et le monde prient à tout jamais pour ce petit pays ; que la Sainte Vierge Marie le chérisse pour qu'il reste le berceau des connaissances humaines et inhumaines, naturelles et surnaturelles, rationnelles et irrationnelles. Oui, le Gabon est notre espoir en matière d'intelligence, de savoir et de connaissance des choses ordinaires et extraordinaires. Alors, le monde doit se prosterner devant le Gabon en l'élevant pour que lui ensuite l'élève. Je souligne dans cette lettre que nul ne volera ni ne prendra quoi que ce soit du Gabon avec force et dédain, si ce n'est qu'en se prosternant avec amour et bonté. Car les Gabonais et le Gabon sont le centre des recherches scientifiques physiques et métaphysiques. Le Gabon est l'Israël, l'Egypte, la Grèce, l'Inde et la Chine d'hier, réunis en un petit état pour former le Gabon. Que les royaumes et les empires viennent au secours du Gabon. Que les principautés et les Républiques en fassent pareil afin que l'humanité retrouve ses racines et que la descendance et l'avenir apprennent la véritable histoire de l'humanité et non celle que nous ont inventé les hommes de science, qui nous inculquent leur imagination et inventions Ô que Dieu m'écoute et que cette lettre tombe entre de bonnes mains pour qu'elle parcourt la terre entière afin que tous sachent que Dieu se révèle à qui bon lui semble quand il le veut en pensée, en parole et par l'action. Qu'ils sachent également que c'est Dieu l'auteur de toutes choses. Aucune chose ne s'est faite, ne se fait et ne se fera sans que ce soit lui qui l'ait voulu, qui le veuille et qui le voudra. Dieu est le maitre des phénomènes ordinaires et extraordinaires. Seul lui peut expliquer pourquoi telle ou telle autre chose existe ou n'existe pas. Dieu reste notre seul vrai recours, recours que les scientifiques et savants oublient par orgueil et préfèrent dédier leur exploits à leur propre intuition, alors que tout imagination, toute intuition, toute inspiration et toute pensée vient soit de Dieu soit du Diable et non de l'homme lui-même. Voici que je retire ma plume de l'encre en espérant que Dieu me pourvoira, qu'il défendra ma bonne cause et élèvera mes écrits comme il le fit avec ceux d'Ulysse. Ainsi soit-il !
Aubi A la lumière de ce qui précède, j'épouse totalement les dires du très respectable J. Y. Cousteau. Nonobstant le fait qu'en première approximation le recit semble être jalonné de nombreuses incohérences comme le souligne juste en haut le frère Demulamba, il n'en demeure pas moins que reste plausible car il, Cousteau, atteste clairement que lorsqu'il vit le puissant Sir-Roi, ce dernier frappa sa caméra, le saisit par la suite.... grava son nom sur une pierre, si mon souvenir est bon, et il vit même la date de sa mort. Par addition, il rajouta même(dès sa sortie des eaux) que son âme était restée dans la mer du Gabon. Raison pour laquelle, il parla de sa mort quoiqu'étant encore vivant en ce temps.
Demulamba Aubi merci pour ton complément d'info , seulement tant que nous n'aurons pas une copie ou l'origine de cette lettre tous que nous ferons sera pure speculation; En outre nous n'avons aucune réaction des autorités gabonaises, Vaticanes,de la famille cousteau encore moins de de sa fondation
Est-elle devenue une illusion ou le fruit d'une imagination en mal de sensation ?
Ou ce sont les entités mêmes qui empêchent la diffusion des révélations sur leur monde ?
Mais une rapide petite analyse nous fait penser que les pauvres entités n'en était pour rien du fait qu' elles avaient tous les moyens imaginaires d'empêcher quelque diffusion. Elles se serraient arranger pour qu'il n'y ait pas rédaction en amont.
Et puis, nous ne les voyons pas . De qui auraient-elles peur ou honte?
Ce sont elles qui nous gèrent.
Alors, me semble-t-il, les vrais raisons sont ailleurs.
le lien: http://ur.netlog.com/kellytaladji/blog/blogid=4538739/&full=1
Voici un screenshot du lien en question.
