Chancelier et dictateur allemand, fondateur et figure centrale du nazisme, il prend le pouvoir en Allemagne en 1933 et instaure une dictature totalitaire, impérialiste et raciste désignée sous le nom de Troisième Reich. Il est l'auteur du livre « Mein Kampf » (1925) dans lequel il expose ses conceptions racistes et ultranationalistes. L’ampleur sans précédent des tueries (génocide des juifs, génocide des tziganes, massacre des civils soviétiques), des meurtres de masse (camps d'extermination, eugénisme et euthanasies), innombrables exactions contre les populations civiles, traitement inhumain de prisonniers de guerre), des destructions et des pillages dont il est le responsable, tout comme le racisme radical singularisant sa doctrine et la barbarie des sévices infligés à ses victimes lui valent d'être considéré de manière particulièrement négative par l'historiographie et dans la mémoire collective. Son nom et sa personne font généralement figure de symboles répulsifs. Chancelier en 1933, il met rapidement en place les 1er camps de concentration destinés à la répression des opposants politiques (dont socialistes, communistes et syndicalistes). En 1934, après une violente opération d’élimination physique d’opposants et rivaux (nuit des Longs Couteaux) et la mort (un mois plus tard), du vieux maréchal Hindenburg, il devient président du Reich, chef de l'État portant le double titre de « Führer » (guide) « et chancelier du Reich ». Il saborde ainsi la République de Weimar et met fin à la première démocratie parlementaire en Allemagne. Il mène une politique pangermaniste, antisémite, revanchiste et belliqueuse où les nazis prennent le contrôle de la société allemande (travailleurs, jeunesse, médias et cinéma, industrie, sciences, etc.). L'expansion du régime est l'élément déclencheur du volet européen de la Seconde Guerre mondiale qui atteindra des sommets de destruction et de barbarie, et à la fin de laquelle, Hitler, terré dans son bunker, se suicide. Le Troisième Reich, qui devait durer « mille ans » selon Hitler, s'effondre finalement au bout de 12 ans.
Il n'existe aucune sépulture (incinéré).
Adolf Hitler, quatrième enfant d'une famille comportant 5 enfants (Aloïs Jr, Angela, Edmund, Paula), est né le 20 avril 1889 à 18h30 à Braunau, petite ville de Haute-Autriche située à la frontière bavaroise. Son père (Aloïs Hitler) est né le 7 juin 1837 et terminera sa vie en tant que haut receveur des douanes, quant à sa mère (Klara Pölzl) elle est née en 1860 Lors de sa scolarité à Linz, il ne manifeste que des aptitudes très moyennes et abandonne ses études secondaires à l'âge de seize ans. Il entame alors une existence oisive, fréquentant les théâtres, découvrant la musique wagnérienne et consacrant de nombreuses heures à l'élaboration de projets architecturaux plus ou moins fantaisistes. Son père meurt le 3 janvier 1903 et sa mère atteinte d'un cancer du sein décède le 21 décembre 1907. Attiré par Vienne, il quitte définitivement Linz en 1908 et tente sans succès d'entrer à l'Académie des beaux-arts.
Une fois l'héritage paternel épuisé, il vit, difficilement, d'une pension d'orphelin et du dessin de cartes postales et d'aquarelles. C'est durant ces années viennoises que l'antisémitisme en vient à occuper une place centrale dans sa vision du monde. Écoutant les discours du chrétien-social Karl Lueger et du nationaliste pangermaniste Georg von Schönerer, lisant les écrits satiriques et racistes d'Adolf Lanz, Hitler croit découvrir dans le judaïsme la source de tous les maux qui menaceraient la nation allemande et la "race aryenne".
Désireux d'échapper au service militaire dans l'armée austro-hongroise, Hitler s'installe à Munich en 1913. Lorsque éclate la Première Guerre mondiale, il s'engage dans l'armée bavaroise; ayant été blessé à deux reprises, il finit la guerre avec le grade de caporal, et est décoré de la croix de fer de première classe. Traumatisé par la défaite, il rejoint le dépôt de son régiment alors aux mains d'un conseil de soldats (novembre 1918). En avril 1919, il assiste à Munich à la proclamation de la république des conseils de Bavière, puis à son impitoyable répression du 1er au 10 mai.
