Criminel, Hors-la-loi, Tueur en série (Crime, Justice).
Américain, né le 19 mai 1870 et mort le 16 janvier 1936
Enterré (où exactement ?).
Albert Fish, (19 mai 1870 - 16 janvier 1936), est un célèbre tueur en série et cannibale américain. Il est aussi connu comme étant le Vampire de Brooklyn, L'ogre de Wysteria. Il a une vie entièrement dévouée aux perversions sexuelles sous toutes les formes : pornographie, fétichisme sexuel, voyeurisme, sadisme, masochisme, flagellation active, auto castration, bestialité, prostitution, coprophilie, coprophagie, et bien sûr, cannibalisme .
Albert Fish est né Albert Hamilton Fish le 19 mai 1870, à Washington D.C., de Randall Fish, né dans le Maine, et d'Ellen Fish, née en Irlande. Albert Fish déclarera plus tard que sa famille avait un long passé de malades mentaux. C'est le plus jeune des quatre enfants du couple, Walter, Annie et Eldwin. Randall mourut en 1875 à Washington D.C.. Albert dira plus tard que sa mère, incapable de s'occuper de lui, le mit dans un orphelinat où il fut fouetté et battu.
En 1890, Albert Fish va s'installer à New York, où il devient peintre en bâtiment. Il se marie en 1898 avec Anna, de neuf ans sa cadette. Le couple aura six enfants : Albert, Anna, Gertrude, Eugene, John et Henry. Il se marie également en 1930 avec Estella Wilcox, pour divorcer une semaine plus tard.
Il est arrêté en mai 1930 pour avoir "envoyé une lettre obscène à une femme noire qui avait répondu à une annonce pour être femme de ménage".
Il est envoyé entre 1930 et 1931 à l'hôpital psychiatrique de Bellevue pour observation, en raison des motifs de ses arrestations. Albert Fish prétend avoir erré à travers les États-Unis, assassinant au moins une personne dans chacun des vingt-trois états qu'il a visités, comme d'autres victimes qu'il croisa lors de son voyage, bien que cette déclaration ne soit pas soutenue par les documents connus de sa vie.
Les médecins l'ayant examiné ont déclarent qu'il était sadomasochiste : il se livrait à l'auto-mutilation, s'introduisait des aiguilles dans le corps, la plupart du temps autour de ses parties génitales. Albert Fish dit qu'il essaya de mettre une aiguille dans son scrotum mais que ce fut trop douloureux, et il y avait des aiguilles dans son bassin qui y étaient enfoncées. Il introduirait aussi des boules de coton imbibées d'essence dans son rectum pour ensuite y mettre le feu. Il se fouetterait également jusqu'au sang avec une planche truffée de clous.
On a dit qu'il consommait non seulement la chair de ses victimes, mais également leur urine, leur sang et leurs excréments. On a attribué ces tendances aux maltraitances qu'il reçut durant l'enfance. Il a également déclaré que c'est Dieu qui lui donnait des « missions » pour tuer.
Ses meurtres comprennent souvent une longue torture avant la mise à mort de sa victime. Il attacherait les enfants et les fouetterait avec une ceinture coupée à moitié avec des ongles collés dedans pour "attendrir la chair pour la cuisine". Il appelait ses instruments (scie, hachoir, divers couteaux) les "instruments de l'enfer".
Le 28 mai 1928, Albert Fish rend visite aux Budd à Manhattan. Il répondait à une annonce de location d'un jeune homme de 18 ans, Edouard Budd. À l'appartement des Budd, Albert Fish trouve Edouard parfait, mais ensuite il rencontre sa jeune soeur de 10 ans, Grace.
Albert Fish promet de louer Edouard et de l'envoyer pour lui en quelques jours, et en attendant il convainc Mr et Mme Budd de laisser Grace l'accompagner à une fête organisée le soir même chez lui. Il part avec Grace le jour même, mais ne reviendra jamais.