Comment faire pour lire cette lettre qui avait été adressée au Pape Jean Paul II
Merci d'avance
Jean
Ce que Cousteau a vu, relève du paranormal une preuve que Dieu existe sur tout les plan. Pour ceux qui cherche encore a savoir ! ceci représente le dégréer de sagesse que devais atteindre Cousteau avant de tiré sa révérence, car ces entités lors ce quel vous font appel c'est pour une raison bien définie. Meme si cousteau a écris cette lettre personne ne peu comprendre la teneur ou le pour quoi, meme pas les franc maçon ou encore les charlatans. Mais il y a qui savent ce qui s'ais passer et ce qu'il a vue, et ceux là son quel que part au Gabon et ne vont jamais témoigné ok.
1- l'Iboga se rattachant pour certains à plusieurs autres plantes hallucinogènes telle que le peyolt de la population indienne, les visions que l'on a quand on en consomme sont considérées comme des hallucinations. la drogue qui embrouille le système cérébral faisant apparaitre des images enfouies dans notre subconscient.
2- l'Iboga pour l'inité est le "lait de la mère allaitante" ( coincidence avec notre seau?) rien sur terre n'est plus amer que cette plante, son amertume est indescriptible. avoir le courage de l'ingurgité en suivant les rites initiatiques, serait un passeport inéluctable vers le monde invisible.
de cela on reste sur nos questions:
1- Cousteau aurait il eu des hallucinations causées par l'IBOGA?
2- Cousteau aurait il pu voir le monde invisible sous marin grâce à l'IBOGA?
-1) l'initiation au Bwiti : il va s'initier dés son arrivé au Gabon chez les Babongos (Pygmées) au Sud du Gabon en pays Apindji et Tsogho. De cette initiation, il raconte ce qu'il aurait vu pendant son voyage spirituel en précisant qu'il était à ce moment précis sous l'influence de l'Iboga.
-2) l'exploration de la mer : Après son séjour chez les pygmées, il rejoint son navire qui était déjà là avec son équipage pour explorer le fond marin du Gabon. De là il précise au pape qu'il aurait fait 2 plongés, car la 1ere fois il a eu tellement peur qu'il sortira des eaux presque étourdi il décide après des heures de faire un 2eme plongeons, ce sera le " plongeon de trop dans sa vie" c'est là qu'il vie toutes ses choses que d'aucun pensent hallucinantes.
A mon avis, une légende des fonds marin comme COUSTEAU (homme spirituel de haut niveau qu'il était aussi nous le savons tous) n'a rien à gagner à dire des conneries sur ce qu'il n'aurait pas vue au Gabon. En somme je le crois à 100% et que Dieu protege le Gabon ainsi que son "âme qu'il dit avoir perdu au Gabon"
Bonjour saint père, c'est pour moi un honneur de vous adresser mes salutations les plus respectueuses, a l'aube de ce jour nouveau étant ici au large des côtes gabonaises. J'ai longtemps navigué et exploré les océans, les mers, les lacs et fleuves du Gabon sans aucun incident qui affecte mon âme ni me frappe l'esprit. Mais depuis que j'ai posé mes premiers pas sur le sol gabonais, je n'ai jamais cessé d'être surpris de voir ce que mes yeux n'ont point vu ailleurs.
Saint père, j'ai vu chez les Babongo qui sont les Pygmées du Sud du Gabon en pays Apindji et en pays Tsogho, peuple bantu de cette région, les blancs très blancs et très blonds, sortirent des arbres et des plantes en forêt gabonaise. Pendant la pleine lune à 3h00 du matin pour célébrer, danser et chanter le culte du Bwiti que l'un des leurs appela Dieu, disant le Bwiti est Dieu en me regardant.