Il est alors désigné pour enquêter, au sein d'une commission militaire, sur les événements révolutionnaires. En septembre 1919, il adhère au petit parti ouvrier allemand (DAP) il en est le septième adhérent , rebaptisé en février 1920 parti ouvrier allemand national-socialiste (NSDAP).
Hitler s'imposa rapidement par son esprit d'initiative aux autres membres de son parti, qui, en 1919, pratiquaient plus une "cuisine de club", selon ses propres mots, qu'une activité politique conséquente. Hitler se fait remarquer par ses qualités d'orateur sa voix magnétique et gutturale fascine l'assistance , et s'impose à la présidence du parti en juillet 1921. À cette date, le NSDAP compte déjà plus de 3000 militants, des troupes paramilitaires, les sections d'assaut (SA), et dispose d'un journal, le Völkischer Beobachter. Deux années plus tard, le NSDAP domine tous les autres groupuscules extrémistes, rassemblant 55000 militants. Aux côtés du général Ludendorff, l'ancien caporal est devenu l'une des deux grandes figures de l'extrême droite munichoise, et sa réputation commence à s'étendre hors de Bavière.
Le 8 novembre 1923, alors que l'Allemagne connaît une situation économique et politique dramatique (les troupes françaises occupent la Ruhr (Allemagne) et l'inflation s'accroît d'heure en heure), Hitler tente un coup de force, mais le putsch, mal organisé, échoue lamentablement: seize nazis sont tués par la police munichoise, et Hitler lui-même est arrêté. Lors du procès qui s'ensuit, le chef du parti nazi n'en réussit pas moins à se présenter comme un patriote révolté par les agissements d'une république indigne, ce qui lui vaut la sympathie de toute l'Allemagne nationaliste.
Condamné en février 1924 à cinq ans d'emprisonnement, Hitler est libéré dès le mois de décembre. Il a consacré ces quelques mois passés dans la forteresse de Landsberg (Allemangne) à rédiger Mein Kampf (Mon combat), exposé confus de ses idées et de son programme, qui paraît en 1925. Il donnera une formulation plus structurée dans ce que l'on appelle le "Deuxième Livre", rédigé en 1928, mais jamais publié de son vivant.
La vision hitlérienne du monde est fondamentalement dominée par le constat darwiniste de la lutte des espèces pour la conquête d'un "espace vital" Lebensraum. Seules les «races» humaines les plus fortes, les plus "pures", en tête desquelles Hitler place les Aryens, c'est-à-dire les populations blanches du nord de l'Europe, parviendront selon lui à s'imposer dans cette lutte impitoyable pour la survie. Mais elles doivent à tout prix éviter l'abâtardissement. Les juifs, que Hitler situe au dernier échelon de l'échelle raciale, constituent une menace particulièrement dangereuse, car, peuple sans terre, ils parasitent les peuples «sains» afin de les détruire ou de les conquérir en affaiblissant leur "valeur raciale".
Pour ce faire, ls recourent aux poisons que sont la démocratie, l'internationalisme, le marxisme et le pacifisme. Seule la conquête d'un espace vital, notamment à l'est sur la Pologne et l'URSS, et l'anéantissement des juifs permettront de sauver la "race" germanique. Hitler va jusqu'à refuser toute coalition avec d'autres mouvements extrémistes, affirmant que "l'État raciste" ne peut être créé que "par la volonté agissante d'un mouvement unique". Enfin, il affirme la nécessité d'un chef incontesté.