En novembre 1934, une lettre anonyme est envoyée aux parents de Grace, qui avaient déjà mené la police vers Albert Fish. La lettre ici en est la traduction, les fautes d'orthographe et les erreurs grammaticales faites par Albert Fish y sont corrigées:
« Chère Mrs Budd. En 1894, un de mes amis s'est embarqué sur le vapeur Tacoma du capitaine John Davis, allant de San Francisco à Hong Kong. En arrivant, il partit s'ennivrer en compagnie de deux amis. À leur retour, le bateau était parti. La famine sévissait à cette époque. La viande coutait $1-3 par livre. La famine était telle que les pauvres vendaient leurs enfant de moins de 12 ans comme viande de boucherie. Un jeune de 14 ans n'était pas en sécurité dans la rue. Toutes les boutiques vendaient cette viande grillée ou bouillie. Des membres de l'enfant était apportés et vous pouviez choisir la partie qui vous convenait. Les fesses étaient les parties les plus prisées et vendue en escalopes coûtaient le plus cher. John est resté en ces lieux tellement longtemps qu'il développa un goût pour la chair humaine. À son retour à New York, il kidnappa deux jeunes garçons de 7 et 11 ans. Il les attacha chez lui en les enfermant dans un placard. Puis il brûla tous leurs vêtements. Plusieurs fois par jour, il les torturait afin d'attendrir leur chair. Il tua le garçon de 11 ans, car il avait les fesses les plus charnues. Il cuisina et mangea toutes les parties à l'exception des os du crâne et des entrailles. Il a été rôti au four (les fesses), bouilli, grillé, frit, et préparé en soupe. Le même sort attendait le plus jeune. À cette période, je vivait au 409 Est de la 100e rue. Il me vantait tellement souvent les délices de la chair humaine que je me décidai à en goûter. Le dimanche 3 juin 1928, je vous ai appelé au 406 Ouest de la 15e rue. Je vous ai apporté un pot de fraise à la crème. Nous avons déjeuné ensemble. Grace s'est assises sur mes genoux et m'embrassa. Je fixai mon choix sur elle. Au prétexte de l'emmener à une fête, vous avez dit qu'elle pouvait y aller. Je l'emmenai dans une maison à Westchester que je venais de louer. Je lui demandai de rester à l'extérieur. Elle cueillit des fleurs. Je suis monté à l'étage et ai enlevé mes vêtements. Si je ne le faisait pas, je savais que le sang allait les tacher. Quand tout fût prêt, je l'appelai par la fenêtre. Puis je me suis caché dans le placard jusqu'à ce qu'elle entre dans la chambre. Lorsqu'elle ma vu nu, elle se mis à pleurer et essaya de fuir par l'escalier. Je l'ai attrapé, elle dit qu'elle se plaindrai à sa maman. D'abord, je l'ai déshabillée. Comme elle donnait des coups de pied, mordait et griffait. Je l'ai étranglée, puis découpée en petits morceaux afin que je puisse emmener la viande dans mes chambres. Je l'ai cuisinée et mangé. Ses petites fesses étaient tendres après avoir été rôties. Ça m'a pris 9 jours pour la manger en entier. Je ne l'ai pas baisée, même si je l'ai regretté. Elle est morte vierge. »
Un grand nombre de spécialistes du comportement se sont penchés sur cette existence hors du commun et tous considèrent cet individu, initié à la masturbation dès l'âge de 5 ans, et attiré par le sadomasochisme deux ans plus tard, comme l'un des plus grands pervers de l'histoire du crime. Son comportement sadomasochiste extrême (il s'insérait des épingles dans les testicules...) résultait peut-être d'un dommage au lobe frontal de son cerveau.
Parmi ses hobbies, il disait qu'il voulait manger de la chair humaine les jours de pleine lune, il s'introduisait des carottes et des saucisses dans l'anus avant de les manger, il s'y introduisait également des cotons imbibés d'essence avant d'y mettre le feu.
On ne sait pas exactement combien de victimes il a à son actif. Lui-même en a avoué une centaine aux enquêteurs. Bien qu'il n'ait été jugé que pour seize crimes prouvés, le juge d'instruction chargé de son dossier considérait ce chiffre comme hautement probable.
Son psychiatre de l'époque, le Dr Fredric Wertham, avec qui Albert Fish noua des relations de confiance réelles et profondes, pense que ce nombre dépassait quatre cents, ce qui, dans ce cas, propulserait ce cannibale mangeur d'enfants au rang du plus grand criminel de tous les temps.
Sa technique est à peu près toujours la même. Il séduit les enfants en leur offrant des bonbons ou quelques pièces de monnaie. Son pouvoir de séduction sur les enfants est réel et il les emmène sans trop de difficulté dans des caves, des maisons abandonnées, des lieux retirés repérés à l'avance, et bien sûr, chez lui lorsque c'est possible.
Il les réduit à l'impuissance soit en les attachant, soit en les mutilant avant de les violer, de les battre, et enfin de les tuer. Souvent il les torture plusieurs jours de suite avant de les achever.
Il ne les bâillonne que lorsque il estime sa sécurité en jeu, car dit-il, « Je préfère de beaucoup les entendre hurler de douleur et de terreur. ». Il choisit ses petites victimes de préférence parmi la population noire des ghettos car il a remarqué que les autorités ne s'inquiètent guère de la disparition d'enfants noirs.