Ils étaient des milliers dans la forêt, qui dansaient avec des Pygmées, le culte de Dieu qu'ils appelaient Bwiti. A l'intérieur comme a l'extérieur du temple, le feu était maître de la cérémonie. Je vis un jeune homme blanc et blond qui vint vers moi et me dit : « Sais-tu pourquoi le feu est maître dans le Bwiti » ? Je lui répondis « Non, je ne le sais pas » et il me dit : « Le feu est maître dans le Bwiti parce qu'il est Dieu, le soleil, le père de toute chose et la vie. » Ensuite, je lui posai cette question « Pourquoi mangez-vous et vénérez vous les racines de cet arbuste et quel est son nom ? Il me répondit « Cet arbuste s'appelle Iboga et il représente le corps sacré du fils de l'homme, Dieu Yah. ». « Et regarde ce grand arbre là-bas qui germa à partir des gouttes de sang de Dieu et qui, lui, représente le sang de son fils ? Comment l'appelle-t-on ? lui posai-je la question et il me répondit : « Il s'appelle le Kevazingo, c'est un arbre lunaire qui représente aussi les menstrues de la femme ».
Je vis toutes les femmes blanches et pygmées frotter du kaolin rouge tiré de cet arbre. Puis, le jeune homme me relata cette histoire : Dieu donna le Bwiti et l'Iboga aux Pygmées qui eux les donnèrent aux Apindji. L'ayant acquis, ils l'apprirent aux Tsogo qui, à leur tour, l'enseignèrent aux Omyènè qui le transmirent au peuple chamitique venu du pays de Couche et de la Nubie. Et chez les Fang du culte du Bwiti, Dieu sortit le culte de l'Ombwiri, encore appelé Anenghé, la transcendance qui est le culte du saint esprit, force agissante de Dieu et l'épouse de Dieu Joa Maria.
Ainsi est né le Bwiti, l'homme et l'Ombirila femme, en d'autres termes Dieu et Marie. Et de l'union du Bwiti et de l'Ombwiri naquit la doctrine et le culte de la sainte médecine du Jourdain dont le nom est « Silao Nfoubane Angang » en Guinée équatoriale, dans le village de Nfoua chez un pieux et pur homme nommé Henrique Nze Avome Bibang. Voici que je vis derrière le jeune homme, une femme blanche sortir de la rivière et se transforma en civette. Elle me dit « Je suis Mouma y Zogho, la femme à qui Dieu transmit le Bwiti en forêt et qui elle le transmit aux hommes qui, en l'acquérant, offrirent une liqueur et des présents en secret. « Je suis la femme qui donna son âme en offrande à Dieu et à qui il ôta la vie en prenant son offrande ».
A ces mots, je me réveillai sous la tente dans laquelle je dormais, je regardai la montre. Il était 3h30. Mon Dieu, dis-je, donc je dormais. Pourtant, cela avait l'air vrai. Et, avant que je ne termine ma phrase, je vis un feu-follet gigantesque qui passa dans les bois et sur lequel était assis un vieux blanc. Tout cela se passa dans la nuit du vendredi à l'aube du samedi quand, en me soulageant, j'aperçus un satyre manger des racines de l'Iboga qu'il avait déterré. Dans le Haut Komo, j'aperçus une pirogue naviguant sur les eaux du fleuve Komo, au sud-ouest de la province du Woleu Ntem. Il faisait environ 5h30 quand je vis la vierge Marie vêtue d'habits de peau de gazelle tenant une cithare entre ses cuisses. Elle jouait la cithare étant assise dans la pirogue que pagayait un homme noir vêtu de raphia.
Après mon exploitation sur les terres gabonaises, je me rendis sur mon bateau pour explorer la mer du Gabon où je perdis mon âme. J'ai découvert des merveilles sous les eaux de la mer du Gabon, des merveilles uniques au monde. Puis, je vis un navire hollandais dans les profondeurs des eaux de la mer du Gabon. Je visitai le navire chargé des biens et des ossements hollandais échoués au coeur de la mer inexplorée et inconnue de monde. Un peu plus loin du navire, je vis de l'or et le trésor enfouis dans une des grottes, une grotte grande comme la Calédonie gardée par un dragon-serpent ayant un point rouge sur le front. Un dragon vert, couvert par une plante vert-jaune qui était entourée d'un diamant. Le spectacle de la plante vert-jaune et du diamant reflétait les couleurs de l'étendard national du Gabon. Comme j'avais tellement peur, je sortis des eaux. La nuit tombant, je replongeai pour explorer de nouveaux la grotte et je vis sous mes yeux le dragon se transformer en un puissant Sir-Roi. Un homme-sirène qui avait le pouvoir d'ouvrir les portes de l'espace et de se rendre dans l'univers quand il voulait sous les eaux de l'Atlantique à travers sa grotte et les portes transdimensionnelles.