Dans l'Allemagne du milieu des années 1920, la lutte politique revêt des formes très violentes. Le pays est marqué par l'affrontement entre communistes et groupes extrémistes de droite, et les dirigeants du NSDAP vont mettre à profit ce chaos auquel ils contribuent pour prendre le pouvoir. À sa sortie de prison, Hitler doit reprendre en main son parti, miné par les rivalités internes: dans le nord de l'Allemagne s'est constituée une aile gauche sous la direction de Gregor Strasser. Lors de la réunion de Bamberg (Allemagne), le 14 février 1926, Hitler réussit cependant à restaurer son autorité. Usant de son charisme, il s'impose comme la seule figure capable d'assurer la survie et la cohésion d'un mouvement aux multiples tendances. C'est à partir de cette date que s'élabore le mythe du Führer, le «guide», fondé sur un rituel sophistiqué, l'usage du salut hitlérien et l'application du principe du chef (Führerprinzip), qui consiste en un respect absolu de la hiérarchie. En dépit de cette consolidation interne, le NSDAP subit de plein fouet le contrecoup de la stabilisation économique et sociale de la république de Weimar, sensible à partir de 1924.
Malgré ses 100 000 adhérents et sa solide organisation bureaucratique, le parti nazi n'obtient que 26 % des voix et 12 sièges de députés aux élections législatives de 1928. Sans la crise économique de 1929, l'ascension de Hitler aurait sans doute été impossible. L'Allemagne est alors un pays miné par les tentatives de coups d'État qui ont suivi la guerre; les militants communistes ont été décimés par la répression, et les partis progressistes sont très affaiblis par leurs rivalités. Dans ces conditions, le vote protestataire, traduisant le désespoir d'une population confrontée à un taux de chômage élevé, profite essentiellement au parti nazi; celui-ci mobilise l'opinion sur le thème à la fois vague et exaltant de la «communauté du peuple» (Volksgemeinschaft).
Aux élections de 1930, les nazis envoient 107 des leurs au Reichstag; en juin 1932, ils seront 230. À l'élection présidentielle de mars 1932, Hitler met le maréchal Hindenburg en ballottage. En dépit de ces succès, la majorité absolue est cependant loin d'être atteinte par le parti nazi. Mais les conservateurs qui gouvernent sans majorité parlementaire sont également dans l'impasse. Il leur manque le soutien populaire indispensable à l'établissement définitif du régime autoritaire qu'ils appellent de leurs voeux. C'est pourquoi bien des dirigeants conservateurs, notamment le magnat de la presse Alfred Hugenberg, se rallient à l'idée défendue par Franz von Papen, l'un des proches de Hindenburg, de la participation de Hitler au gouvernement: l'objectif de von Papen est de «ligoter» Hitler dans un cabinet à dominante conservatrice, tout en récupérant la force mobilisatrice de son parti.
Le 30 janvier 1933, le président Hindenburg décide, après bien des réticences il traite Hitler de «caporal bohémien» , de nommer ce dernier à la chancellerie du Reich, à la tête d'un gouvernement qui ne comprend que deux nazis, Göring et Frick. Une fois au pouvoir, Hitler déjoue tous les plans des conservateurs et instaure très rapidement un régime dictatorial.
Le 4 février, sous le prétexte de lutter contre la «menace communiste», les nazis obtiennent du vieux président Hindenburg la promulgation d'une ordonnance autorisant l'État à interdire toutes réunions et publications qui menaceraient sa sécurité. En Prusse notamment, la police, dirigée par Göring, multiplie les arrestations, qui touchent d'abord les communistes, et épure l'administration de ses éléments démocrates. Rapidement, de nombreux SS et SA sont engagés comme «policiers auxiliaires». L'incendie du Reichstag, le 27 février, entraîne la publication par le président du Reich d'une ordonnance «Pour la protection du peuple et de l'État», qui instaure de fait l'État d'urgence et donne tous les pouvoirs au gouvernement.
