Espagnol, né le 29 septembre 1980 et mort le 17 juin 2017
Enterré (où exactement ?).
Iván Fandiño Barros, né le 29 septembre 1980 à Orduña (province de Biscaye, Espagne) et mort le 17 juin 2017 à Mont-de-Marsan (Landes, France), est un matador espagnol. Il est connu pour avoir été une grande figure de la tauromachie.
C'est un torero qui ne craignait pas de se mesurer aux taureaux durs.
Le 19 août 2011, à Malaga il a reçu un coup de corne d'une profondeur de 25 cm dans la jambe droite qui lui a sectionné la veine saphène, compromettant ainsi la suite de sa temporada.
Le 24 avril 2012, à Séville, il a coupé une oreille dans un mano a mano avec David Mora contre les taureaux réputés difficiles de Victorino Martín.
Le 12 juin 2012, il a affronté six taureaux lors d'une corrida concours à Bilbao.
Le 4 août 2012, il a accumulé les succès à Bayonne avec notamment une sortie a hombros.
Le 10 août 2014, il est sérieusement blessé lors de la deuxième corrida de la féria aoûtienne de Bayonne et hospitalisé après une perte de connaissance.
Iván Fandiño est mort le samedi 17 juin 2017 à l'âge de 36 ans, tué par un taureau des Landes. Il torée dans les arènes Maurice Lauche à Aire-sur-l'Adour avec Juan del Álamo et Thomas Dufau face à des taureaux de l'élevage de Baltasar Ibán. Il coupe un trophée à son premier opposant. Il débute un quite de chicuelinas au troisième taureau, nommé Provechito, correspondant à Juan del Álamo. Le taureau se retourne rapidement après la première passe et soulève le torero qui, empêtré dans le capote de brega, chute au sol. Une fois au sol, le taureau lui inflige un coup de corne dans le dos qui remonte jusqu'au poumon en passant par l'estomac. Relevé par les membres de sa cuadrilla, il entre conscient à l'infirmerie des arènes mais se plaint de vives douleurs. Il prononce ses derniers mots à Thomas Dufau : « dépêchez-vous, je sens que mon corps s'en va ». Les chirurgiens décident son évacuation vers l'hôpital Layné de Mont-de-Marsan. Il fait un premier arrêt cardiaque sur le trajet pour lequel les médecins parviennent à le réanimer mais le deuxième arrêt cardiaque, quelques instants plus tard, lui est fatal. À son arrivée à l'hôpital, les médecins ne peuvent que signer le certificat de décès. Le lendemain, les équipes médicales rendent compte d'une déchirure de la veine cave. La dernière mort tragique lors d'une corrida en France remontait à 1921, avec le décès du matador espagnol Isidoro Mari Fernando « Flores », dans les arènes de Béziers.
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Il mérite le paradis pour avoir sublimé la chasse que l'homme pratique depuis la Préhistoire.
Ce n'est pas parce que c'est un matador qu'il faut le mettre en enfer !!! Moi je trouve qu'il mérite le paradis car dompter des taureaux c'est courageux, meme au péril de sa vie malheureusement il a péri .