Parmi la multitude d'atrocités qui s'égrainent au fil des audiences, relevons certains cas,
- extrait d'une lettre envoyée aux parents de Billy Gaffney, une de ses victimes : " Je l'ai fouetté jusqu'à ce que le sang coule sur ses jambes, J'ai coupé les oreilles et le nez, agrandi la bouche d'une oreille à l'autre, sorti les yeux des orbites. (...)Enfoncé le couteau dans le ventre et y ai placé ma bouche pour boire le sang. Puis, je l'ai démembré, et j'ai coupé le tronc au-dessus du nombril, et les jambes à environ cinq centimètres en dessous de son derrière. Après j'ai tranché la tête, les pieds, les bras et les jambes au-dessus du genou. (...)Je suis rentré chez moi en emportant de la viande, mes morceaux préférés, son sexe, ses rognons, et un délicieux petit derrière bien grassouillet pour le rôtir au four et le dévorer. J'ai préparé un ragoût avec ses oreilles, son nez, des morceaux de visage et du ventre. J'y ai mis des oignons, des carottes, des navets, du céleri. C'était bon ! Les fesses, je les ai coupées en deux, et mises sur un plat avec sur chacune des lanières de bacon. (...) J'ai versé un demi-litre d'eau pour le jus de la sauce avant d'y mettre des oignons. (...) À intervalles réguliers, j'ai arrosé de jus son derrière avec une cuillère en bois afin que la viande soit juteuse. (...) Jamais je n'ai mangé une dinde rôtie qui ait été la moitié aussi excellente que ce délicieux petit cul grassouillet. (...)J'en ai mangé pendant quatre jours. Par contre, ses petites roubignolles étaient trop dures. Je n'arrivais pas à les mâcher. Je les ai jetées dans les toilettes. (...)"
- Grace Budd, 10 ans :
Il "emprunte" la fillette à ses parents, leur faisant croire à une fête d'anniversaire, ils ne reverront jamais plus leur enfant.
Il emmène la fillette avec lui à la gare et tous deux prennent le train pour Westchester. Arrivés à destination, ils se rendent à Greenbourgh. Albert Fish y a repéré depuis longtemps une maison à l'écart, près d'un bois, abandonnée depuis plusieurs années.
Depuis le matin, il porte sur lui un paquet. C'est ce qu'il appelle lui-même "les instruments de l'enfer" : une scie, un hachoir et un couteau à désosser de boucher.
Tandis que la gamine cueille quelques fleurs dans le jardin, il monte au premier, se déshabille pour éviter les éclaboussures de sang et l'appelle par la fenêtre. Elle monte. Immédiatement, il s'en saisit, la bat, l'étrangle puis la saigne.
Il recueille le sang qui gicle de la gorge dans un vieux bidon de vingt litres. Il coupe ensuite le corps en trois : la tête, et le tronc sectionné en deux au niveau du nombril. Il prélève quelques morceaux de chair sur les avant-bras et rentre chez lui les préparer avec des carottes et des pommes de terre, non sans avoir ajouté un bouillon en cube.
Pendant plus d'une semaine, il va retourner tous les jours à la maison abandonnée se réapprovisionner en chair et organes humains, qu'il ramène à son domicile et mange après préparation, allongé sur son lit. Au bout de quelques jours, le cadavre éparpillé de la petite fille commence à faisander et des centaines de mouches y font leurs oeuvres. Aucune importance, il ne cesse de varier les recettes. "Ces repas me mettent dans un état d'orgasme perpétuel."
Il enverra une lettre à la mère éplorée de la victime décrivant ses motivations et l'origine de son goût pour la chair humaine.
Le porte-parole de la police admet qu'Albert Fish a été interrogé à plusieurs reprises sur des disparitions d'enfants, mais qu'il n'a jamais été vraiment suspecté. "C'était de la routine, il avait l'air tellement inoffensif..." "Cet homme n'est pas fou, pas dangereux pour la société à prime abords, même s'il présente une personnalité psychopathe à caractère sexuel..."
Les journaux se déchaînent : " Pas dangereux, cet homme qui se promène en hurlant : "Heureux soit celui qui fracasse le crâne des petits enfants" ou "Il faut que je sacrifie des enfants, comme Abraham son fils Isaac, pour me faire pardonner mes pêchés."
La profession de psychiatre connut pendant quelques mois aux États Unis une forte baisse de considération. Malgré les traces évidentes de sa complète désorganisation mentale, il fut exécuté sur la chaise électrique le 16 janvier 1936 et on dû s'y reprendre à 2 fois à cause de courts-circuits occasionnés par les aiguilles qu'il avait planté dans son corps.
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Les meilleures citations d'Albert Fish.
Quel frisson ce sera si je dois mourir sur la chaise électrique. Ce sera le frisson suprême. Le seul que je n'ai pas essayé.
Aucun de nous n'est un saint.
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C'est un necro-pedo-zoo phil cannibales ayant assassiné plus d'une centaine voire 400 enfants