0Francais morts en juillet 2017
Découvrez notre liste de 18 francais (toutes catégories confondues) morts en juillet 2017 connus comme par exemple : Michel Durafour, Jean-Claude Bouillon, Jean-Jacques Susini, Charley Marouani, Pierre Henry, Claude Rich, Alexandre Boussageon, Max Gallo, Robert Vigouroux, Jean-Pierre Bernard... Ces personnalités (de sexe masculin) peuvent avoir des liens variés dans les domaines de l'art, de la littérature, de la politique, du cinéma, de la télévision, du théâtre, de l'extrême droite, du front national, de la guerre, du business, de la musique, du journalisme, de l'histoire, du parti socialiste ou de la politique de gauche. Ces célébrités peuvent également avoir été artiste, député, écrivain, homme d'état, homme politique, maire, ministre, ministre de la fonction publique, ministre de la réforme de l'État, ministre du travail, romancier, sénateur, acteur, nationaliste, homme d'affaire, imprésario, producteur, producteur de musique, compositeur, journaliste, historien, scientifique ou socialiste.
Politicien français, ministre de la Fonction publique et des Réformes administratives de 1988 à 1991 (sous François Mitterrand) après avoir été Ministre du Travail de 1974 à 1976 (sous Valéry Giscard d'Estaing), fut l'un des premiers « ministres d'ouverture », expression inventée pour lui quand une poignée de centristes avaient accepté la main tendue de François Mitterrand en 1988. Le geste politique avait frappé à l'époque et la formule est restée depuis. 
Acteur français connu pour son interprétation du commissaire Valentin dans la série télévisée « Les Brigades du tigre » (1974-1983, 6 saisons, 36 épisodes). 
Homme politique français, cofondateur de l'OAS (Organisation Armée Secrète) avec Pierre Lagaillarde (organisation politico-militaire clandestine française créée le 11 février 1961 pour la défense de la présence française en Algérie par tous les moyens, y compris le terrorisme à grande échelle). 
Impresario français connu pour avoir été l'agent de grands noms de la chanson française comme Jacques Brel (son 1er artiste), Joe Dassin, Henri Salvador, Claude Nougaro, Barbara, Salvatore Adamo, Serge Reggiani, Gilbert Bécaud mais également Sylvie Vartan, Julien Clerc ou encore Richard Anthony. 
Compositeur français de musique électroacoustique, l'un des pères de la musique électroacoustique et père de la musique concrète (mais pas dans le sens biologique), inventeur de bruits et de sons éclectiques. Il est connu du grand public pour le morceau Psyché Rock de la suite de danses « Messe pour le temps présent » et pour ses multiples collaborations avec Maurice Béjart. 
Acteur français populaire, connu pour son rôle dans le film « Tontons flingueurs » (1963, de Michel Audiard), pour avoir su conjuguer une grande carrière au cinéma (80 films), mais également une autre au théâtre (50 pièces dont un très grand nombre d'oeuvres nouvelles de Françoise Sagan à Antoine Rault en passant par Jean-Claude Brisville). 
Journaliste et écrivain français, grand reporter, il a parcouru les maquis d'Angola à l'exode des Kurdes d'Irak en passant par la Révolution iranienne ou la purification ethnique en ex-Yougoslavie pour « L'Événement du jeudi » (magazine hebdomadaire français), « Le Nouvel Economiste » ou, plus récemment « L'Obs ». Il est connu pour être l'auteur d'un livre sur « Joseph Kessel » (2015, Editions Paulsen). 
Historien et romancier français, membre de l'Académie française en 2007, il est connu pour avoir été un écrivain à succès et fécond (une centaine de romans, biographies et études historiques) dont il nomme les premiers romans des ouvrages de « politique-fiction » ou « romans-Histoire », en travaillant avec les ressources historiques et en complétant son écriture de façon romanesque en y ajoutant son expérience personnelle et ses sentiments. 
Politicien français connu pour avoir été maire de Marseille de 1986 à 1995, en remplacement de Gaston Defferre, décédé en cours de mandat. 
Acteur français et homme de théâtre, dirigé notamment par Roger Planchon et Robert Hossein, il a interprété les grands classiques du répertoire et joué dans plusieurs dizaines de pièces telles que « Cyrano de Bergerac » d'Edmond Rostand, « Le Cid » de Pierre Corneille, « Hamlet » de William Shakespeare ou encore « Les Frères Karamazov » d'après Fiodor Dostoïevski. Il est aussi connu pour ses rôles à la télévision, dans « Maigret », « Le Retour d'Arsène Lupin », « Navarro » ou encore « Commissaire Moulin » et « Châteauvallon ». Au cinéma, il a notamment tourné « La sanction » (1975 avec Clint Eastwood). 
Juge d'instruction lors de l'affaire Grégory soumis à une intense pression médiatique qui critiquera les errements de son instruction, après deux inculpations et incarcérations infructueuses, celle de Bernard Laroche puis celle de Christine Villemin. 
Producteur français de films, connu pour être le producteur de la série culte « Arsène Lupin » (1971-1974, 2 saisons, 27 épisodes, avec Georges Descrières) et l'un des « pionniers dans la production de séries télévisées populaires ». 
Homme politique français, ancien député-maire du Touquet, il fut une figure de la région Île-de-France en restant maire du Touquet pendant presque 30 ans. 
Réalisateur français connu pour être l'auteur d'un remarquable documentaire sur le monde du travail « Reprise » (1997). 
Journaliste français, il était « le plus vieux journaliste de France encore en activité ». Collaborateur du journal Le Parisien, dont il était le doyen, il était critique de cinéma et de théâtre. 
Haut fonctionnaire français, figure de l'audiovisuel français connu pour avoir été patron de l'audiovisuel : PDG d'Antenne 2 (1986-1989) et président de FR3 (1975-1981, France Régions 3). Il a joué dès le début de sa carrière un rôle notable dans l'essor de la télévision française. 
Haut fonctionnaire français spécialiste des affaires de police, de terrorisme et du renseignement, connu pour avoir été un proche du président français François Mitterrand dont il fut l'ancien directeur de cabinet (de 1988 à 1992) et condamné en 2005 dans l'affaire des écoutes de l'Elysée (puni d'une peine de prison avec sursis et d'une amende de 5 000 euros pour « atteinte à l'intimité de la vie privée », confirmées par la Cour de cassation en 2008). 
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