La répression se systématise, et frappe désormais les sociaux-démocrates et l'ensemble des Allemands hostiles au nazisme; beaucoup sont assassinés dans les premiers camps de concentration ouverts pour y interner les nombreux opposants. L'interdiction du parti communiste, le soutien des conservateurs et celui, plus réticent, du parti catholique du centre permettent à Hitler d'obtenir du Reichstag, le 23 mars 1933, le vote d'une «loi d'autorisation» (Ermächtigungsgesetz), qui lui assure les pleins pouvoirs pour quatre ans et légalise la dictature. Le 2 mai, les syndicats sont forcés de prononcer leur dissolution, imités dans les semaines qui suivent par tous les partis politiques non nazis. Le 14 juillet, le NSDAP est proclamé parti unique.
Hitler, par un mélange de pseudo-légalité et de violence politique, étend son pouvoir, tirant pleinement parti de l'enthousiasme qu'a suscité son arrivée à la chancellerie ainsi que des divisions de ses opposants. Le 30 juin 1934, lors de la sanglante Nuit des longs couteaux, il élimine Ernst Röhm et les chefs SA les plus gênants, tandis qu'il confie à Göring le soin d'éliminer le général Kurt von Schleicher et l'opposant nazi "de gauche" Gregor Strasser, gagnant ainsi l'estime de l'armée. Le 2 août 1934, la mort de Hindenburg lui permet de cumuler les fonctions de chef de l'État et de chef du gouvernement. Le 18 août, plus de 89 % des électeurs allemands ratifient les nouveaux pouvoirs du Reichsführer. En un an et demi, Hitler est parvenu à instaurer un pouvoir sans partage, les opposants politiques ayant été assassinés ou étant internés dans les camps.
Bien que totalitaire, le nouveau pouvoir nazi se révèle vite d'un fonctionnement chaotique, ne supportant pas la discipline du cabinet ministériel: Hitler préside de plus en plus rarement un gouvernement dont l'ultime réunion a lieu en 1938. Abandonnés à eux-mêmes, les ministères voient par ailleurs leurs prérogatives se restreindre considérablement. Pour les court-circuiter, Hitler crée des institutions spéciales, chargées de missions spécifiques, mais dotées de pouvoirs très larges, qu'il confie à ses lieutenants les plus fidèles. La police et plus généralement les outils de la politique de sécurité échappent totalement au contrôle du ministère de l'Intérieur et tombent entre les mains de Heinrich Himmler, le chef des SS, qui bâtit un véritable État dans l'État.
Chargé de la mise en oeuvre du plan de quatre ans qui devait permettre d'adapter l'économie à l'effort de guerre, Göring empiète largement sur les domaines de compétence du ministre de l'Économie. En définitive, dans le système nazi, tout dépend de la volonté du Führer, qui ne prend que rarement l'initiative d'une décision, se contentant de quelques propos vagues qui sont ensuite "interprétés" et présentés sous forme de projets au dictateur, qui donne ou refuse alors son indispensable accord. Seuls les dignitaires de l'entourage direct de Hitler détiennent ainsi un pouvoir réel dans un système qui constitue l'une des formes les plus achevées de parti-État totalitaire.
En l'espace de six ans, de 1933 à 1939, le régime acquiert une popularité certaine, notamment grâce à la maîtrise du chômage et aux succès en politique extérieure. Ne cessant de protester de ses intentions pacifiques, le dictateur concilie habilement concessions apparentes et coups de force audacieux. Le 16 mars 1935, il annonce le rétablissement du service militaire obligatoire; le 7 mars 1936, l'Allemagne réoccupe la zone démilitarisée de la Rhénanie (Allemagne); le 12 mars 1938, elle annexe l'Autriche (Anschluss). Enfin, en septembre 1938, à Munich, la France et le Royaume-Uni s'inclinent une fois encore devant Hitler en acceptant l'intégration du territoire des Sudètes au Reich.