Le puissant Sir-Roi me vit et me frappa sa queue sur ma caméra. Il me saisit et m'emmena vers d'autres dimensions pour voir les choses que je ne peux mentionner dans cette lettre et que ma langue ne pourra jamais prononcer. Puis il grava mon nom sur une pierre. Et quand je regardai, je vis la date à laquelle j'allais mourir parce que mes yeux et mes oreilles avaient déjà trop vu et trop entendu. Le puissant Sir-Roi portait un médaillon en or pur sur lequel il était écrit Gabon et au-dessus de l'inscription, il y avait une couronne posée sur un globe terrestre.
Après tout cela, il me laissa regagner les miens à qui j'ai du mentir en leur disant que ma caméra avait eu un choc et quelle s'était cassée. La vie du cinéaste et océanographe français sétait arrêtée là. Mon âme resta au Gabon et mon corps ici, en France, où je fus enterré. Saint père, prie pour mon âme qui, hormis les merveilles qu'elle vit, vit également des choses abominables de ce petit pays, première puissance du monde dans sa face occulte, et dans ses mystères innombrables et négligés par le monde. La spiritualité est au coeur des eaux et des forêts gabonaises. Voici la religion du monde où Dieu et les siens se manifestent encore comme il était autrefois en pensée, en parole et par l'action. Que l'UNESCO et le Vatican protègent le Gabon contre les oppresseurs et leurs mauvaises pratiques sur cette terre bénite de Dieu ! Que le Vatican et le monde prient à tout jamais pour ce petit pays ; que la Sainte Vierge Marie le chérisse pour qu'il reste le berceau des connaissances humaines et inhumaines, naturelles et surnaturelles, rationnelles et irrationnelles.
Oui, le Gabon est notre espoir en matière d'intelligence, de savoir et de connaissance des choses ordinaires et extraordinaires. Alors, le monde doit se prosterner devant le Gabon en l'élevant pour que lui ensuite l'élève. Je souligne dans cette lettre que nul ne volera ni ne prendra quoi que ce soit du Gabon avec force et dédain, si ce n'est qu'en se prosternant avec amour et bonté. Car les Gabonais et le Gabon sont le centre des recherches scientifiques physiques et métaphysiques. Le Gabon est l'Israël, l'Egypte, la Grèce, l'Inde et la Chine d'hier, réunis en un petit état pour former le Gabon. Que les royaumes et les empires viennent au secours du Gabon. Que les principautés et les Républiques en fassent pareil afin que l'humanité retrouve ses racines et que la descendance et l'avenir apprennent la véritable histoire de l'humanité et non celle que nous ont inventé les hommes de science, qui nous inculquent leur imagination et inventions
Ô que Dieu m'écoute et que cette lettre tombe entre de bonnes mains pour qu'elle parcourt la terre entière afin que tous sachent que Dieu se révèle à qui bon lui semble quand il le veut en pensée, en parole et par l'action. Qu'ils sachent également que c'est Dieu l'auteur de toutes choses. Aucune chose ne s'est faite, ne se fait et ne se fera sans que ce soit lui qui l'ait voulu, qui le veuille et qui le voudra. Dieu est le maitre des phénomènes ordinaires et extraordinaires. Seul lui peut expliquer pourquoi telle ou telle autre chose existe ou n'existe pas. Dieu reste notre seul vrai recours, recours que les scientifiques et savants oublient par orgueil et préfèrent dédier leur exploits à leur propre intuition, alors que tout imagination, toute intuition, toute inspiration et toute pensée vient soit de Dieu soit du Diable et non de l'homme lui-même.
Voici que je retire ma plume de l'encre en espérant que Dieu me pourvoira, qu'il défendra ma bonne cause et élèvera mes écrits comme il le fit avec ceux d'Ulysse. Ainsi soit-il !
La Rédaction
En outre nous n'avons aucune réaction des autorités gabonaises, Vaticanes,de la famille cousteau encore moins de de sa fondation