0Scientifique (femmes) française mortes en 2017
Découvrez notre liste de 7 scientifique (femmes) française mortes en 2017 connues comme par exemple : Marie-Christine Hellmann, Françoise Héritier, Evelyne Sullerot, Anne Dufourmantelle, Evelyne Pisier, Marie Depussé, Maudy Piot... Ces personnalités (de sexe féminin) peuvent avoir des liens variés dans les domaines de l'archéologie, de l'histoire, de la science, de l'anthropologie, de l'ethnologie, de la politique, de la sociologie, de l'art, de la littérature, de la philosophie, de la psychanalyse, de la politique de gauche ou de l'enseignement. Ces célébrités peuvent également avoir été archéologue, anthropologue, ethnologue, féministe, femme politique, sociologue, artiste, écrivaine, philosophe, psychanalyste, romancière, politologue, enseignante, professeur de littérature, handicapée, militante ou militante pour les handicapés.
Archéologue française de l’Antiquité Classique et de l’archéologie grecque en particulier. 
Anthropologue et ethnologue et féministe française, connu pour ses études sur la domination masculine, les systèmes de parenté et la prohibition de l'inceste, était directrice d'étude à l'EHESS, a succédé à Claude Lévi-Strauss au Collège de France, inaugurant la chaire d'« étude comparée des sociétés africaines ». Lévi-Strauss voyait en elle son successeur. 
Sociologue et militante féministe française, cofondatrice du Planning familial et connue pour avoir fait avancer la cause des femmes avant de devenir une militante de celle des pères et de s'éloigner de la mouvance féministe. 
Psychanalyste et philosophe française connue pour avoir publié de nombreux essais, collaboré au journal « Libération » comme chroniqueuse et pour être morte en essayant de sauver deux enfants de la noyade. 
Écrivaine et politologue française, l'une des premières femmes agrégées de droit public et de science politique (1972), professeure émérite de l'université Paris-1 et figure intellectuelle de gauche. 
Écrivaine et psychanalyste française connue pour être l'auteure de multiples récits intenses aux échos autobiographiques : « Est-ce qu'on meurt de ça » (1996), « Là où le soleil se tait » (1998), « Qu'est-ce qu'on garde ? » (2000), « Les morts ne savent rien » (2006), « La nuit tombe quand elle veut » (2011). 
Militante pour la cause des femmes handicapées, présidente et fondatrice en 2003 de l'association FDFA (Femmes pour le dire, femmes pour agir) pour lutter contre la «double discrimination» qui consistait, selon elle, à «être femme et être handicapée». 
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