Hitler, ayant ainsi effacé les dispositions politiques et l'humiliation du traité de Versailles, est encouragé à poursuivre une politique qui suscite l'inquiétude des chefs de l'armée, jusque-là enthousiastes, car ils estiment la préparation insuffisante pour soutenir un conflit européen. Mais Hitler, qui assume depuis février 1938 le commandement suprême des forces armées, décide de continuer l'aventure: en mars 1939, la Tchécoslovaquie cesse d'exister, sa partie tchèque devenant un protectorat allemand. Avec la crise de Dantzig, pendant l'été 1939, il apparaît cependant que la France et la Grande-Bretagne ne sont plus disposées à céder. Mussolini et Göring tentent, en vain, de modérer Hitler. Fort du pacte de non-agression signé entre l'Allemagne et l'URSS le 23 août 1939, le dictateur ordonne l'invasion de la Pologne le 1er septembre. C'est le début de la Seconde Guerre mondiale.
Après l'écrasement de la Pologne et la défaite de la France, Hitler est le maître d'une grande partie de l'Europe. Il est alors présent sur tous les fronts, aux côtés de son état-major comme dans les pays occupés (entrevue avec Pétain à Montoire), et mène la double tâche de conquérir l'Europe tout en y imposant l'ordre nazi. Hitler est convaincu de son génie militaire et de la justesse de ses théories politiques.
Il fixe alors des objectifs militaires irréalistes, comme Moscou (URSS) puis Stalingrad (URSS), commet nombre d'erreurs stratégiques. Sur le plan politique, en France, ses directives au plénipotentiaire général du service de la main-d'oeuvre, Fritz Sauckel, renforcent l'opposition au régime de Vichy; en Alsace (France) occupée, il inspire directement le gauleiter Robert Wagner qui suscite l'hostilité et la haine. Pour Hitler, la guerre n'est pas seulement la conquête de l'"espace vital"; il faut aussi débarrasser les terres conquises des ennemis du Reich. C'est aux SS qu'il confie cette tâche; il se décharge ainsi sur Himmler des basses oeuvres de police et d'anéantissement des opposants et indésirables.
Inventif et audacieux dans l'offensive, Hitler ne parvient pas à concevoir une stratégie défensive, notamment sur le front russe. Les défaites (Stalingrad 'URSS), février 1943; Afrique du Nord, mai 1943) ont de profondes conséquences sur son caractère, et il renonce à toute apparition en public, au grand désespoir de Goebbels, sur qui retombe tout le poids du maintien de la popularité du régime. De plus en plus taciturne, le Führer ne sort de son silence que pour asséner à son entourage des exposés délirants sur la réorganisation de l'Europe, et il passe l'essentiel de son temps penché sur des cartes d'état-major; ses proches peuvent observer presque à vue d'oeil son vieillissement accéléré, dû au surmenage et à l'abus de médicaments.
Malgré tout, son pouvoir reste incontesté jusqu'aux derniers jours de la guerre. Cependant, des officiers comme Beck, Rommel et Canaris complotent contre Hitler, et le 20 juillet 1944, le colonel Stauffenberg tente de l'assassiner. Le complot échoue. Le 30 avril 1945, alors que les troupes soviétiques investissent Berlin, Hitler, après avoir épousé sa maîtresse, Eva Braun, met fin à ses jours dans son bunker. Auparavant, il avait ordonné la destruction de toute l'infrastructure industrielle de l'Allemagne, et rédigé son testament politique.
En janvier 2014, des rumeurs annoncent qu'Hitler serait mort en 1984 au Brésil. Une photo sur laquelle apparaîtrait Adolf Hitler relance les spéculations sur la fuite du dictateur en 1945. Une universitaire brésilienne affirme qu'il a refait sa vie en Amérique latine pour fuir ses responsabilités lors des massacres de la seconde guerre mondiale. Adolf Hitler aurait simulé sa propre mort et se serait installé en Amérique du Sud pour commencer une nouvelle vie. L'universitaire avance, preuve à l'appui, qu'Adolf Hitler aurait vécu jusqu'en 1984 et serait donc mort à l'âge de 95 ans.
Le 7 mai 2014, la maison d'enchères Pierre Bergé & Associés devait mettre aux enchères un exemplaire de Mein Kampf. La société a été obliger de retirer de la vente le livre écrit par Adolf Hitler à cause des pressions exercées par le bureau national de vigilance contre l'antisémitisme. Le livre devait être vendu le 16 mai 2014 suivant.
