0Homme politique et femme politique tunisien
Découvrez notre liste de 11 homme politique et femme politique tunisien morts et connus comme par exemple : Lazhar Bououni, Hannibal Barca, Habib Achour, Farhat Hached, Gisèle Halimi, Habib Bourguiba, Maya Jribi, Chokri Belaïd, Zine el-Abidine Ben Ali, Leïla Menchari... Ces personnalités peuvent avoir des liens variés dans les domaines de la justice, de la politique, de la guerre, de l'histoire, de l'art, de la décoration ou de la mode. Ces célébrités peuvent également avoir été ambassadeur, coupable d'abus de pouvoir, coupable de détournement de fonds, diplomate, homme d'état, hors-la-loi, ministre, ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche, ministre de la justice, général, militaire, syndicaliste, avocat, député, féministe, homme de loi, militant, militant des droits des femmes, président, militant des droits de l'homme, ministre de l'intérieur, premier ministre, artiste ou décorateur. En ce qui concerne leurs nationalités au moment de leurs morts, ils peuvent avoir été francais par exemple.
Politicien tunisien, ministre de la Justice (de 2010 à 2011) et ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche (de 2004 à 2010). 
-247 av. JC - -182 av. JC
Tunisien, 65 ans
Avocate franco-tunisienne, militante féministe, elle a défendu des militants FLN pendant la guerre d’Algérie et s’est battue pour la libéralisation de l’avortement et la criminalisation du viol. 
1960 - 2018
Tunisienne, 58 ans
Politicienne tunisienne, icône tunisienne et inlassable combattante pour la démocratie et les droits des femmes. 
Politicien tunisien, président de la République tunisienne de 1987 à 2011. Sous sa présidence, la Tunisie est classée première en termes de compétitivité économique en Afrique. Le pays jouit d'une bonne image dans le monde occidental, en particulier grâce à la place qu'il accorde aux femmes : remontant à l'ère bourguibienne, le statut de la femme tunisienne est notamment renforcé en 1993 avec la suppression de son obligation d'obéissance à son mari. Des organisations non gouvernementales et des médias étrangers dénoncent cependant sa politique en matière de droits de l'homme, la qualifiant de dictatoriale, notamment du fait de l'emprisonnement et de la torture d'opposants, ainsi que des atteintes à la liberté de la presse. Au début de l'année 2011, un mouvement de protestation populaire, inaugurant le début du Printemps arabe, le contraint à quitter le pays. Il abandonne ainsi la présidence de la République pour se réfugier à Djeddah, en Arabie saoudite. En 2018, à l'issue de plusieurs procès par contumace, le total des peines prononcées à son encontre atteint plus de 200 ans de prison. 
1927 - 2020
Tunisienne, 92 ans
Décoratrice tunisienne, directrice artistique des vitrines d’Hermès, elle est célèbre pour ses décorations flamboyantes. 
Politicien tunisien, président de la République de 2014 à sa mort en 2019. 
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