Top 50Francais et française nées un 24 juillet
12 célébrités
Découvrez notre liste de 12 francais et française (toutes catégories confondues) nées un 24 juillet morts et connus comme par exemple : Éric Tabarly, Jean-Roger Caussimon, Alexandre Dumas, Jean-Louis Chrétien, André Bézu, Anne-Marie Peysson, Claude Sarraute, Henri Betti, Roger Gouzy, Alain Rigout... Ces personnalités peuvent avoir des liens variés dans les domaines du sport, du sport nautique, de l'art, du cinéma, de la musique, du théâtre, de la littérature, de l'enseignement, de l'histoire, de l'histoire de la philosophie, de la philosophie, du journalisme, de la télévision, de la radio, de la musique de film, des record ou de la danse. Ces célébrités peuvent également avoir été navigateur, acteur, artiste, chanteur, compositeur, musicien, dramaturge, écrivain, épistolier, essayiste, mémorialiste, romancier, romancier d'aventure, auteur d'ouvrages philosophiques, enseignant, historien, historien de la philosophie, philosophe, poète, professeur de philosophie, scientifique, animateur, journaliste, chroniqueur, compositeur de musique de film, pianiste, doyen, recordman, chorégraphe ou metteur en scène.
12 francais et française populaires
Navigateur français ayant remporté plusieurs courses océaniques telles l'Ostar en 1964 et 1976, mettant fin à la domination anglaise dans cette spécialité. Il forme toute une génération de coureurs océaniques et contribue par ses victoires au développement des activités nautiques en Bretagne et en France. Bien que très attaché à son vieux Pen Duick de 1898, il joue également un rôle de pionnier dans le développement du multicoque en concevant son trimaran Pen Duick IV (1968), un des tout premiers multicoques de course au large, confirmant la suprématie de ce type de bateau sur les monocoques. 
Chanteur et acteur français, auteur de la chanson « Monsieur William » (1950), mise en musique et popularisée par son ami Léo Ferré en 1987, connu pour ses chansons « Comme à Ostende » ou « La commune est en lutte » et ses rôles dans « French Cancan » (1953, comédie/drame), « L'Auberge rouge » (1951, comédie/policier avec Fernandel) ou « Le Juge et l'Assassin » (1976, policier). 
Écrivain français, proche des romantiques et d'abord tourné vers le théâtre, il s'oriente vers le roman historique telles que la trilogie « Les Trois Mousquetaires » (1844), « Vingt ans après » (1845) et « Le Vicomte de Bragelonne » (1847), ou encore « Le Comte de Monte-Cristo » (1844-1846), « La dame de Monsoreau » (1846) et « La Reine Margot » (1845). Il est le père des écrivains Henry Bauër et Alexandre Dumas (1824-1895, dit « Dumas fils », auteur de La Dame aux camélias). 
Philosophe et poète français, adepte de Vladimir Jankélévitch (philosophe et musicologue français). Il fut un Socrate des temps modernes pour ses étudiants et les anciennes humanités ont été son champ de prédilection. 
Chanteur et comique français connu pour avoir interprété le tube "À la queuleuleu". 
Chroniqueuse française, connue du grand public pour sa participation aux émissions radio et télé « Les Grosses Têtes » (de Philippe Bouvard), puis « On a tout essayé » et « On va s'gêner » (de Laurent Ruquier). 
Pianiste et compositeur français, pianiste-accompagnateur de Maurice Chevalier de 1940 à 1945 pour lequel il a notamment composé la musique de « Notre espoir » (paroles de Maurice Chevalier), « La Chanson du maçon » et « La Fête à Neu-Neu » (paroles de Maurice Vandair), il est surtout connu pour avoir composé la musique de « C'est si bon » (paroles d’André Hornez), « Mais qu’est-ce que j’ai ? » (paroles d'Édith Piaf) et « Maître Pierre » (paroles de Jacques Plante) qui ont été interprétées par Yves Montand. 
Danseuse, chorégraphe, directrice de ballet et actrice française, enfant prodige de la danse et femme libre, elle a mené une carrière hors norme et a ouvert la voie à la danse contemporaine française. 
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