70 ans après la morrt d'Adolf Hitler, auteur de Mein Kampf, n'importe qui pourra légalement publier le livre à partir du 1er janvier 2016 (sauf si une cour de justice allemande n'en décide autrement).
Il n'existe pas de sépulture d'Adolf Hitler.
Pour ne pas voir son cadavre emporté en trophée par l’ennemi, Hitler a donné l’ordre de l’incinérer. C’est aussitôt chose faite par son chauffeur Erich Kempka et son aide de camp Otto Günsche, qui brûlent le corps de Hitler et celui d'Eva Braun dans un cratère de bombe près du bunker. La pluie d’obus soviétiques labourant Berlin a presque certainement détruit l’essentiel des deux corps.
Le 2 mai 1945, averti du suicide de Hitler, le SMERSH boucle le jardin de la chancellerie et le Führerbunker. Le 5 mai, Ivan Churakov du 79e corps d’infanterie, auquel le SMERSH est rattaché, découvre le corps de Hitler près de celui d’Eva Braun, dans un cratère d’obus situé dans le jardin de la chancellerie. Conformément aux volontés du Führer, leurs dépouilles ont été brûlées et sont méconnaissables. Le 11 mai, les témoignages concordants de l’assistante du dentiste de Hitler, Hugo Blaschke, et de son technicien, confirment l’identité du corps. La dentition supérieure de Hitler comporte en effet un bridge récent. En juin 1946, les derniers témoins du Führerbunker, détenus par le NKVD, sont amenés sur les lieux du suicide. Dans le jardin de la chancellerie, ils indiquent l’endroit où ils ont brûlé puis enterré les corps des époux Hitler. L’emplacement correspond à l’exhumation réalisée par le SMERSH un an plus tôt. De nouvelles fouilles sont entreprises et quatre fragments de crâne sont mis au jour. Le plus grand est transpercé d’une balle. L’autopsie réalisée fin 1945 sur le corps masculin découvert au même endroit se trouve en partie confirmée : les médecins y notaient en effet l’absence d’une pièce du crâne, celle qui devait permettre de conclure que Hitler s’est suicidé par arme à feu.
Les restes d’Adolf Hitler sont alors enterrés dans le plus grand secret, avec ceux d’Eva Braun, de Joseph et Magda Goebbels et de leurs six enfants, du général Hans Krebs et des deux chiens de Hitler, dans une tombe près de Rathenow à Brandenburg.
En 1970, le KGB doit restituer au gouvernement d’Allemagne de l’Est les lieux qu’il occupe à Brandenburg. Craignant que l’existence de la tombe de Hitler ne soit révélée et que le site ne devienne alors un lieu de pèlerinage néo-nazi, Youri Andropov, chef du KGB, donne son autorisation pour que soient détruits les restes du dictateur et les neuf autres dépouilles. Le 4 avril 1970, une équipe du KGB se charge de la crémation des dix corps, et disperse secrètement les cendres dans l’Elbe, à proximité immédiate de Rathenow.
En 2009, Rochus Misch l'ancien garde du corps de Hitler, qui était avec Günther Schwägermann l'un des deux derniers survivants du bunker, réaffirme avoir vu les corps sans vie de Hitler et d’Eva Braun.
Les meilleures citations d'Adolf Hitler.
Notre racisme n'est agressif qu'à l'égard de la race juive. Nous parlons de race juive par commodité de langage, car il n'y a pas, à proprement parler, et du point de vue de la génétique, de race juive [...] La race juive est avant tout une race mentale [...] Une race mentale, c'est quelque chose de plus solide, de plus durable qu'une race tout court. Transplantez un Allemand aux États Unis, vous en faites un Américain. Le Juif, où qu'il aille, demeure un juif. C'est un être par nature inassimilable. Et c'est ce caractère même qui le rend impropre à l'assimilation, qui définit sa race. Voilà une preuve de la supériorité de l'esprit sur la chair !
Ce que nous appelons l'éducation chauvine du peuple français n'est que l'exaltation excessive de la grandeur de la France dans tous les domaines de la culture ou, comme disent les Français, de la "civilisation". Un jeune Français n'est pas dressé à se rendre compte objectivement de la réalité des choses : son éducation lui montre, avec la vue subjective que l'on peut imaginer, tout ce qui a quelque importance pour la grandeur de son pays, en matière de politique et de civilisation. Une telle éducation doit toujours se borner à des notions d'ordre général très importantes. Et il est nécessaire qu'elles soient gravées dans le coeur et dans la mémoire du peuple par une constante répétition.
Le coup le plus dur qui ait jamais frappé l'humanité fut l'avènement du christianisme. Le bolchevisme est un enfant illégitime du christianisme. Tous deux sont des inventions du Juif. C'est par le christianisme que le mensonge délibéré en matière de religion a été introduit dans le monde. Le bolchevisme pratique un mensonge de même nature quand il prétend apporter la liberté aux hommes, alors qu'en réalité il ne veut faire d'eux que des esclaves. Dans le monde antique, les relations entre les hommes et les dieux étaient fondées sur un respect instinctif. C'était un monde éclairé par l'idée de tolérance. Le christianisme fut la première croyance dans le monde à exterminer ses adversaires au nom de l'amour. Sa marque est l'intolérance.
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► Qui a financé Hitler ? |
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3 | Warrior2012 |
► Pourquoi des gens votent pour Hitler ? |
Répondu à 20%
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15 | Simon |
► Peut-on dire que tout est de la faute d'Adolf Hitler ? |
Répondu à 10%
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1 | Reenlokia |
► Tout le monde fait des erreurs, lui il les a regretté et en a pris conscience. |
Répondu à 0%
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15 | Respect |
► Idées non reçues sur Hitler |
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5 | Spitfire |
► Une des Bête biblique, son chiffre 666. |
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1 | Messager |
► Un homme que le monde n'a jamais eu la chance de comparer à un autre |
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1 | Damir |
► Hitler était un taré, mais... |
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1 | Julius-jean |
► Adolf Hitler est-il réellement mort le 30 avril 1945 ? |
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0 | Anonyme 75168 |
► Hitler a ses soutiens, Mengele et Néron aussi. |
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Des millions de morts pour satisfaire ses lubies, quel sinistre personnage.
Si j'avais dû noter Adolf Hitler il y a 10 ans, il y a 15 ans ou il y a 20 ans, je lui aurais très certainement mis la note de 0. Pourquoi est-ce-qu'aujourd'hui je lui mets 2 ? Tout simplement parce que si jusqu'à la fin des années 2000, il a incarné à mes yeux le mal absolu, depuis le début des années 2010 est apparu un autre mal, pire encore, et qui s'est développé dans le monde entier avec la complicité de centaines de millions de gens... J'aimerais tant que dans 10 ans, je puisse à nouveau donner la note de 0 à Hitler, car cela signifierait que le mal qui détruit tant de personnes depuis le début des années 2010 aurait été anéanti... Hélas, l'humanité ne semble pas en prendre le chemin à l'heure actuelle...
"donnez-moi 5 ans & vous ne reconnaitrez plus l'Allemagne" avait-il dit ! (entre autre).
Un politicien qui a dit ce qu'il allait faire, & a tenu sa promesse !
Inculte, parti de rien & à la rue, il a fini par mener tout un peuple à le suivre, & éliminer ses ennemis, comprendre l'économie, se faire financer par de très grosses banques, apprendre à gérer un peu l'art de la guerre, mettre le monde sans dessus-dessous, & à disparaître en faisant croire qu'il était mort, en laissant un cadavre calciné non-identifiable (& avec pour unique témoin du suicide: son aide de camps, un SS !)
Pas si nul finalement, le petit adolf. mais il ne mérite pourtant pas le paradis.